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QUELLE POLITIQUE ORGANISATIONNELLE POUR UNE ENTREPRISE DANS UNE PERIODE CONCURR

QUELLE POLITIQUE ORGANISATIONNELLE POUR UNE ENTREPRISE DANS UNE PERIODE CONCURRENTIELLE ET PANDEMIQUE ? REMERCIEMENT Nous tenons à remercier à travers ces quelques lignes les personnes qui ont contribué à la rédaction de ce document. Nous pensons ici en premier lieu à tout le corps professoral de l’Institut National Polytechnique Félix Houphouët Boigny (INP-HB). Qu’il nous soit également permis de remercier, par le biais du Directeur de l’INP-HB, Docteur N’GUESSAN KOFFI ; le directeur de l’Ecole Supérieure d’Industrie (ESI), Professeur TANOH AKA pour son dynamisme à vouloir faire de l’ESI un pôle technologique d’excellence ; l’ensemble des directeurs des Etudes à savoir Messieurs BEN MATTHIEU et KOBENAN JEAN-MOISE ; notre directeur de département Génie Mécanique et Energétique Monsieur KOUASSI ALEXIS. Enfin, nous remercions Monsieur KOFFI ARSENE, notre professeur de Système d’information. Page 1 sur 10 QUELLE POLITIQUE ORGANISATIONNELLE POUR UNE ENTREPRISE DANS UNE PERIODE CONCURRENTIELLE ET PANDEMIQUE ? AVANT PROPOS Après l’accession de la Côte-d’Ivoire à l’indépendance en 1960, les autorités Ivoiriennes ont fait de l’éducation une priorité. Cette politique avait pour but de former les jeunes en vue d’une nationalisation progressive de l’emploi. L’Etat a donc mis en place des infrastructures scolaires et universitaires qui répondent à cette volonté. C’est dans cette vision que quatre (4) écoles ont été créées. Ce sont : L’Institut National Supérieur de l’Enseignement Technique (INSET) ; L’Ecole National Supérieure des Travaux Publiques (ENSTP) ; L’Ecole National Supérieure d’Agronomie (ENSA) ; L’Institut Agricole de Bouaké (IAB) ; Ces écoles, suite au décret N°96-678 du 04 septembre 1996 ont été regroupées pour former l’Institut National Polytechnique Félix Houphouët Boigny (INP-HB). L’objectif de ce regroupement était de rationaliser et d’optimiser toutes les ressources de l’institut pour une formation technique et technologique de très haut niveau au profit des étudiants. Depuis lors, l’INP-HB regroupe cinq (05) écoles qui sont : Ecole Supérieure de Commerce et d’Administration des Entreprises (ESCAE) ; Ecole Supérieure des Mines et de Géologie (ESMG) ; Ecole Supérieure des Travaux Publiques (ESTP) ; Ecole Supérieure d’Agronomie (ESA) ; Ecole Supérieure d’Industrie (ESI) ; A ces écoles se sont greffées quatre (04) écoles spéciales pour répondre au besoin de formation ; ce sont : Page 2 sur 10 QUELLE POLITIQUE ORGANISATIONNELLE POUR UNE ENTREPRISE DANS UNE PERIODE CONCURRENTIELLE ET PANDEMIQUE ? Ecole de Formation Continue et de Perfectionnement des Cadres (EFCPC) ; Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles (CPGE) ; Ecole Doctorale Polytechnique (EDP) ; Ecole de Formation en Master Big Data ; L’école à laquelle nous appartenons (ESI), a pour vocation de former sur une durée de 3 ans chacun, des ingénieurs et des techniciens supérieurs compétents et qualifiés dans diverses spécialités industrielles. En 2016, cette école a connu une réforme de son système d’éducation. Nous assistons à la naissance de nouvelles filières. Le cycle Ingénieur est désormais constitué des filières dont les troncs communs sont les suivants : Sciences et Technologie de l’Information et de la Communication (STIC) ; Sciences et Technologie du Génie des procédés (STGP) ; Sciences et Technologie du Génie Industriel (STGI) ; notre filière. Page 3 sur 10 QUELLE POLITIQUE ORGANISATIONNELLE POUR UNE ENTREPRISE DANS UNE PERIODE CONCURRENTIELLE ET PANDEMIQUE ? TABLE DE MATIERES REMERCIEMENT.............................................................................................................1 INTRODUCTION..............................................................................................................5 I) GENERALITES..................................................................................................................6 II) IMPACT D’UNE PERIODE CONCURRENTIELLE ET PANDEMIQUE SUR LES ENTRPRISES............................................................................................................................6 CONCLUSION................................................................................................................10 WEBOGRAPHIE.............................................................................................................11 Page 4 sur 10 QUELLE POLITIQUE ORGANISATIONNELLE POUR UNE ENTREPRISE DANS UNE PERIODE CONCURRENTIELLE ET PANDEMIQUE ? INTRODUCTION Page 5 sur 10 QUELLE POLITIQUE ORGANISATIONNELLE POUR UNE ENTREPRISE DANS UNE PERIODE CONCURRENTIELLE ET PANDEMIQUE ? I) GENERALITES NOTIONS DEFINITIONNELLES Concurrence La concurrence est la situation dans laquelle se trouve une personne ou une entreprise par rapport à une ou plusieurs autres lorsque, tout en faisant des profits, elle peut rivaliser avec elles en offrant un service ou un produit au moins équivalent pour un prix au moins égal. Le mot "concurrence" s'applique aux activités de production et commerciale. Pandémie Une pandémie est une épidémie présente sur une large zone géographique internationale. Dans le sens courant, elle touche une partie particulièrement importante de la population mondiale. CONCURRENCE ET PANDEMIE : QUELLE RELATION ? II) IMPACT D’UNE PERIODE CONCURRENTIELLE ET PANDEMIQUE SUR LES ENTRPRISES 1) LA CONCURRENCE La concurrence, présente des inconvénients et peut même s’avérer dangereuse pour les populations.  Intérêt du consommateur En baissant les prix, la concurrence bénéficierait aux consommateurs mais pénaliserait les producteurs. Loin de créer de la richesse, elle ne ferait que redistribuer les parts du gâteau des uns vers les autres. Dans cette perspective, promouvoir la concurrence reviendrait simplement à défendre un intérêt particulier, celui des consommateurs et de leur pouvoir d'achat.  Qualité médiocre des produits Page 6 sur 10 QUELLE POLITIQUE ORGANISATIONNELLE POUR UNE ENTREPRISE DANS UNE PERIODE CONCURRENTIELLE ET PANDEMIQUE ? La concurrence, en incitant à l'efficacité se ferait au détriment de la qualité : nous devrions choisir entre des prix bas et une qualité médiocre ou des prix élevés et une meilleure qualité. Appliqué à la distribution de médicaments par exemple, cela signifierait que plus de concurrence se traduirait nécessairement par une dégradation du niveau de sécurité sanitaire.  La baisse de l’emploi La concurrence, en incitant les entreprises à comprimer leurs coûts se retournerait contre l'emploi et la croissance. Par une sorte de ruse de la raison, le consommateur du week-end participerait ainsi à sa propre spoliation, lui qui est aussi un salarié la semaine. Ces arguments ci-dessus donnent le sentiment qu'il faudrait en quelque sorte choisir son camp : celui des prix bas, des consommateurs, de la quantité ou celui de la production, des salariés et de la qualité. 2) PERIODE PANDEMIQUE De manière analogue, plusieurs domaines sont aussi affectés en cas de période pandémique. En guise d’illustration, nous citerons quelques désavantages causés par la maladie à Covid-19 La baisse du chiffre d’affaire du secteur des services Principale victime des mesures restrictives, le secteur des services connait une baisse du chiffre d’affaire. Estimée à plus 50 % pour les services, la baisse de chiffre d’affaires est évaluée à 25 % pour le commerce et l’industrie, Ce qui induit des difficultés considérables de trésorerie pour les acteurs concernés. Quant à l’enseignement privé, ses promoteurs se voient eux aussi confrontés à des charges imprévues, tandis que les acteurs de la finance sont confrontés aux difficultés de remboursement de leurs clients à la baisse des demandes de crédit. Des décisions d’investissements annulées « 32 % des importateurs et 40% des exportateurs ont connu une baisse de trésorerie de l’ordre de 25 % », note le document, selon lequel la proportion s’accentue tout au long de la Page 7 sur 10 QUELLE POLITIQUE ORGANISATIONNELLE POUR UNE ENTREPRISE DANS UNE PERIODE CONCURRENTIELLE ET PANDEMIQUE ? chaîne de vente d’un produit : ainsi 63 % des acteurs du commerce de gros estiment avoir perdu plus 25 % de chiffre d’affaires, quand 72 % des acteurs du commerce de détail font le même constat. Quant aux commerçants du secteur informel, ils sont 81 % à relayer une telle perte. Une situation qui ne pourra, selon les auteurs du rapport, qu’impacter l’investissement. Une industrie au ralenti Le chiffre d’affaires est en baisse de l’ordre de 25 % dans tous les segments du secteur industriel notamment dans l’agro-industrie, les mines et l’industrie du pétrole, note le rapport, selon lequel la baisse des cours des matières n’est pas de nature à favoriser le niveau du chiffre d’affaires dans le secteur. Emploi : une baisse de 25 % Quant à l’emploi, il subit une baisse d’ensemble de l’ordre de 25 %, selon les organisations professionnelles d’entreprises. « Cette baisse, si elle semble faible dans l’ensemble par rapport aux effets attendus du Covid-19, s’expliquerait par les contraintes en matière de licenciement, le sentiment de confiance des entreprises dans une reprise prochaine rapide des activités, le choix d’éviter les coûts de rotation et ceux liés à d’éventuels nouveaux recrutements », relativise toutefois l’étude. L’agriculture relativement épargnée Le secteur de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche semble dans un premier temps le moins impacté par la crise du Covid-19, avec une baisse de moins de 25 %. Le niveau de la trésorerie est resté stable ainsi que le niveau de l’emploi », indique le rapport, qui relève toutefois que « les mesures de fermetures de frontières, de marchés, de confinements ont eu des effets sur les produits frais et sur la logistique en matière d’exportation ». Page 8 sur 10 QUELLE POLITIQUE ORGANISATIONNELLE POUR UNE ENTREPRISE DANS UNE PERIODE CONCURRENTIELLE ET PANDEMIQUE ? III) QUELLE POLITIQUE ADOPTER ? Face à toutes ces difficultés citées ci-dessus, il convient de trouver des solutions afin d’y palier. 1-Pendant une période pandémique Les pandémies plongent les entreprises dans une période d'incertitude et d'instabilité sans précédent. Dans cet environnement hautement imprévisible, les dirigeants devront prendre des décisions décisives pour la survie de l’entreprise. Ils devront s'appuyer sur une organisation résiliente et agile, capable de s'adapter rapidement au changement, d'anticiper et d'affiner leur stratégie. La pandémie, en précipitant le déploiement à grande échelle du travail à distance et l'utilisation de plateformes technologiques, fait de la transformation numérique des entreprises un enjeu uploads/Management/ expose-si 1 .pdf