Mr, on aura des questions concernant la crise du logiciel ? NON L’estimation ?

Mr, on aura des questions concernant la crise du logiciel ? NON L’estimation ? NON Point de fonction et Cocomo ? NON On aura besoin de Calculatrice ? Quelle question ! NON ! Des questions concernant ITIL ? NON Les notions de base ? Définitions de génie, génie logiciel, ingénieur, ingénierie, l’historique … ? NON L’examen sous forme QCM ? NON On est les meilleurs ? OUI La question num 4 de l’examen est : Donnez une Structure d’un cahier des charges (un sommaire). Oui, vous aurez cette question durant l’examen, on vous demande pas d’apprendre par cœur le modèle proposé dans ce document, mais essayez de donner au moins 75% de ce modèle. Structure d’un cahier des charges Sommaire 1 contexte 1.1 analyse du besoin 1.2 analyse de l'existant 2 objectifs 3 vocabulaires 4 calendrier 5 clauses juridiques 6 les besoins fonctionnelles 7 les besoins techniques 8 contraintes 8.1 contraintes de coûts 8.2 contraintes de délais 8.3 autres contraintes Quelle est la différence entre un cahier des charges et un dossier de spécifications fonctionnelles ? Le cahier des charges est le recueil des exigences fonctionnelles demandées par la maîtrise d'ouvrage, il décrit des règles de gestion et de traitement (vue externe du système, c'est la vision utilisateur). Les spécifications fonctionnelles sont rédigées par la maîtrise d'œuvre après réception et analyse du cahier des charges. C'est la traduction du cahier des charges en termes plus techniques (données en entrée, données en sortie, description des écrans de l'IHM, règles de calcul, de transformation des données, ...) dont le but est de décrire de façon détaillée comment les exigences fonctionnelles vont être implémentées dans le système d’information, et donc permettre le développement du logiciel. Les spécifications fonctionnelles doivent être validées par la maîtrise d'ouvrage, La question num 5 de l’examen est : Donnez une structure d’un rapport de projet (PFA/PFE/STAGE) en développement de logiciel (un sommaire). Vous n’allez PAS expliquer chaque titre par un paragraphe, non, vous allez juste citer les titres du sommaire, et essayez de respecter l’ordre,,, c’est très important l’ordre. Et bien sûr on vous demande pas d’apprendre par cœur le modèle proposé dans ce document, mais essayez de donner au moins 75% de ce modèle. La structure d’un rapport de projet (PFA/PFE/STAGE) en développement de logiciel :  Page de garde  Page vide  Avant-propos (optionnel) sur cette page on peut mentionner n’importe quelle info qu’on aimerait dire au lecteur avant la lecture du rapport, par exemple : (ce stage est effectué au sein d’une banque, quelques données ont été modifiés pour cacher l’identité des clients) ou bien : (ce stage a été effectuer au sein du ministère de finance, la chapitre num X du rapport ne discute qu’une partie de travail réalisé, pour des raisons de confidentialités je n’avais pas le droit de tout noter sur le rapport)  Dédicaces  Remerciements  Résumé  Abstract (optionnel)  ( صoptionnel)  Table des matières (ou sommaire)  Liste des figures  Liste des tableaux  Liste d’abréviations  Introduction  Cahier des charges (contient les besoins fonctionnels et règles de gestion)  Analyse (des besoins fonctionnels et règles de gestion, une analyse textuelle, tu dois expliquer et penser à comment appliquer ces besoins et règles en informatique)  Conception (contient les diagrammes de UML)  Développement (contient des captures d’écrans de l’application qu’on a développé)  Conclusion  Références (ou bibliographie ou Webographie) 1 les tests Les tests peuvent être développés à partir de plusieurs éléments ou informations issus du développement du logiciel : code source, spécifications, architecture, etc. Ainsi, en fonction des éléments ou informations utilisés, on distinguera différents niveaux de test: • Test Unitaire (une unité peut être une fonction ou classe) • Test Module (plusieurs fonctions/classes) (cela dépend de l’architecture, il se peut que le projet ne contient pas de modules dans ce cas on passe directement des tests unitaires au test d’intégration) • Test Intégration (plusieurs fonctions ou plusieurs classes/modules ET la bonne communication entre eux) • Test Système (on teste tout le système s’il répond correctement aux exigences du client) Différence entre tests en boîte noire et tests en boîte blanche • Dans les tests en boîte noire, un testeur ne dispose d'aucune information sur le fonctionnement interne du système logiciel. Le test des boîtes noires est un niveau élevé de tests axés sur le comportement du logiciel. • Le test en boîte blanche est une méthode de test logiciel qui utilise le code source d'un programme comme base pour concevoir des tests et des scénarios de test. TEST D’INTÉGRATION Plusieurs combinaisons de portions peuvent ainsi être testées, on peut distinguer deux approches d'intégration : (Ce schéma va être employé comme exemple pour chaque cas) Les 4 approches de l’intégration : 1) Top-down On teste les modules les plus hauts puis ceux en dessous. On obtient donc les tests de : • première étape o 1 • seconde étape o 1, 2 et 3 • troisième étape o 1, 2, 3, 4, 5 et 6 • quatrième étape o 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9 2) Bottom-up 2 On teste les modules du plus bas niveau puis ceux plus hauts qui les appellent. On obtient donc : • première étape o 7 o 8 o 9 • seconde étape o 4 o 5, 7 et 8 o 6 et 9 • troisième étape o 2, 4, 5, 7 et 8 o 3, 6 et 9 • quatrième étape o 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9 3) Sandwich On combine ici les intégrations Top-down et Bottom-up. Il faut distinguer trois niveaux : • Niveau logique (haut) ; • Niveau cible (milieu) ; • Niveau opérationnel (bas). On teste en même temps les modules de haut et bas niveau, puis on avance vers le centre, méthode réunissant les avantages des deux précédentes. • première étape o 1 o 7 et 8 o 9 • seconde étape o 1, 2 et 3 o 5, 7 et 8 o 6 et 9 o 4 • troisième étape o 1, 2, 3, 4, 5 et 6 o 2, 4, 5, 7 et 8 o 3, 6 et 9 • quatrième étape o 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9 4) Big-bang Il s’agit d'une intégration non incrémentale. On intègre tous les modules d'un coup juste après les tests unitaires. NB: Pour les tests d’intégration, les méthodes de test boite blanche et boite noire sont souvent utilisées (parfois boite grise), car les différentes portions testées pendant la phase unitaire sont vues comme des boites noires mais pas leurs interactions. TEST SYSTÈME : Tests de validation, pour s’assurer que le logiciel implanté dans le matériel répond aux spécifications fonctionnelles, en vérifiant plus particulièrement: 3  Les fonctions générales  Les interfaces matériel / logiciel  Le fonctionnement temps réel  Les performances : Teste les propriétés non-fonctionnelles comme le temps de réponse et la fiabilité. Tests avec une charge croissante de tâches; Tests en présence d'erreurs de transmission ou de temps de réponse très grands; etc.  L'allocation des ressources TEST ALPHA : le terme test alpha désignait la première phase de test d’un processus de développement logiciel, comprenant des tests portant sur les unités, les composants et le système. Dans cette phase de développement logiciel, les applications sont soumises à des tests en conditions réelles par le public cible du logiciel. Les expériences de ces premiers utilisateurs sont communiquées aux développeurs qui effectuent alors les derniers ajustements avant le lancement commercial. TEST BETA : En développement logiciel, un bêta test constitue la deuxième phase des tests logiciels (le premier étant la phase de tests alpha), au cours de laquelle un échantillon du public visé essaie le produit. Les tests bêta peuvent être considérés comme des « tests avant diffusion ». 4 C’est quoi la recette informatique ? C’est une phase de test Recette : faite par le client, validation par rapport aux besoins initiaux (tests, validation des documents, conformité aux normes...). • Une régression est un défaut introduit dans un logiciel à l'occasion de:  Corrections de bogues  Ajout de nouvelles fonctionnalités,  Modification de fonctionnalités existantes  Modification d'un composant externe( nouvelle version du système, de l'interface graphique, d'un compilateur ou d'une bibliothèque tierce qui interviennent dans son fonctionnement) • Test de non-régression ? Consiste à vérifier que des modifications apportées au logiciel n’ont pas introduit de nouvelle erreur –> vérifier que ce qui marchait marche encore 5 Test aux limites : Il s’agit de tests concernant les erreurs souvent dues au fait que le programmeur n’avait pas prévu le comportement du logiciel pour des valeurs aux limites (aussi appelées valeurs de bord): • Valeurs très grandes • Valeur de boucle nulle, négative, maximale • Données non valides • Etc... JUnit est un framework open source pour le développement et l'exécution de tests unitaires automatisables. Le principal intérêt est de s'assurer que le code répond toujours aux besoins même après d'éventuelles modifications. Plus généralement, uploads/Management/ se-pra-cparer-a-l-x27-examen-ga-cnie-logiciel-1-copie.pdf

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  • Publié le Fev 20, 2021
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