1 U.E: DSY 221 AUDITEUR CNAM: LIONEL TOTI NUMERO: 100094101 ANNEE: 2013-2014 FI
1 U.E: DSY 221 AUDITEUR CNAM: LIONEL TOTI NUMERO: 100094101 ANNEE: 2013-2014 FICHE DE LECTURE de la chaire D.S.O Evolution des organisations et du management. Rétrospective et Prospective. Questionnement sur l’organisation comportemental. Professeur Y .PESQUEUX DSY 221. CNAM Paris. Luc BOYER et Noël EQUILBEY EDITIONS MANAGEMENT ET SOCIETE, Janvier 2013. 2 SOMMAIRE. Auteurs................................................................................................................. .................... 1 Sommaire:.................................................................................................................................. 2 Biographie des auteurs……….………………...………………………………………………3 Postulat…....................................................................................................................................3 Hypothèse …………….............................................................................................................. 3 Démonstration.............................................................................................................................4 Résumé de l’ouvrage …............................................................................................................. 9 Première partie : Théories des organisations..............................................................................9 Deuxième partie : les grandes applications organisationnelles dans l’entreprise…….………19 En guise de conclusion..............................................................................................................27 Discussion critique……………………………………………………………………………28 Actualité de la question……………………………………………………………………….29 3 I. Biographie des auteurs: Luc Boyer, Directeur de recherches à Paris-Dauphine et IAE de Caen, Ingénieur diplômé de l’université de Lyon et en économie de l’université Panthéon-Sorbonne, est Docteur d’Etat en gestion (université Paris Dauphine). Consultant international en stratégie et organisation, enseignant –chercheur dans de nombreuses universités françaises ou étrangères, Directeur de collection, il a écrit ou coécrit de très nombreux ouvrages de management. Noël Equilbey, Economiste, diplôme de l’IEP Paris, est consultant international en matière d’organisation des entreprises et gestion des ressources humaines auprès d’institutions et d’entreprises tant publiques que privées. Il conduit également des missions internationales pour le compte de l’Union européenne, la Banque mondiale et les coopérations bilatérales. Il forme de nombreux cadres dans diverses structures académiques ou consulaires. Il est l’auteur de nombreux ouvrages ou articles. Ces auteurs ont rédigé ensemble plusieurs ouvrages parmi lesquels : 1. Boyer. L et Equilbey. N.(2013), Evolution des organisations et du Management, rétrospective et perspective, Editions EMS, Management et Société. 2. Boyer. L et Equilbey. N. (2003), Organisation –Théories Et Application, Editions D’organisation. 3. Boyer. L et Equilbey. N.(1986), Le projet d’entreprise, Paris, Editions D’organisation. II. Postulat «L'analyse historique des méthodes d'organisation et de management permet de prendre conscience du fait que les rapports d'autorité et la forme des structures mises en place diffèrent selon le contexte plus ou moins complexe dans lequel ils s'établissent. Toutes choses égales par ailleurs, ce contexte permet souvent d'expliquer pourquoi et comment les différents systèmes ont pu résister ou ont échoué.» soutient, L. Boyer en 2005. III. Hypothèses Pour mener à bien cette étude, nous avons posé comme hypothèses ce qui suit : 4 Pour bien comprendre les techniques et méthodes organisationnelles, rien ne vaut un petit retour sur les fondements théoriques de l’école classique et celle des relations humaines. L’école empirique ou néoclassique considérée comme un prolongement de l’école classique. Ce courant est orienté vers le pragmatisme. Le management des entreprises s’effectue aujourd’hui dans un contexte en pleine mutation et marqué par l’incertitude. Les grandes tendances du management mettent en perspective les nouvelles pratiques par des éclairages concrets, opérationnels et par des analyses sectorielles de l’entreprise. IV. Démonstration La démonstration repose sur : La Théorie des organisations et du management. Expression d’une réflexion marquée par plusieurs contextes ambiants (historique, sociologique, économique, technologique…), ces théories et ces mécanismes de pensée ont nourri l’avènement et l’évolution des nouvelles méthodes de management et de nouveaux modes de pilotages stratégique de l’organisation. Trois personnes (Taylor, Fayol et Wéber) sont considérées comme les fondateurs de ce qu'on a coutume d'appeler "l'Ecole classique du management" et leurs idées ont été largement mises en pratique dans les entreprises. Taylor s’est principalement intéressé à l’organisation des ateliers de production ; il a donné son nom au « taylorisme » ou « gestion scientifique du travail ». Fayol s’est quant à lui, davantage penché sur les problèmes de direction de l’entreprise et jeté les bases de la théorie administrative. 5 Wéber prône pour une organisation bureaucratique de l’entreprise qui est, selon, l’assurance de l’efficacité organisationnelle. L’école des Relations Humaines conteste les fondements de l’école classique qui ont déshumanisé les relations de travail. Cette contestation porte d’une part, principalement sur l’approche sommaire de la physiologie du travail (ne s’intéresse qu’à la fatigue). D’autre part, sur l’absence des composantes psychologiques et sociologiques du travail. Finalement, Sur le peu de cas attaché à la dimension humaine de l’entreprise et à l’épanouissement des individus. L’école néoclassique des organisations est résolument pragmatique, elle s’appuie sur un certain nombre de postulats sur lesquels se fondent leurs principes d’actions pour le management. D’une part, elle ne remet pas en cause le concept de postes (unité élémentaire de transformation), qui constitue la base de toute organisation, définissant pour chacun ce que l’entreprise attend de lui en termes d’activités et de résultats. D’autre part, elle insiste sur la motivation du salarié comme facteur d'incitation individuelle et collective, mais aussi sur l'intérêt du travail et la responsabilisation des salariés. D’où l’apparition des centres de profit, de la décentralisation des activités, des « divisions » (produits, marchés, géographie…), et le tout étroitement coordonné et contrôlé. Le management des entreprises s’effectue aujourd’hui dans un contexte en pleine mutation et marqué par l’incertitude. Le management de la période postmoderne. Les pratiques de management de la période postmoderne fait l’objet de nouvelles orientations aux repères incertains. Ce management subit des transformations majeures, en raison de tensions économiques, sociales, écologiques, scientifiques et technologiques qui marquent l’évolution de notre système économique actuel. Le défi qui est proposé est de concilier l’efficacité de l’organisation productive avec des objectifs qui sont essentiels au développement de nos sociétés contemporaines : prise en compte des contraintes écologiques, 6 justice sociale, compréhension de l’altérité culturelle, développement des individus, et respect de leur quête de sens. Dans ce contexte, les managers doivent de plus en plus être en capacité de traiter et d’appréhender des problématiques complexes, débordant la sphère de l’entreprise classique : - La transformation de la production industrielle au sein des entreprises devient de plus en plus globale, que dans leur processus de délocalisation ; l’ouverture de l’économie qui se traduit par l’émergence de trois pôles (Etats-Unis, Japon et Union Européenne) ; l’émergence de phénomènes planétaires comme l’écologie, les droits de l’homme, la régulation de l’économique, etc. -Les phénomènes identitaires, les conflits religieux et ethniques ; Le développement des NTIC (Nouvelles Technologies d’’Information et de Communication) induit le développement d’activités nouvelles mais il engendre également une forte diffusion des cultures et se traduit par l’hybridation, des ces cultures. Le management des ressources humaines, s’intéresse à la capacité à trouver et combiner des ressources pour en tirer des compétences adaptées aux spécificités des activités développées. La fin du XXe siècle connait des transformations notables des conditions dans lesquelles s’est développé le management des organisations. De nouvelles orientations apparaissent assorties de conséquences très importantes. Dans une tendance forte à la financiarisation des activités, les effets de l’ouverture du commerce international (Mondialisation, Organisation Mondiale du Commerce …) Se font fortement sentir alors que des nouvelles préoccupations (principe de précaution, environnement et écologie entreprise citoyenne, …) s’imposent aux entreprises de plus en plus confrontées à la nécessité d’un management interculturel. Il s’en suit une transformation rapide des repères, des outils et des méthodes avec l’apparition de nouveaux paramètres fondateurs parfois contradictoires que le management doit prendre en charge : Au poids de l’influence des actionnaires et investisseurs doit répondre les exigences de la Responsabilité Sociale des Entreprise (RSE), à la volonté de la maitrise des risques, de plus 7 en plus pénalisante pour les entreprises, à la pression écologique pour le développement durable etc. Toutes les écoles de management de la seconde moitié du XX è Siècle ont insisté sur le fondement de la motivation de l’homme au travail. De nombreux auteurs respectés ont proposé des modèles de management qui ont fait pour une part la preuve de leur efficacité. Mais, divers facteurs sociétaux et managériaux ont mis à mal ces modèles. Entre autres : Une forte tendance à la précarisation des emplois, la priorité donnée à la création de liquidités (la production du Cash) qui peut se traduire par l’externalisation des opérations à faible valeur ajouté donc autant de suppression d’emploi, L’affaiblissement du lien social dont le rôle de fédérateur et de ferment de la motivation du groupe est occulté par le développement simultané de l’individualisme et du communautarisme. Etc. L’orientation du management vers de nouveaux paradigmes ; la domination du néolibéralisme et l’incertitude des modèles. Le début du XXIe siècle, coexistent de nombreuses écoles et courant de pensée exposant leurs conceptions méthodologiques parfois opposées et, par conséquent, entrainant des préconisations en matière de politiques économiques avec l’influence que l’on sait sur le management. Ce dernier, en effet, va souvent structurer selon le type de modèle dans lequel il est plongé. Les courants Keynésiens vont privilégier l’intervention de l’Etat dans l’économie afin d’agir sur le niveau de la demande réelle avec l’ambition de contrer les situations de sous-emploi. Les courants monétaristes considèrent que l’influence de la monnaie est relativement neutre sur l’économie réelle. Les courants néo-classiques privilégient les analyses au niveau non agrégé, à celui de la firme dans un marché libre et ouvert, et préconisent généralement la stabilité budgétaire. Le courant du Marxisme économique à montré ses limites depuis la fin des années 1990. N’étant plus utilisé, il a constaté son échec. L’influence des préconisations en matière de uploads/Management/boy-ere-quil-bey.pdf
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- Publié le Nov 04, 2021
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