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0 Voyage au centre de la lumière Partagé par StankaB 1 " L'accélération constan

0 Voyage au centre de la lumière Partagé par StankaB 1 " L'accélération constante du progrès technologique et des changements du mode de vie humain semblent nous rapprocher d'une singularité fondamentale de l'histoire de l'évolution de l'espèce. Limite au-delà de laquelle l'activité humaine, telle que nous la connaissons ne pourrait se poursuivre. " Cet extrait datant de l'époque des 30 glorieuses, fit la conclusion d'un cercle de réflexion destiné à prévoir comment la société humaine évoluerait sur la base d'une technologie exempte de révolution. Moins d'un siècle plus tard, force est de constater que cette inquiétante projection, nous concernant tous, semble se vérifier. Depuis la vapeur de l'ère industrielle des années 1900, la science n'aura généré que des évolutions techniques. Quelques-unes furent majeures, comme l'électricité ou l'informatique, mais ce dont nous aurions réellement besoin est l'accès à la connaissance originelle. Seule l'information de cette mémoire éloignera l'humanité d'une sombre singularité technologique, synonyme d'un chaos économique et social généralisé. La technologie relative à notre civilisation est inefficiente, dans ce cas : Comment sortir de cette impasse ? Pour résoudre un problème quelconque, rien n'est plus accessible et efficace que la logique élémentaire. Concernant notre technologie sur le déclin, le défi est de taille puisque nous devons solutionner sa problématique majeure : la destruction inéluctable des ressources naturelles non renouvelables. Emporté dans une spirale infernale, le discutable progrès n'a cessé, et continue, d'augmenter sa consommation énergétique. Ainsi, pour alimenter cette évolution du non-sens, nous brûlons, enfumons et polluons notre espace de vie : la terre. Et après ? Peut-être avons-nous évolué trop vite, au point d'en oublier l'essentiel. Pour sortir de ce schéma faisant ombre à l'intelligence humaine, la solution serait de puiser l'énergie là où elle se trouve, à savoir dans le vide. Seule la compréhension et la maîtrise de cette substance inépuisable ferait la révolution de la société humaine. Nous savons que toute la réalité physique est édifiée à partir de cette énergie propre et fondamentalement indissociable du dessein de l'humanité. Puisqu'il est urgent d'agir, alors réunissons nos cerveaux de primates, et osons une expérience de pensée qui n'aurait pas d'équivalent expérimental. Pour saisir cette ressource invisible, nous allons devoir remonter le fil du temps jusqu'à son point d'origine : un carré ! (1958) - Extrait d'une conversation entre Stanislaw Ulam et John von Neumann * * Mathématiciens et Physiciens ( USA ) 2 Pour écrire la procédure permettant de visualiser la structure de l'énergie du vide, cet exposé est scindé en deux parties. La 1ère consiste à découvrir un aspect fondamental de la géométrie au travers d'un concept universel suivant une mathématique élémentaire. Dans la seconde partie, nous quitterons le tracé de la physique pour entrevoir sa source métaphysique à l'aide des nombres. Le contenu qui va suivre nécessite une certaine concentration, au point d'inviter le lecteur à s'immerger dans une représentation mentale des conditions initiales. Ces dernières sont une simultanéité de causes transcendantes réfléchies par les nombres entiers. Pour faire ce voyage, nous allons devoir retourner dans notre plus lointain passé, et nous installer dans le point de départ de la réalité. Cet instant se prolongeant en une période fera la genèse du temps. Que savons-nous de cette notion obscure ? Rien… ou du moins pas grand-chose. Ainsi, nous sommes acteurs de son éternel écoulement, sans percevoir ce qu'il est réellement. Très gourmande en énergie, l'intégralité de la physique du réel est emportée par cette spirale temporelle. Ainsi, pour rendre compte de sa dynamique spiralée, le temps devrait se confondre en une énergie primordiale. Insaisissable, la texture du temps serait une très bonne candidate pour expliquer les 96 % de la masse manquante de l'Univers, laquelle est indissociable de l'énergie du vide... Il est probable que les lignes précédentes fassent glisser quelques chaises. Profitons de cet instant pour indiquer que l'ensemble de ce qui va suivre a été pensé de manière à ce que chacune des pages soit comprise et critiquée objectivement. Le but de cet exposé n'est donc pas de proposer une théorie de ce que pourrait être le temps, mais plutôt un partage d'observations personnelles suggérant que le vide serait rempli d'une structure polarisée, laquelle ferait le temps. Précisons qu'il ne s'agirait pas d'une découverte en soit, puisque des civilisations très anciennes ont témoigné de cette connaissance. Pour s'en convaincre, c'est aux quatre coins du monde qu'ont été observées des représentations de serpents, de dragons et de spirales. Ces symboles ont tous en commun de traduire l'énergie du temps... Nous n'avons malheureusement pas retrouvé de textes notifiant la méthode d'accès à cette manne énergétique. Ce pourquoi nous allons devoir partir du point de départ, et tenter d'appréhender le processus déclenchant le premier " tic " temporel. Puisque les anciennes civilisations savaient, alors l'ensemble de cette réflexion a été construite sur la base de notions élémentaires. En effet, aucun artefact témoignant de l'utilisation d'une technologie, telle que nous la connaissons aujourd'hui, n'a été retrouvé pour expliquer ces savoirs. D'après le modèle standard, le temps aurait été projeté par un gigantesque flash nommé Big Bang. Ainsi, l'origine de cette notion immatérielle se traduirait par un point infiniment petit, à la densité et à la température extrêmes. Voilà près de 14 milliards d'années que ce point aurait subitement explosé, laissant s'échapper la mécanique d'une prodigieuse horloge universelle, qui, depuis, rythme le temps. Dans ces conditions, il peut paraître surprenant que ce mécanisme de précision ayant matérialisé la complexité du réel, puisse être le résultat d'une effroyable explosion issue d'un improbable néant ! En revanche, lorsque conceptualisée par les mathématiques, la fonction de la géométrie est de sonder l'invisible. Ainsi, cela sous-entendrait que ce qui semble vide serait en réalité rempli d'une structure faite de traits. Or, calculer et réaliser des traits était à la portée de nos ancêtres communs. L'avantage du tracé est qu'il permet de donner une forme à l'imaginaire, invisible autrement. Puisque rien ne pourrait être sans que des lignes ne le fassent apparaître, nous allons dessiner dans cette première partie des formes géométriques élémentaires, telles que des carrés, des triangles, et des pentagones. Mais avant, l'objectif de cette expérience étant de figurer la logique primordiale, posons cette première question : Comment est apparu le temps ? 3 ( GALERIE > instagram.com - StankaB_231 ) Fractale luminifère 4 PREMIERE PARTIE A eux seuls, ces neuf symboles caractériseraient toute l'information relative au domaine du réel. Témoins d'un monde invisible, ils seraient porteurs des concepts mathématiques, qui, lorsque formulés, permettraient d'intégrer le visible par les nombres entiers. Jaillissant d'un horizon intemporel entièrement chiffré, la source de la réalité physique serait alimentée par d'interminables codes numériques. Afin de programmer le réel, les nombres génèreraient un tourbillon de suites encodées, plongeant vers une singulière logique arithmétique. Sans ces 9 symboles, pas de secondes, pas de lumière et pas de questions sur l'origine de la physique organisant le Grand Tout, soit l'intelligence du Cosmos : la Quintessence. Origine mathématique du cycle temporel = 1 + 1 + 1 + 1 ... Cette trame principale, défilant tous les nombres entiers, figurerait l'Unité physique. Cette unité à l'évolution perpétuelle se décomposerait en une tresse faite de trames spécifiques classant méthodiquement tous les nombres qu'elle compte. Ce réseau de trames secondaires, intrinsèque à l'Unité physique, exprimerait sa dynamique structurelle et formerait alors l'Unité quantique. Cette relation discrète, composée d'une infinité de trames reliées numériquement, assurerait la fonctionnalité de tout objet physique (Unité), qui deviendrait saisissable par l'expérience. Les lois des mathématiques tissant la partie insondable du vide de la réalité physique seraient initiées par cette symbiose numérique. La notion obscure du vide, posant bon nombre de questions existentielles restées sans réponses, serait remplie et structurée par les nombres seulement, et deviendrait observable par le trait uniquement. Si, depuis l'émergence du temps, l'Unité du Grand Tout étoffée de ses trames numériques écrivait un livre, celui-ci contiendrait toutes les recettes des composantes de la Nature. Ce recueil listerait l'infinité des nombres entiers sur des pages sans fin caractérisant l'ensemble continu des probabilités. Le spectre ramifié de ces probables profilerait toutes les mathématiques que nous connaissons (ou peut-être pas encore ?). Ces feuilles entremêlant d'inquantifiables copies de neuf symboles raconteraient l'histoire de nos origines, tout en conditionnant celles de nos devenirs. Ainsi, essayons d'entrevoir l'architecture et l'organisation de cette mémoire numérisée qui nous concernerait tous ... Les chiffres " Le grand livre de l'Univers est écrit en langage mathématique " (Galilée) Cette synthèse, évoquant la clé du savoir par les nombres, peut-elle rendre compte de la création ? Si tout est parti d'un langage numérique organisé à partir de neuf caractères, la logique mathématique primordiale devant engendrer quelque chose aurait pu être élémentaire, telle une addition perpétuelle. L'Unité 1 s’auto répliquerait indéfiniment afin de produire tous les nombres entiers. Ainsi, une réaction en chaine serait générée, laquelle traduirait la dynamique d'une temporalité. Genèse des multiples de 1 = 1 (+ 1), 2 (+ 1), 3 (+ 1), 4 ... Envisageons une approche différente des conditions préexistantes à la réalité apparente... Cet exposé présente un concept universel permettant de uploads/Philosophie/ 1ere-partie.pdf