Fiche de lecture AGGOUNE AMINE Management Group 1 Intitulé du document 01: Le K
Fiche de lecture AGGOUNE AMINE Management Group 1 Intitulé du document 01: Le Knowledge Management: Vers la Valorisation du Patrimoine des Connaissances Dans l’entreprise Algérienne (Cas: Sonatrach) Le Knowledge Management ( ou management des connaissances) permet de préserver ce savoir, de le diffuser, d’aider le travail en équipes transversales et d’accroître la compétitivité. Certes, la question de la connaissance remonte, si l’on veut, à 60 000 ans ou plus… Certes, presque toutes les entreprises peuvent citer une ou deux initiatives d’individus ayant pris soin de classer telle documentation ou projet dans une armoire, telle information client sur une base de données, telle procédure dans un manuel, tel groupe de réflexion, etc. Cependant, notre ambition n’est pas de nous contenter de quelques initiatives sporadiques et isolées, mais de concevoir et déployer un véritable projet d’entreprise, soutenu par la direction générale, et décliné à tous les niveaux opérationnels. C’est à ce niveau d’ambition que l’entreprise pourra attendre de véritables bénéfices. Donner à tout prix une définition à un concept complexe et multiforme comme le Knowledge Management, vouloir absolument délimiter le périmètre de ce qui appartient au KM et exclure ce qui n’en fait pas partie, peut s’avérer un peu dogmatique. La connaissance est définie comme une construction personnelle qui constitue la pensée originale de l’homme et qui repose sur un ensemble d’opérations mentales de modélisation permettant aux Hommes de comprendre le monde et d’agir de façon plus sûre sur la base des modèles prédictifs ainsi rendus disponibles. La donnée représente ce que l’on a collecté ;ensuite, avec la juxtaposition de données de différentes natures, on aura une information et lui donner de la valeur pour devenir une connaissance . la connaissance est caractérisé par : - La connaissance est un bien « non excluable » et donc difficilement contrôlable. - La connaissance est un bien non rival et non exclusif. Les catégories de connaissances dans l’entreprise : - La connaissance explicite (codifiée). - La connaissance tacite. Economie de la connaissance : l’usage du concept d’« économie du savoir », ou d’« économie fondée sur le savoir » a fait l’objet de nombreuses déclarations, de discours, de publications ou d’études depuis la décennie 1990. Force est de constater que ce terme devient largement banalisé, mais aussi protéiforme et polysémique. Cette note de travail se propose ainsi, dans une première partie, d’éclairer et d’étayer ce concept, à travers une identification et une lecture de ces différents pôles : le savoir, les technologies numériques de l’intellect , et les finances, le plus souvent insérés et concentrés au sein d’un espace territorial souvent qualifié d’économies d’agglomération intensives en connaissances. Une seconde partie enrichit cette perspective en mettant en exergue les différentes combinaisons interactives entre ces pôles. Par ailleurs, de manière un peu paradoxale, on relève dès à présent que l’économie du savoir se préoccupe très marginalement des questions attachées à l’apprentissage et à la formation des adultes, à l’exception allusive des tenants du courant de l’économie fondée sur les connaissances. Les indicateurs de l’économie fondée sur la connaissance: - La montée du capital intangible - L’importance croissante de l’éducation La gestion de connaissance : La compétitivité entre les entreprises prend aujourd’hui une dimension où les connaissances sont considérées comme le facteur clé du succès, ce qui suppose de mettre en place une gestion de connaissances afin de permettre leur création, leur diffusion, leur protection et leur renouvellement pour préserver la compétitivité. la notion de gestion des connaissances: Le knowledge management, ou bien la gestion des connaissances est défini comme une démarche qui consiste à traduire et implanter des informations non structurées en solutions techniques notamment basées sur l’intranet, l’extranet et l’internet ; il constitue la gestion consciente, coordonnée et opérationnelle de l’ensemble des informations, des connaissances, des savoir-faire des membre d’une organisation . Les trois fonctions du KM: - La création ou la production de la connaissance - La capitalisation des connaissances - Le transfert des connaissances La démarche knowledge management : - L’extériorisation de connaissances. - La rédaction - La réalisation du livre de connaissances Intitulé du document 02 l’algérie et les défis de l’économie de la connaissance Le concept de l’EFC: Il est de plus en plus reconnu que l’une des sources principales de création de richesse réside dans la connaissance et le savoir. La compétitivité d’un pays, d’une entreprise ou d’un territoire dépend largement de sa capacité à accumuler, produire et valoriser la connaissance qui constitue de ce fait une nouvelle forme de capital dans la sphère des biens immatériels. L’économie fondée sur la connaissance correspond essentiellement, dans chaque pays, au secteur d’activités de production et de service fondées sur des activités intensives en connaissance. Celles-ci sont habituellement repérées en combinant des indicateurs portant sur la production et la gestion des savoirs, tels que les dépenses de recherche et développement (R&D), le taux d’emploi des travailleurs diplômés et l’intensité de l’utilisation des nouvelles technologies de l’information. L’émergence de l'Économie Fondée sur la Connaissance en Algérie: La démarche en Algérie a débuté dès la tenue de la conférence de Marseille 1 en 2003 où une importante délégation prendra part à l'événement. Les autres participants étaient soit du secteur privé, des institutions de formation, ou des personnes associés es-qualité. En 2003, une conférence organisée par le Ministère des Postes portera sur le thème de la e- Gouvernance soutenue par la Banque mondiale. La deuxième rencontre de Marseille II en 2004 donnera lieu à un début d’institutionnalisation du processus. C’est également durant cette rencontre que sera présentée la première étude sur l'Économie de la connaissance en Algérie : état des lieux. La dimension institutionnelle était plus prégnante : en plus des institutions de formation, du secteur privé, des institutions de formation, était également représenté. A l’initiative du bureau de la Banque Mondiale Alger, une réunion est organisée entre les participants à la réunion de Marseille II. Elle visait essentiellement à mettre en place d’un groupe de réflexion informel, pour les activités de follow-up et de suivi. La troisième étape est celle qui a suivi la rencontre de Tunis, le groupe algérien pour l’économie de la connaissance, qui s’est formé en 2005 et a tracé un programme de travail dont l’un des objectifs majeurs était de préparer la première conférence nationale sur l’EFC. La volonté de certains membres du Gouvernement au niveau de la décision publique de vouloir s’inspirer des apports de cette nouvelle économie et l’application de certains des principes et l’application effective dans certains cas. Ce nombre reste toutefois limité (recherche, formation professionnelle, développement rural, aménagement du territoire). Le long processus de sensibilisation fait partie de la démarche d’appropriation collective de l’outil, sans lequel la mise en œuvre reste toute théorique. Il n’est toutefois d’appropriation collective que si un processus cumulatif de connaissance collectif est mis en place. pourquoi l'économie fondé sur la connaissance en algérie: pour des raisons de : - potentiel humain - connaissances tacites - diversification - pauvreté - ZLE, OMC, NEPAD - compétition mondiale - logiques d’investissement l’algérie dans l'échelle de l’EFC: Celle-ci propose une méthodologie de mesure de la connaissance (Knowledge Assessment Methodology) basée sur 109 variables regroupées en quatre dimensions ou bien en quatre piliers à savoir (l’éducation et formation,recherche et développement, les TIC et infrastructures et institutions et incitations). Plusieurs indicateurs nous permettent de saisir les efforts en matière d’éducation. L’Algérie, au même titre que pour le reste des pays de la région MENA, accorde une importance capitale pour l’éducation de base sur laquelle repose les études supérieures. Elle a consacré 4.5% de son produit intérieur brut pour la scolarisation de ses enfants en 1999. Ce taux a baissé en 2008 à 4.3, bien qu’il soit important, cette part du PIB reste inférieure à celle de la Tunisie 6,3%. Pour avoir un indicateur plus juste de l’effort des pays dans l’éducation, il est nécessaire de pondérer les dépenses par le nombre d’élèves et d’étudiants présents dans le système éducatif. La connaissance dans l’économie algérienne demeure encore peu développée. uploads/Philosophie/ mngt-des-connaissance.pdf
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- Publié le Dec 13, 2021
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