Notes et références Notes a. ↑ Denis de Casabianca note, par exemple, comme « s
Notes et références Notes a. ↑ Denis de Casabianca note, par exemple, comme « sources probables de Montesquieu sur ces questions climatiques » : Aristote, Hippocrate, Huarte, Bodin62. Selon Anne-Marie Chabrolle-Cerretini, cette « idée d'un rapport triangulaire entre les conditions extérieures (surtout climatiques), un peuple et une culture », notamment les éléments « institutionnels », analysés comme le résultat d'une « causalité », « reprise par Montesquieu », serait l'héritage d'une « opposition pays nordiques/pays du Sud, développée dès le XVIe siècle ». Voir Anne-Marie Chabrolle-Cerretini, La vision du monde de Wilhelm von Humboldt / Histoire d'un concept linguistique, Lyon, ENS Éditions, 2007, pp. 35-57. b. ↑ Voir à ce sujet le Journal de Paris, 16 septembre 1784, p. 1101 et les ‘’Œuvres complètes de Montesquieu’’, Paris, Belin, 1817, tome premier, 1re partie110. Références 1. ↑ Ce fait fut d'ailleurs mentionné dans l'acte paroissial : « ce jour 18 janvier 1689, a été baptisé dans notre église paroissiale, le fils de M. de Secondat, notre seigneur. Il a été tenu sur les fonds par un pauvre mendiant de cette paroisse, nommé Charles, à telle fin que son parrain lui rappelle toute sa vie que les pauvres sont nos frères. Que le bon Dieu nous conserve cet enfant. » 2. ↑ Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Bordeaux, « Table historique et méthodique (1712- 1875). Documents historiques (1711-1713). Catalogue des manuscrits de l'ancienne Académie (1712- 1793). » [archive], Imprimerie Gounouilhou, 1879 (consulté le 3 avril 2016), p. 16. 3. ↑ Dr H.-M. Fay, Dr H.-Marcel, Histoire de la lèpre en France . I. Lépreux et cagots du Sud-Ouest, notes historiques, médicales, philologiques, suivies de documents, Paris, H. Champion, 1910 (ark:/12148/bpt6k57243705) 4. ↑ « Charles Montesquieu » [archive], sur Grand Lodge of British Columbia and Yukon, 2011 (consulté le 15 janvier 2013). 5. ↑ « Montesquieu le philosophe oublié » [archive], sur l'Édifice, 1989 (consulté le 15 janvier 2013). 6. ↑ Montesquieu, Considérations sur les […] Romains, Œuvres complètes, t. II, Oxford, Voltaire Foundation, 2000, p. 315-316. 7. ↑ (fr) « MONTESQUIEU Charles-Louis de Secondat, baron de La Brède et de » [archive], sur le site du Comité des travaux historiques et scientifiques (CTHS) (consulté le 25 octobre 2013) 8. ↑ Revenir plus haut en :a et b M.-L. Dufrénoy, « Évolution d’un phénomène pathologique et évolution du style chez Montesquieu », Revue de pathologie comparée, mai 1966, p. 305-310 9. ↑ Denis Huisman, De Socrate à Foucault (pages célèbres de la philosophie occidentale), Paris, Perrin, 1989. 10. ↑ Jean Dalat, Montesquieu magistrat. L'homme en lutte avec ses contradictions., Archives Montesquieu n° 4, 1972, p. 91 11. ↑ « mes lectures ont affoibli mes yeux, et il me semble que ce qui me reste encore de lumiere n’est que l’aurore du jour où ils se fermeront pour jamais». Pensées, n° 1805 [archive]. 12. ↑ Jacques Battin, « Montesquieu malvoyant, puis aveugle », Histoire des sciences médicales - Tome XLVIII - N° 2 -, 2014 (lire en ligne [archive]) 13. ↑ Jean Starobinski ("La cécité obligera Montesquieu à dicter son livre; L'Esprit des lois..."), Monstequieu par lui-même, Paris, Seuil, 1971, 191 p., p. 25 14. ↑ Catherine Volpilhac-Auger, « La cécité supposée de Montesquieu - Montesquieu » [archive], sur montesquieu.ens-lyon.fr, mars 2017 (consulté le 25 novembre 2020) 15. ↑ Extrait du registre paroissial de l'église Saint-Sulpice à Paris : « ledit jour (11 février 1755) a esté fait le convoi et enterrement de haut et puissant seigneur Charles de Secondat, baron de Montesquieu et de la Brède, ancien président à mortier du parlement de Bordeaux, l'un des quarante de l'Académie françoise, décédé le jour d'hier rue Saint-Dominique, âgé de soixante-cinq ans, en présence de Messire Joseph de Marans, ancien maître des requestes honoraire et de Messire Charles Darmajant petit-fils du deffunt qui ont signé Marans, Darmajan, Guerin de Lamotte, de Guyonnet, de Guyonnet de Coulon, Marans cte d'Estillac, J. Rolland, vicaire » ; (registre détruit par l'incendie de 1871 mais acte recopié par l'archiviste Auguste Jal dans son Dictionnaire critique de biographie et d'histoire, Paris, Henri Plon). 16. ↑ Cf. son Histoire intellectuelle du libéralisme. 17. ↑ Revenir plus haut en :a b c et d De l'Esprit des lois, II, 1. 18. ↑ De l'Esprit des lois, IV, 2. 19. ↑ De l'Esprit des lois, II, 2 ; IV, 5 ; V, 3.. 20. ↑ De l'Esprit des lois, III, 4. 21. ↑ De l'Esprit des lois, III, 7 : « il faut que la crainte y abatte tous les courages et y éteigne jusqu'au moindre sentiment d'ambition ». 22. ↑ De l'esprit des loix, Livre XI, chap. IV. 23. ↑ Aristote (Les Politiques, Livre VII, chapitre VII), Poseidonios d'Apamée, Ibn Khaldoun (Les Prolégomènes, Livre I, section I) ou Jean Bodin (La République, Livre V, chap. I) avaient déjà prétendu établir une différenciation dans le tempérament attribué aux différents peuples et dans l'organisation politique des sociétés ou déterminer le plus ou moins grand degré d'avancement des civilisations par la théorie des climats. 24. ↑ Revenir plus haut en :a b et c De l'Esprit des lois, XIV, 2. 25. ↑ De l'Esprit des lois, XXI, 2. 26. ↑ Céline Spector, « Il est impossible que nous supposions que ces gens-là soient des hommes » : la théorie de l'esclavage au livre XV de L'Esprit des lois, 2011. Article en ligne [archive]. 27. ↑ « Défense de Montesquieu » [archive], sur Assez décodé ! 28. ↑ Russel Parsons Jameson, Montesquieu et l'esclavage, Paris, Hachette, 1911, p. 347. 29. ↑ Jean Ehrard, L'Idée de Nature en France dans la première moitié du XVIIIe siècle, rééd. Paris, Albin Michel, 1994, p. 500. 30. ↑ Denis de Casabianca, De l'esprit des lois, Paris, Éditions Ellipses, 2003, p. 58. 31. ↑ Louis de Jaucourt, "Esclavage", L'Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, Tome 5, 1751, p. 934. 32. ↑ Mirabeau, Courrier de Provence, du 24 au 27 juillet 1789. 33. ↑ Mirabeau, Courrier de Provence, du 8 au 10 août 1789. 34. ↑ Condorcet reprend intégralement un long extrait de M. Grouvelle, De l'autorité de Montesquieu dans la révolution présente in La Bibliothèque de l'Homme public ou Analyse raisonnée des principaux ouvrage français et étrangers, tome 7, Paris, Buisson, 1790, pp. 3-100. 35. ↑ "Lettre d'Helvétius à Montesquieu", Œuvres de Montesquieu, tome IV, Paris, Dalibon, 1837, p. 299. 36. ↑ Alphonse Dupront, "Espace et humanisme", Bibliothèque d'humanisme et de renaissance, tome VIII, 1946, p. 39-40. 37. ↑ Voir la critique formulée contre les législateurs par Helvétius dans De l'Esprit, Paris, Durand, 1758, note c, p. 21 : « Dans les pays policés, l'art de la législation n'a souvent consisté qu'à faire concourir une infinité d'hommes au bonheur d'un petit nombre ; à tenir, pour cet effet, la multitude dans l'oppression, et à violer envers elle tous les droits de l'humanité. » 38. ↑ Alphonse Dupront, "Espace et humanisme", Bibliothèque d'humanisme et de renaissance, tome VIII, 1946, p. 39-40. Voir également l'article de Denis de Casabianca, "Une anthropologie des différences dans L'Esprit des lois", Archives de Philosophie, 2012/3, Tome 75, pp. 405-423 : « Le regard que Montesquieu entend porter sur l'ensemble des institutions humaines dans L'Esprit des lois suppose une attention à ce qui gouverne les hommes vivant en sociétés ». 39. ↑ Michel Leiris, "Race et civilisation", Cinq études d'ethnologie, Éditions Denoël, 1969, pp. 76-77. 40. ↑ De l'Esprit des lois, XV, 18. 41. ↑ Jacques Rancière, La haine de la démocratie, Paris, La Fabrique, 2005. Voir l'introduction. 42. ↑ Sade, Histoire de Juliette, 1801, Quatrième partie. 43. ↑ Louis de Jaucourt, "Esclavage", L'Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, Tome 5, 1751, p. 938 : « Enfin c'est se joüer des mots, ou plutôt se moquer, que d'écrire, comme a fait un de nos auteurs modernes, qu'il y a de la petitesse d'esprit à imaginer que ce soit dégrader l’humanité que d'avoir des esclaves, parce que la liberté dont chaque européen croit joüir, n'est autre chose que le pouvoir de rompre sa chaîne, pour se donner un nouveau maître ; comme si la chaîne d'un européen étoit la même que celle d’un esclave de nos colonies : on voit bien que cet auteur n'a jamais été mis en esclavage. » 44. ↑ Condorcet, Réflexions sur l'esclavage des nègres, Neufchâtel, Société Typographique, 1781, chapitre 4. 45. ↑ Michèle Duchet, Anthropologie et histoire au siècle des Lumières, rééd. Paris, Albin Michel, 1995, p. 154. 46. ↑ De l'Esprit des lois, XXI, 21. 47. ↑ Condorcet, Réflexions sur l'esclavage des nègres, Neufchâtel, Société Typographique, 1781, p. 9 : « Demander si cet intérêt rend l'esclavage légitime, c'est demander s'il m'est permis de conserver ma fortune par un crime. » 48. ↑ Delesalle Simone, Valensi Lucette, "Le mot « nègre » dans les dictionnaires français d'Ancien régime ; histoire et lexicographie", Langue française [sous la direction de Jean-Claude Chevalier et Pierre Kuentz], no 15, 1972, p. 79-104. 49. ↑ Voir, entre autres, l'anecdote rapportée par Condorcet dans ses Réflexions sur uploads/Philosophie/ notes-et-references-sur-montesquieu.pdf
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- Publié le Oct 11, 2022
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