ROSAXIS Vues d’un Gnostique. Rosaxis est un recueil de pensées à thèmes philoso

ROSAXIS Vues d’un Gnostique. Rosaxis est un recueil de pensées à thèmes philosophiques. A ma femme qui m’écoute parler de mes théories et de me mes pensées. Multiplicité des thèmes 1-Fleur 2-Symbolisme 3-Formation des idées 4-Le miroir 5-Eternita 6-La lettre 7-Jesus 8-La lutte 9-L’arbre 10-Le savoir* 11-Ecrire 12-Renaître 13-Le grain de sable 14-La recherche 15-Science /religion 16-Dire 17-La reine 18-Combat 19-Les sots 20-Finalement 21-Effet miroir 22-Harmonie 23-Décantation 24-La métaphore 25-Amalgme 26-Point de vue 27-La mort/La vie 28-Vie /Anima 29-Science/Inconscient 30-Par une Correspondante 31-La pierre 32-Art 33-Politique 34-Argent 35-Amour 36-Extase 37-Alcools 38-Culture morte 39-Arbre creux 40-Shéma 41-Mnémotechnique 42-Transpersonalisation 43-Philo/Méta 44-Œil Ouvert 45-Danger/Nature FLEUR COMPOSITE Tout est en tout pour le tout… Poèmes, réflexions, recherches philosophiques et poétiques… De la similitude si l’on devait avoir une représentation de l’esprit universel, par sa pluralité; Alors je choisirai sans hésitation la rosace ou le mandala qui sont une même et unique chose car confectionnés dans le même but: -sous formes de diagrammes, de cercles et de fleurs, de cœurs, de traits, de croix, ayant tous un point central et comme une rotation par conception. Autour de cet axe dont le but est de porter symboliquement son attention sur un schème dans un but méditation, permettant à l’esprit de ce concentrer ainsi de passer de l’état de conscience humaine à celui de conscience modifiée dite spirituelle. Par concentration sur un point du dessin une image en trois dimensions peut apparaître par la force de l’imagination, alors qu’elle n’est au départ qu’en deux dimensions, l’application de la pensée canalisée ainsi permet l’ouverture d’une fonction cérébrale sous estimée et pourtant présente en tout en chacun, le fait de s’exercer sur des dessins de ce type permet de remettre en fonction certaines possibilités de perceptions dans le temps et espace. L’harmonie passant par la tranquillité de l’âme est une chose internationale. Cela c’est schématisé sous diverse formes de mouvements par la culture et les religions qui ne sont que le reflet de l’intériorité de l’homme et de sa quête qui est immense, par ce que l’homme restera l’homme, et que rien ni personne ni pourra changer ce fait. Cet archétype est le plus représentatif de la pensée humaine et de l’esprit universel. C’est pour cela que je l’ai choisi sous forme de pensée chrétienne puisque je suis chrétien de par ma culture mais, si j’avais été Indien, ou arabe ou autre cela aurait été une autre interprétation similaire, l’essentiel est je sais l’inspiration « intérieure » toute notre humanité se ressemble l’élan du cœur est en l’homme. Il n’y a pas une vérité mais des vérités profondes d’états d’âmes qui unis par la trame de l’être à une même essence, la recherche commune. Cette voie venant du plus profond de nous est la recherche de l’amour universel en l’image de base déposée, pour passer de soi : indo au grand tout cosmologique : exo. La Gnose (point G en soi) connaissance de soi et du tout (un est multiple uni)est une chose inhérente à tout individu. Etant chrétien je ne doute pas que Christ est été alors son incarnation humaine (incarnation de la gnose mystique, la rose des alchimistes). la recherche reste du cœur et elle est active par le cœur quand elle est faite pour le don de soi pour l’autre, l’amour du prochain, la recherche et l’ouverture de son cœur sa propre rose à soi qui existe en soi. Par une pratique de la méditation, concentration, et prière intense, introspection, peu importe le dénominatif au fond je vois la même chose « la rose du cœur »que tout homme possède même le pire (car même s’il y a obscurantisme il ne peut y avoir d’absence de cœur dont de quête intime). Chacun possède en son être cette fleur car c’est un don du ciel, qui n’a pas de prix et qui est si profondément enfouis en soi comme un trésor que l’homme peine à trouver par ce qu’il manque simplement d’introspection et souvent de temps donné à lui-même et surtout de volonté et de force pour voir sans le truchement de son égocentricité (filtres du corps). En fait je vais vous dire ce que je pense des rosaces et des mandalas, ils sont un morceau de Dieu lui-même au plus profond de l’être, une image quadridimensionnelle Image laissée à l’homme comme legs d’une partie du grand tout dans le cœur même de l’être. Ce cœur fleur étant à découvrir par soi et à ouvrir pour une prise de conscience de notre surmoi latent pouvant être réveillé seulement par l’individuation. Et ainsi transcender la matière du corps dans lequel l’homme est capitonné par nature physique (incorporation) et dont il se doit de faire pour vivre une expérience surnaturelle (La métanoïa). Comme je l’ai déjà expliqué dans le système (premier livre un peu plus nébuleux certes mais plein d’idées) l’homme si l’on s’en réfère à une bonne traduction biblique comme André Chouraqi n’est pas à l’image de Dieu par son physique mais par le psychique. Mais à à l’intérieur même de son être une partie de Dieu est, ce qui n’est pas du tout la même chose qu’à l’image mais à l’intérieur. Dans le premier cas du terme de l’image, terme religieux, l’homme gonfle son ego en se disant à l’image de Dieu presque physiquement quelle hérésie, alors que la ressemblance est en son intérieur (psyché) alors Dieu n’est donc, toujours pas visible ni palpable comme la psyché l’est elle aussi, ce qui est donc contradictoire avec une vision simpliste. La bonne traduction n’est pas a son image mais en son essence ,intime donc et donne ainsi un non sens à cette traduction «simplifiée et truquée»des bibles contemporaines vulgates est-ce voulu? Alors que la bonne traduction étymologique plus cohérente explique bien que l’homme à au fond de lui-même comme un germe qu’il lui faut ensuite développer, par une prise en compte de ce germe interne, parcelle d’une partie de l’immensité du grand architecte qu’il lui a été donné en son être intérieur. Il est donc possible par une introspection alchimique de comprendre sa propre origine divine et de pouvoir ouvrir l’œil interne du cœur. S’ouvrir donne une vision métaphysique qui dépasse l’entendement normal de la vue par le truchement de la matière puisque cela transcende la dite matière (sens commun) par un rayonnement de l’intérieur vers l’extérieur. Ainsi le canal ouvert peut recevoir l’énergie cosmique (esprit saint) pour un ressouvenir de soi latent et une réhabilitation de son moi intérieur (encodage génétique développé). Vivre une expérience telle que celle là en comprenant la profondeur du vécu passif est notablement plus enrichissant par une réelle prise de conscience de son être intérieur réveillé . Seulement vivre et se laisser aller en la profondeur requise réveillée pour prendre en son ensemble par la métanoïa ,point G d’un éveil du cœur de l’être et l’étape indispensable à tout quêteur de l’absolu. Donc tout dessin de croix , de svastika , de spirales, de rosaces et mandalas sont en sorte un ressouvenir remodelé par des artistes en des cercles ou rosaces, dessins de cette empreinte au fond de soi , dessins retransmis depuis des temps immémoriaux jusqu’à notre époque actuelle ou certains initiés en ont encore connaissance et font des vitraux(élus catholiques ), des architectures de schème en trois dimension (pagodes ) ,plan de la nouvelle Jérusalem (docte cabaliste) rebâtie dans l’apocalypse en ce ressouvenir au fond de soi car ce point commun de tout homme. C’est une architecture semblable, une très forte similitude par les dessins de type rosace et mandala, le point commun le plus fort étant du domaine de l’inconscient collectif prenant forme par une sorte de ressouvenir en latence globale mais en état d’éveil pour certains initiés des mystères. Son origine est de l’intérieur même de chaque individu par la partie du grand tout cosmologique, le moi intérieur, l’infiniment grand se retrouvant dans l’infiniment petit. Ce qui cautionne ma vision de microcosme et macrocosme unis l’un à l’autre et faisant parti de l’un dans l’autre lié un dans leur structure par une genèse commune (le multiple dans le UN et le UN étant le multiple). A l’origine le mot mandala est un terme sanscrit qui, dans les textes les plus anciens, signifie centre, circonférence, cercle magique. Il a la même signification d’avec la rosace ils ne sont qu’une même et unique chose l’une d’origine occidentale et l’autre d’origine Indienne égyptienne (fleur de vie) ou autre... Le cercle apparaît de bonne heure dans l’histoire humaine (cercle magique ou sacré), dans la mythologie égyptienne, chez les Amérindiens dans leur modèle d’orientation, le zodiaque ; dans les rituels religieux, les derviches tourneurs, les mandalas tibétains, les labyrinthes des cathédrales ainsi que les rosaces la fleur de la connaissance… La mandala désigne à la fois un schéma linéaire agrémenté de couleurs symboliques, qui reproduit l’univers et un support rituel. Une mandala est donc la représentation de la réalité ultime de l’univers, des Tous sous la forme d’un graphique circulaire. La tradition occidentale et particulièrement la tradition chrétienne, connaissent de très nombreuses représentations uploads/Philosophie/ rosaxis.pdf

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