Préjugés, stéréotypes et discrimination Altérité = rencontre avec l’Autres Stér

Préjugés, stéréotypes et discrimination Altérité = rencontre avec l’Autres Stéréotypes ; image simplifiée de l’Autre. Pour quelques individus on va généraliser à tout le groupe. Fonctionne comme des filtres entre (R O ?) et l’idée qu’on se fait. • Idées universelles (socialement partagées) • Rigides (résiste à la preuve du contraire) • Généralisation • (Faux ou mal fondés) attention ; noyau de vérité • Croyances (exemple du cours) • Positif ou négatif • Liée à une connaissance ce qui est différent des préjugés affectifs Préjugés : constitue un jugement de valeurs simple à l’encontre d’un groupe social ou d’une personne appartenant à ce groupe, jugé avant de connaitre, image de simplification, différent du stéréotype 3 dimensions : - Affective ; attirance ou répulsion pour un groupe social - Cognitive ; qui touche aux croyances - Motivationnelle ; manière d’agir à l’égard d’un groupe, présuppose l’existence des stéréotypes ; (ex : ne pas aimer les policiers) Une personne qui a des préjugés va se servir des stéréotypes pour se faire des préjugés sans changer sa manière de penser, elle a un esprit critique inexistant, elle ne se remettra jamais en question. 2 Discrimination : comportement négatif et non-justifiable dirigés contre les individus, membres d’un exogroupe envers lequel le groupe entretien des préjugés. - Mise en acte de ce que l’on pense, manifestation sous différent degrés et sous différentes formes (comportement non verbale comme une mise à distance, exclusion, insultes, atteintes physiques, … - Conditions réprimées par la LOI. - Si la discrimination repose sur l’existence de préjugés, ne se traduisent pas toujours en actes discriminatoires. Tendances peut être réprimé par les normes sociales => discriminations interdites - Discrimination positive : France => ZEP (Zone École Prioritaire) 2. Liens entre stéréotypes et le champ social : Origine => catégorisation sociale (tendance à classer des individus selon des caractéristiques, des critères observables) Avantage : Processus adaptif rapide dans une situation Inconvénient : création des exogroupes « eux » et endogroupes « nous » Exogroupe : à l’égard duquel un individu se sent étranger et ne s’identifie pas. Endogroupe : à l’égard duquel un individu s’identifie, ressent une appartenance et partage de caractéristique CONSEQUENCES : - Exo => homogène, mettre tout le monde dans le même panier - Endo => hétérogène, impact sur notre perception de l’autre car l’exogroupe est responsable de la frustration de l’endogroupe, Théorie du bouc émissaire => résurgence des préjugés et des discriminations sur un groupe donné. 3 Simple catégorisation est la condition minimale suffisante pour entrainer une forme de comportement discriminatoire. Concept d’identité sociale Partie du concept de soi qui provient de la conscience qu’a l’individu d’appartenir à un groupe social ainsi que la valeur et la signification émotionnelle qu’il attache à cette appartenance. Permet à l’individu de se reconnaitre comme individu particulier grâce a la catégorisation, pour entrainer un besoin d’appartenance social positive. Par exemple, les afro-américains, qui ont réussi à obtenir des valeurs positives grâce à des luttes qui leurs ont couter énormément pour pouvoir contrer la ségrégation Principe de base : - Identité sociale s’appuie en grande partie sur des comparaisons favorables qui peuvent être par les exogroupes - Individu cherche à atteindre une identité sociale positive - Lorsque l’identité sociale est insatisfaisante, les individus essayent de quitter leur groupe actuel pour un connoter positivement ou bien rendre le leur plus favorablement positive (stratégie individuelle ou bien stratégie collective) Dominance sociale ; Adhésion à certaines variantes de natures psychologique - 1) Identification : identification a un ensemble de valeurs et de normes - 2) La différenciation : se voir différent des autres groupes par rapport au sien - 3) Comparaisons : entre les groupes pour valoriser l’estime de soi des membres et donc du groupe 3 stratégies fondamentale car si absent dépend 3 stratégies - 1) mobilité sociale (chacun pour soi) - 2) changement social (tous pour un, un pour tous) - 3) passivité sociale (acceptation de la situation) 6 La théorie de la dominance sociale ; Mène à des problèmes comme la suprématie, idée de hiérarchisation fait par plusieurs critères (sexe, pouvoirs, richesse, appartenance ethnique, argent, diplôme, …) ce qui entraine l’existence de groupe dominé/dominant. Plus les individus sont en accords avec ses critères plus on observera les discriminations et préjugés. On peut y en être mais pour autant ne pas être mauvais. PAGE 9 : CHAPITRE 2 : La communication Tenté définir la communication ; consiste en transfert d’infos de toutes formes et par n’importe quel canal possible elle se joue avec un ensemble de mécanismes dans l’échange interindividuel en faisant intervenir le langage oral mais aussi tout un ensemble de comportement non verbaux réguler éventuellement par la présence de l’autre plus ou moins consciemment ,la gestualité, la voix, la distance interpersonnelle et elle est bidirectionnelle , elle invite les deux partenaires à agir l’un sur l’autre , écouter ,observer ,comprendre d’une part s’exprimer et être compris d’autre part , les deux versants expressif et réceptif sont en jeux Chapitre 2 1) Le canal de communication ou de transmission est un support qui permet la transmission de l’information depuis une source (émetteur <=> récepteur) (parole, GSM, …) Joue sur l’écoute et l’expression afin d’être compris, Messages intentionnels ; qui est voulu avec une intention déterminer par l’auteur Message transmis ; qui est parvenus effectivement (que j’ai dit) 7 Filtres : taux de perdition peut atteindre 90% Émetteur ; Ce que j’ai à dire =100% ->filtre du langage Ce que je dis =80% ->filtre de la perturbation Ce qu’il entend 70% ->filtre de l’interprétation Ce qu’il croit comprendre 60% -> filtre de la compréhension Ce qu’il comprend 50% -> filtre de la mémorisation Ce qu’il retient 20% -> filtre de la décision Ce qu’il répercute 10% -> récepteur Encodage : ensemble de signe et de règles qui permettent de constituer un message Décodage : ensemble de signe et de règles qui permettent de comprendre un message Feedback : retro action de l’info pour donner suite au message de l’émetteur pour vérifier s’il a été reçu tel qu’expédier Intelligibilité des signes important Gil Le Cardinal, spécialiste en communication, nous parle d’un fond commun des évidences savoir partager ce qu’on a en commun et partager ce qu’on a d’unique afin d’avoir une communication féconde pas forcément les valeurs mais aussi les expériences de vie, des croyances, des pensées, etc. Communiquer ce n’est pas simplement utiliser la parole car les bébés ne parlent pas et ils arrivent tout de même à communiquer avec ses parents. 2) L’Homme au centre de la communication, il est autodidacte en matière de communication car il peut apprendre tout seul, société dites de communication, qualité -> ??? Depuis toujours aucun enseignement académique et pourtant tous les parents du monde le font avec leurs bébés. Maintenant question sur la qualité à cause des réseaux sociaux. Dire qu’on ne peut pas communiquer c’est faux car même une non- communication signifie quelque chose. 3) Multiple moyen de communiquer ; langage oral, pour blaguer, politesse, canaux et comportements qui parle de nous et pour nous => multimodale Richesse de notre communication ; gestes, paroles, l’écrit, les cris, les dessins (Préhistoire, émoticônes => pour les émotions), le toucher (la bise, l’accolade => degré d’intérêt), le contact visuel (l’éclat du regard => l’intérêt). Mouvement du corps primordial pour la communication, déplacement dans la rue, distance entre individu, avoir mal au ventre (somatisation), couleur de peau, rythme cardiaque => mode extra verbaux qui nous 9 échappent et peuvent nous trahir, communication par le style vestimentaire 4) Communication verbale VS CAA alternative et amélioré (langue des signes et tableau des signes) et communication non verbale, multimodale, rapport de distance entre individu, ETC. Recherches sur la compréhension du messages,7% de la compréhension des mots,38% l’intonation et 55% traits du visages, gestes et expressions. Dimension psycho-affective : intuitions. Liens entre l’inclusion et les différents textes du chapitre 1 Dans « Définition de l’autre », l’inclusion passe par l’apprentissage de l’éducateur afin de connaitre ses propres limites et d’être capable d’aider l’Autre à se constituer correctement. Avec le rapport a soi, on pourrait le lier avec le fait que les personnes handicapées veulent et ont les mêmes difficultés que les personnes dites normales avec des impacts différents certes mais présent quand même. A cause des préjugés et des stéréotypes, nous remarquons que les personnes en situation de handicap ne sont pas incluses mais bien isolés par leurs différences ainsi que par le manque de connaissance des personnes qui les rejettent. La discrimination, bien que moins présente pour les personnes en situation de handicap reste assez présente dans différents domaines tels que le sport ou bien le monde du travail et donc l’inclusion n’est pas encore assez forte. La différence n’est pas une chose qui facilite l’inclusion car pour certain, tout le monde n’est pas placé sur le même pied d’égalité or l’inclusion souhaite abolir ces différences et leurs contraintes. Dimensions para-verbale du langage : CAA pour éducateur spécialisé. Communication Non-Violente (CNV) Communication de la vie quotidienne utilisé dans l’éducation et chez les parents, pour uploads/Philosophie/ teoe-quad-1.pdf

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