Bac III GRH.Management et Théories des organisations Table des matières Chapitr
Bac III GRH.Management et Théories des organisations Table des matières Chapitre 1 – Introduction générale ............................ 3 Chapitre 2 – L’école classique de l’organisation..........7 Introduction ..................................................... 7 Section 1 : L’approche scientifique : F. W. Taylor (1856-1915)....................................8 I. P1 : La division horizontale du travail ......... 9 II. P2 : La division verticale du travail ............ 9 III. P3 : Un système de contrôle du travail .... 9 IV. P4 : Un système de salaire au rendement............................................10 V. P5 : La spécialisation ................................ 10 VI. Apports et limites du modèle Taylorien 11 Section 2 : L’approche administrative d’Henri Fayol (1841-1925)....................................11 Section 3 : L’approche bureaucratique de Max Weber (1864-1920).............................14 I. L’autorité rationnelle ou légale .................... 15 II. L’autorité traditionnelle .............................. 16 III. L’autorité charismatique ............................ 16 Conclusion ........................................................ 17 Chapitre 3 – L’école des relations humaines..............19 Introduction ................................................... 19 Section 1 : George Elton Mayo (1880- 1949) et les expériences de la Western Electric de Chicago........................................................20 I. Le principe effet Hawthorne .................. 20 II. Conclusion ............................................... 21 Section 2 : Maslow (1908-1970) et la théorie des besoins et des motivations........................22 Section 3 : D. McGregor (1906-1964) et la dimension humaine de l’entreprise..........24 I. La théorie X ............................................... 24 II. La théorie Y .............................................. 25 Section 4 : F. Herzberg et la théorie des 2 facteurs...................................................26 I. Les facteurs de satisfaction ou de motivation.......................................26 II. Les facteurs d’hygiènes ou d’insatisfaction au travail........................27 Conclusion ........................................................ 28 Chapitre 4 – Les écoles modernes.............................31 Introduction ................................................... 31 Section 1 : La théorie des systèmes .................. 32 I. La théorie générale des systèmes ............. 32 II. La systémique : une approche par les régulations.................33 III. En quoi l’entreprise est elle un système ?....................................34 Section 2 : La théorie de la contingence ........... 35 I. Les facteurs de contingence externes ....... 35 II. Les facteurs de contingence internes ...... 38 Chapitre 5 – La théorie de la décision.......................41 Introduction ................................................... 41 Section 1 : Le modèle décisionnel classique : le modèle rationnel de Harvard.......................41 Section 2 : H. A. Simon et la théorie de la rationalité limitée....................................43 Section 3 : Cyert et March et la théorie comportementale de l’entreprise ......................................................................... 45 I. La quasi-résolution des conflits ................. 45 II. L’élimination de l’incertitude ......................... 45 III. La recherche de solution en termes de problème par proximité.......................46 IV. L’apprentissage organisationnel ................ 46 Chapitre 6 – L’école du pouvoir .................................. 47 Introduction ................................................... 47 Section 1 : Définition ........................................ 48 I. Définition du pouvoir ............................. 48 II. Distinction entre pouvoir et autorité....................................................48 Section 2 : Les sources personnelles de pouvoir........................................................48 I. Le pouvoir coercitif ................................... 49 II. Le pouvoir économique ........................... 49 III. Le pouvoir de l’expert ................................ 49 IV. Le pouvoir légitime ................................. 50 V. Le pouvoir charismatique ........................ 50 Section 3 : La notion du jeu de pouvoir : Crazier et Fiedberg (1977)................................50 Section 4 : Le gestionnaire et les comportements politiques......................51 Chapitre 7 – Les nouvelles théories économiques de l’entreprise...........................................................53 Introduction ................................................... 53 Section 1 : La firme comme un nœud de contrat : Adolf Berls et Gardiner Means (1932)................................54 Section 2 : La théorie de la nature de la firme de Ronald Coase (1937)....................................54 Section 3 : La théorie des coûts de transaction d’Olivier Williamson (1975) ......................................................................... 55 Section 4 : La théorie des droits de propriété d’Alchain et Demsetz (1972) ......................................................................... 56 Section 5 : La théorie de l’agence de Jensen et Meekling......................................................57 Chapitre 8 – L’analyse culturelle des organisations..................................................59 Introduction ................................................... 59 Section 1 : Définitions ....................................... 59 Section 2 : La culture organisationnelle et les facteurs de contingence..........................60 I. Les cultures externes et l’environnement..........................................61 II. La composition sociale de l’organisation et les sous cultures...........63 Section 3 : Les composantes de la culture ........ 63 I. Les valeurs 63 II. Le langage 63 III. Le mythe 64 IV. Les rites 64 V. Les symboles 64 VI. Les slogans 64 Conclusion ........................................................ 65 Chapitre 9 – La structure sociale...............................67 Introduction ................................................... 67 Section 1 : Le système mécaniste au système organique......................................68 I. La hiérarchie de l’autorité ............................. 68 II. La division du travail ................................ 68 III. Les règles et les procédures ................... 69 Section 2 : Réalisation/Mise en œuvre/ résultats...........................................................70 I. La fonction direction (commandement)........................................70 II. La fonction planification .......................... 70 III. La fonction organisation ......................... 71 IV. La fonction contrôle ............................... 71 Section 3 : Les relations entre les départements....................................71 I. La différenciation ...................................... 71 II. L’intégration ................................................ 72 Section 4 : Les dimensions de la structure sociale de l’organisation.......................................72 I. La complexité ............................................... 72 II. La centralisation ...................................... 73 III. La formalisation ...................................... 73 Section 5 : Les différents types de structures organisationnelles ......................................................................... 74 I. La structure fonctionnelle ......................... 74 II. La structure hiérarchique ........................ 74 III. La structure hiérarchique fonctionnelle (ou Staff and Line)..................75 IV. La structure divisionnelle ....................... 75 V. La structure matricielle ............................ 76 VI. La structure en réseau ......................... 77 Références bibliographiques 79 Chapitre 1 Introduction générale A partir de la seconde révolution industrielle, différentes approches de l’organisation se sont développées, chacune correspond en réalité à une conception différente de l’action humaine organisée. Ces apports se rattachent à différents courants de pensées qui se sont constituées au fur et à mesure de l’évolution économique et sociale et du développement scientifique des différentes disciplines de rattachement. Ces écoles de pensées se différencient en elles par la conception qu’elles ont des caractéristiques de l’organisation et de ses composantes. En ce sens, il n’existe pas une définition unifiée et synthétique de ce qu’est une organisation. Ainsi, aucune définition ne fait pas l’unanimité car l’organisation est un objet d’analyse qui est censé ajouter les paradoxes et les ambiguïtés mis en évidence par les spécialistes. Une organisation appareil ainsi comme une réponse structurée à l’action collective, un ensemble relativement contraignant pour les personnes et simultanément comme une construction collective dynamique, favorisant l’accomplissement des projets communs. Elle peut aussi être appréhendée comme un lieu de réalisation de soi (école des relations humaines), d’accomplissement et d’épanouissement de soi mais aussi comme un lieu conflictuel au sein duquel s’exercent souvent la domination et le pouvoir. Selon Schein : « l’organisation est la coordination rationnelle des activités d’un certain nombre de personne en vue de poursuivre des buts et des objectifs implicites communs par une division du travail et les fonctions, et par une hiérarchie du travail et de responsabilité ». Selon Crazier : « l’organisation est une réponse aux problèmes de l’action collective. Dès qu’une activité ne peut être menée à bien par un individu isolé se pose alors le problème de l’organisation ». Pour Max Weber : « l’organisation idéale est une hiérarchie clairement définie dans laquelle les employés ont des fonctions très précises, ils appliquent des règles générales dans un esprit d’impersonnalité formelle ». Compte partisans de l’école systémique : « l’organisation est un ensemble de sous-systèmes interdépendants et en interaction continue avec l’environnement ». 4 Dans ses définitions, il ressort que chaque auteur met l’accent sur un aspect particulier de l’organisation, Weber par exemple valorise le respect des règles et le principe des organisations bureaucratiques. Crazier fait référence aux problèmes des relations du travail (jeu d’influence et de pouvoir). Schein introduit la notion de coordination et de coopération entre individus. Enfin, les partisans de l’école systémique mettent l’accent sur l’interdépendance des sous-systèmes ainsi que sur ses relations avec l’environnement. Ce cours vise à explorer les principales facettes (vision) du fonctionnement des organisations ; en combinant l’approche structuraliste avec l’approche comportementaliste. L’approche structuraliste cherche à montrer en quoi les comportements individuels et collectifs sont « enfermés » et conditionnés par une structure (rôle de la hiérarchie, des procédures, des normes,…). Par contre, l’approche comportementaliste montrera comment l’individu et/ou le groupe à des degrés plus au moins élevés peuvent construire des choix et contribués à faire évaluer la structure dans laquelle il se trouve. Dans cette optique nous allons exposer dans un premier temps les principales écoles de pensées ayant contribué à l’évolution de la théorie des organisations. Dans un deuxième temps, nous présenterons les grands modèles d’organisations et leurs conséquences. 6 Chapitre 2 L’école classique de l’organisation Introduction L’école classique de l’organisation concerne les premiers auteurs qui, au début du siècle, ont posé les bases de la science des organisations, ceci correspond aux exigences nouvelles engendrées par l’émergence de la société industrielle. En effet, la gestion d’une entreprise de production requiert une qualification très différente de la conduite d’un simple atelier. Les seules organisations véritablement hiérarchisées étaient au 19ème siècle (l’armé et l’église). Bien que inspiré de ses modèles, la conduite des organisations productives doive trouver une voix qui lui est propre et adaptée aux exigences d’une entreprise dans un contexte toute à fait nouveau. Ainsi, la pensée classique se base sur de grands principes : • L’organisation hiérarchique : L’entreprise doit être hiérarchisée, l’autorité est pyramidale. • Le principe d’exception : Les subordonnés s’occupent des tâches routinières, seules les problèmes exceptionnels doivent remonter à la hiérarchie qui s’en charge de la résolution. • L’unicité de commandement : On ne doit dépendre que d’un seul chef. • Le principe de spécialisation : Le uploads/Philosophie/cours-management-amp-theorie-des-organisations.pdf
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- Publié le Sep 23, 2022
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