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Texte 1 L13 et 14 Les bretèches sont des avancements sur la façade d’une tour permettant sa défense en lançant des projectile ou dépris sur les éventuels assiégeants. Les belfredi sont des tours, généralement en bois construites aux angles d’un édifice pour en assurer la défense et la surveillance. Daibert de pise. Né à aux alentours de 1050. Meurt à Messine 1105. Il devient évêque de pise en 1088 et archevêque 1092. On sait qu’il participe activement à la vie civique de Pise, parfait exemple ici en arbitrant dans les statuts de la ville. Pise. Une des premières villes consulaires, le terme apparait en 1085 donne le droit de devenir une commune (Henri IV). Conflit au saint des consuls, membre de la noblesse. L’arbitrage de l’éveque est du au fait qu’ils ne peuvent statuts sur un conflit dont ils sont les acteurs. Conflit Guelfes et Gibelins. La commune de Florance née en 1180 (fin du XII) 1250 capitaines du peuple. Connait une forte croissance démographique. Bologne : Membre de la ligue lombarde en 1164 contre Frédéric. 1254 libération des cerf (rapport de pouvoir à mettre en évidence) Pavie : Autonome au XIIe. Cité gibeline. [Chercher info sur cathédrale] Pérouse : Ville Guelfes. Chinzica = Quartier de Pise. Saint protecteur de Pavie= Syrus fête dle 9 decembre Pavie. Référence à l’Empereur car ville alliée. Concile de Pavie 1160 PB En quoi ce corpus de texte nous permet d’appréhender la réalité politique et physique des cités Italienne du Xie au XIVe siècle ? I. La cité Italienne : Une réalité physique Les murailles : Témoin de l’essor démographique (T2) Les tours symbole aristocratique (T1 et 3) Les lieux d’exercice du pouvoir II. Une réalité politique Une mise en scène du pouvoir (1,3,4,5) Des cités en guerre (1,3) Des rapports de force Ce corpus nous propose cinq textes, trois sources statutaires et deux textes de contemporains. Les statuts sont ceux de Pise (Xie) Bologne (1288) et Pérouse (1342). Les statuts sont des textes de lois, régulièrement révisé et modifier par un comité dont sais le rôle. Cette actualisation permet au Statuts d’être un droit évolutif s’adaptant au besoin et nécessité de la ville qui l’émet. Il est donc émis par une autorité urbaine. Les deux autres documents n’ont aucune force juridique et sont uniquement des témoignages de qu’était les cités, en l’occurrence Pavie et Florance. Le premier auteur est Opicinus de Canistris. C’est un ecclésiastique écrivain et enlumineur. Il est né en 1296 à Lomello prêt de la ville de pavie et est mort à Avignon en 1353. Il est issu d’une famille guelfes, donc partisane du saint siège. Il soutint d’ailleurs ouvertement le Pape. Actions lui vaudrait le fait de s’enfuir de pavie en 1328. Tous ces ouvrages ne sont pas parvenus mais sont recueille, d’où est tiré cette extrait le Liber de laudibus civitatis ticinensis ou il fait les louanges de la cité de Pavie. L’autre extrait est tiré de Firenze al tempo di Dante, d’un auteur inconnu [sans doute] et nous raconte le monde Florentin à l’époque de Dante Alighieri, c’est-à-dire la fin du XIIIe siècle et le début du XIVe. C’est sources, bien qu’écrite par un tiers, nous donne à voir la réalité de leurs cités, car ces textes sont extrêmement factuels. Pour ce qui est des statuts bien qu’il émane du pouvoir en place dans la cité, qui sera développé plus tard, ils nous permettent de comprendre la réalité urbaine de leurs époques ainsi que la réalité espérée par le pouvoir citadins. C’est document très varié nous propose une grande d’analyser une grande période : De la tout fin du XIe siècle pour Pise jusqu’au milieu du XIVe pour Pérouse et la réalité politique n’est pas la même pour toute la durée de ces presque deux siècles. Au Xe siècle le pouvoir dans les ville Italienne du nord et du centre sont entre les mains de leurs évêques. Cela perdure jusqu’au milieu du Xie siècles où les pouvoir aristocratique jusque-là féodés au pouvoir épiscopal vont profiter de l’affaiblissement de ce pouvoir pour se prendre leurs places. Cette prise de pouvoir se fait en collaboration avec le pouvoir en place dans la grande majorité des cas. C’est à la fin de ce siècles que ses nouveaux acteurs font se réunir pour élire leurs représentant, les fameux consules. [Rapide résumé de transition de pouvoir dans les cité Italienne (contindo, podestat, ainsi que rapide résumé de l’histoire des villes juste après)] [Ville après =>] Pise est une des premières villes consulaires. L’empereur Henri IV accord le droit à la ville de se constituer en tant que commune dans les années 1080. Les premiers consuls attestés eux datent de 1085. Lorsque ce statut est émis la cité en plein conflit opposant ses propres consules membre de la noblesse. Une soutenant l’empereur l’autre la papauté. La commune de Florance, quant à elle, née en 1180. En 1250 elle se dote d’un capitaine du peuple ou popolo. La ville connait une extraordinaire croissance démographique à la fin du XIIIe siècle et au début du XIV. Pour ce qui est de Bologne elle est membre de la ligue lombarde en 1164 contre Frédéric Barberousse. En 1254 elle libère les cerfs rattachés aux seigneurs. Pavie est autonome dès le XIIe siècle. Elle est traditionnellement une cité gibeline comme le texte de Canistris l’indique. A l’opposé Pérouse est, elle, une cité Guelfes Ce corpus nous invite donc à voyager dans l’ensemble de ces institutions et pouvoir urbains à travers la réalité matérielle qu’est l’urbanisation et l’espace urbains occupé par les cités et ses acteurs. Nous poserons cette question : [PB et plan à changer si besoin] En quoi ces textes nous montrent le contrôle de l’espace urbain et politique des cités italiennes, entre le XIe et le XIVe siècle ? Pour y répondre nous regarderons dans un premier temps la réalité physique de la cité. A savoir son urbanisation, comme elle s’organise et qu’elle en est l’usage. Dans un second temps nous aborderons la vie politique de la société urbaine à travers ces mêmes espaces, comme est mis en scène le pouvoir et comment la gestion de ses espaces nous montre en réalité les rapports de forces et la pluralité des pouvoir urbains. Seconde partie Maintenant que nous avons abordé la réalité physique des cités à travers ce corpus de document nous allons nous plonger dans la réalité politique qui transparait dans ces textes ainsi que l’utilisation de l’espace urbain dans cet objectif. Nous observerons dans un premier temps comment cette espace urbaine est mis en scène, autant sont aspect urbanistique que par sa gestion de l’espace. Ensuite nous tenterons de comprendre comment cette espace peut être la traduction et la manifestation d’une cité abritant des conflits entre ses citoyens. Et pour finir nous utiliserons la nature même des documents ainsi que la gestion de cette espace urbaine pour mettre en avant les rapports de force présent dans ces cités. Le pouvoir, tel qui l’est présent dans la cité, ce met naturellement en scène. Cella est vrai pour tout détenteur du pouvoir politique de la cité, comme le podestat, les consuls ou capitaine du popolo. Cette mise en scène palpable dans l’ensemble des textes analysé. Le plus évidant est la description de la procession du palio de Pavie. Ici les représentants du pouvoir politique de la cité sont mis en avant dans ce qui est clairement une procession religieuse. Cette procession, comme elle est décrite, combine à la fois religiosité et politique. La religiosité bien sûr par la procession en l’honneur du saint de la cité de Pavie, à savoir Saint Sire. Les participants tiennent des cierges à l’effigie du saint et la procession à pour lieu central la cathédrale de la cité. Mais malgré tous cela c’est l’aspect politique qui est le plus mis en avant et ceux-là même en prenant en compte la supposé, grande impartialité de l’auteur. De Canistris étant lui-même à la l’origine une clerc sa description aurai pu mettre en avant l’aspect religieux de la cérémonie mais ici ces deux aspects sont présents avec un certain équilibre. L’aspect politique de la scène présenté est flagrant par le fait que les acteurs et lieux présenté sont opposé. Les acteurs sont le podestat, les nobles, les consuls et membre du popolo. Rien de bien religieux. Ainsi le pouvoir se met en avant sur tout la route de la procession. Pour souligner cette mise en avant la procession se fait au son des cloches de la commune et du grand clocher. Le grand clocher étant celui de la cathédrale, ce qui n’est pas surprenant pour une fête religieuse. Ce qui est marquant ici c’est l’utilisation des cloches de la commune. La commune utilise ses cloches pour contrôler le temps, en quelque sortes, dans le rayon audible de ses cloches. Nous pouvons imaginer sans trop de problème l’espace de la procession est en réalité, non pas le chemin que celle-ci empreinte mais le rayon d’action des cloches. Le cloché de la cathédrale pour le rappel de uploads/Politique/ expose 67 .pdf
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- Publié le Jan 12, 2021
- Catégorie Politics / Politiq...
- Langue French
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