HISTOIRE CACHÉE DU SIONISME RALPH SCHOENMAN mise en page par Jean leDuc Février

HISTOIRE CACHÉE DU SIONISME RALPH SCHOENMAN mise en page par Jean leDuc Février 2018 format Texte - format Word - format Pdf - format Virtuel Extraits de l’ouvrage du même nom par Ralph Schoenman, permettant d’appréhender au mieux les conditions dans lesquelles l’État d’Israël a été créé et la nature de l’idéologie sioniste. (alterinfo.net) AVANT-PROPOS FAÇONNER LES CONSCIENCES LES PLANS SIONISTES POUR LE PEUPLE PALESTINIEN LA SOCIÉTÉ PALESTINIENNE À LA RECHERCHE DES FAVEURS DE L’EMPIRE LA DÉCLARATION BALFOUR LA CONNEXION SUD-AFRICAINE LE MUR D’ACIER LA MÉTAPHORE DE L’ACIER LA DOCTRINE DE LA PURETÉ DU SANG LA COLLABORATION AVEC LE COLONIALISME BRITANNIQUE LE SOULÈVEMENT DE 1936 LES SIONISTES FORMENT UNE POLICE SUPPLÉTIVE LE RAPPORT PEEL ANALYSE DE LA RÉVOLTE LES MASQUES TOMBENT BEN GOURION ET LE BUT FINAL LA BOUCHERIE COMMENCE: DEIR YASIN LES RÉCITS DES TÉMOINS LA BOUCHERIE DE DUEIMA MEURTRE À GAZA KIBYA ET LE COMMANDO UNITÉ 101 KAFR KASIM: LE CARNAGE CONTINUE LA PROPRIÉTÉ DES "ABSENTS" DESTRUCTION DE VILLAGES ARABES PALESTINIENS INUTILE POUR LES NON-JUIFS DE SE PRÉSENTER LE KIBBUTZIM RACISTE COLLABORATION AVEC LES NAZIS L’ACCOLADE AUX NAZIS SACRIFIER LES JUIFS EUROPÉENS CONTRE LE DROIT D’ASILE LA TRAHISON DE LA RÉSISTANCE UN PACTE CONTRE LES JUIFS HONGROIS SAUVER LES NAZIS, PAS LES JUIFS UN PACTE MILITAIRE AVEC LE NAZISME LA PERFIDIE SIONISTE ABSORBER LE LIBAN LE FEU VERT DE LA CIA DE HERZL A DAYAN NOTES: AVANT-PROPOS Beaucoup de gens pensent que l'idéologie sioniste n'est qu'une doctrine politique encourageant la création d'un état juif en Palestine. En fait le Sionisme est une idéologie suprématiste tribale, raciste et coloniale qui trouve son origine dans l'ancien empire des Khazars. Un expert de plus en la matière est Alfred Lilienthal, qui dans son livre «The Zionist Connection» montre à l’aide de documents, que la naissance de l’État d’Israël en 1948 a été l’aboutissement d’intrigues politiques massives entre des juifs khazars et leurs infâmes compagnons, en Angleterre et aux USA. Ce n’est un secret pour personne que le droit de l’État sioniste à une terre s’appuie sur une loi internationale (une résolution de l’ONU de 1947 sur la répartition de la Palestine, et non pas sur l’origine du peuple juif ou sur le pacte ou alliance d’Abraham avec le Dieu Yahvé ! Cette résolution a été obtenue de force par les Khazars ou pseudo-juifs nommés aussi Ashkénazes. L'État d'Israël moderne est donc en réalité l'État Khazars et ne détient aucun rapport avec l'ancienne nation d'Israël sous l'Ancienne Alliance. Le Sionisme est une idéologie politique fondée sur un sentiment national juif, décrite comme nationaliste par les uns et comme émancipatrice par les autres, prônant l'existence d'un centre territorial ou étatique peuplé par les Juifs en Terre d'Israël (Eretz Israël). Se présentant ainsi comme le Sauveur du peuple Juif, le Sionisme est le faux Messie d'anciennes aspirations judaïques ou talmudiques qui étaient communes parmi les Pharisiens. En 1897, Théodore Herzl convoque à Bâle (en Suisse) le premier congrès sioniste mondial. Il aurait souhaité que toutes les communautés juives envoient des représentants. En fait, le congrès est un succès limité. Herzl est encore peu connu, et sa capacité d'attraction l'est donc aussi. Fait révélateur des oppositions religieuses, « le premier congrès sioniste ne put être tenu à Munich à cause des protestations indignées du rabbinat allemand». Deux cent quatre délégués se présentent cependant, surtout en provenance d'Europe centrale et orientale, et le congrès de Bâle est généralement cité comme étant le véritable début du Sionisme. Le congrès va prendre plusieurs décisions: Le Sionisme a pour but la création d'un foyer national juif. L'organisation sioniste mondiale (OSM) est créée pour coordonner l'action politique sioniste au niveau mondial. Theodore Herzl en est nommé son premier président. L'OSM agira au niveau diplomatique pour faire reconnaître les objectifs du Sionisme par les grandes puissances. Des congrès auront lieu régulièrement pour coordonner les actions. Fait important, l'OSM n'est pas une organisation exclusive exigeant le monopole de la représentation politique du Sionisme. Les partis politiques qui le souhaitent pourront se constituer et adhérer au mouvement sioniste mondial. En 2009, Shlomo Sand a publié un ouvrage intitulé «Comment le peuple juif fut inventé». Professeur d’histoire à l’université de Tel-Aviv, il a fait un travail de recherche remarquable et en est arrivé à une conclusion, que d’autres avant lui avaient déjà émise (comme Arthur Keistler). Il n’y aurait pas de «peuple juif» descendant des Hébreux de Palestine et résultant d’une déportation orchestrée par Rome après la destruction du deuxième temple en 70, par les troupes de l’empereur Titus. L'archéologie et l'historiographie ne corroborent absolument pas cet épisode, matériellement et humainement difficile à envisager. Il met à bas tous les mythes qui ont forgé la légitimité d’un peuple revenu sur la terre ancestrale. Il va de soi que la véracité de son propos est incontestable aujourd’hui et qu’elle remet en question la création même de l’État de pseudo-juifs qui a prit pour nom ISRAËL, lorsque celui-ci n'est qu'une contrefaçon. Toute la mythologie née à partir du milieu du XIXème siècle et entretenue par le Congrès sioniste du retour en Palestine tombe donc à plat. Si l’on reprend le travail de Sand, on en arrive à cette aberration suprême qu’aujourd’hui plus de 95% des Sémites sont les Arabes. Les juifs sémites sont une part infime. Si comme l’affirme Sand, les Ashkénazes descendent du peuple Khazar converti au judaïsme au VIIIème siècle, ils n’ont aucun lien avec la Palestine, et les Séfarades pas davantage puisqu’ils seraient eux- mêmes descendants d’un peuple berbère converti au judaïsme par leur reine berbère Kaïna. Le fruit, donc, d’un prosélytisme n’étant plus d’actualité aujourd’hui. Cette thèse dérange beaucoup les sionistes qui y voient une provocation, et pour cause, mais aussi les antisémites qui fondent leur théorie sur un peuple juif descendant des Hébreux de l’Antiquité. Il y aurait donc bien spoliation des terres palestiniennes par des gens n’ayant aucune légitimité à les revendiquer. Le Sionisme est un cancer moderne qui cristallise des crispations majeures de notre monde au bord du gouffre. Le Sionisme est un mouvement politique promu depuis la fin du 19ème siècle par des anglais et des Khazars, prétendus juifs. On associe trop souvent le Sionisme au judaïsme, aux «juifs». C’est l’erreur courante; le Sionisme est une doctrine (ultra) nationaliste reconnue raciste par l’ONU en 1975. Il a été décidé en Angleterre, pour servir de tête de pont au Proche-Orient (en faisant l’affaire de kabbalistes khazars, juifs et/ou sabbatéens-frankistes, Rothschild en premier lieu). Le Sionisme est aussi le lobbying (voire, formatage) quotidien qui s’exerce dans tous les pays occidentaux, dans les médias (qu’ils possèdent la plupart du temps – voir dossier Médias), au gouvernement et dans tous les pans de la société. Beaucoup de juifs sont pourtant absolument contre l’état d’Israël; ils sont donc antisionistes, comme beaucoup de résistants non juifs partout dans le monde. A l’heure où des pitres comme BHL demandent à l’ONU de considérer l’antiSionisme comme une forme d’antisémitisme, ou ces mêmes ordures vantent la politique israélienne d’ultra-droite, d’apartheid ethnique, tandis qu’en France ils n’ont de cesse de diaboliser toute tendance anti-européiste (donc souverainiste, ou nationaliste), il convenait de proposer le dossier du Sionisme pour les nuls. Définitions Résolution 3379 de l’ONU assimilant Sionisme au racisme Origine du Sionisme: Angleterre, impérialisme et eschatologie. L’infâme colonisation vécue par les Palestiniens: barbarie juive Liste des résolutions de l’ONU non respectées par Israël depuis 1947. Vers un « grand Israël » messianique Sionisme chrétien: c’est quoi ? Citations sionistes: Sionisme: doctrine politique soutenue à la fois par des juifs non pratiquants et des non-juifs. Cette doctrine raciste prône l’établissement d’un foyer juif en Palestine en l’épurant de ses habitants arabo- palestiniens. AntiSionisme: posture politique visant à dénoncer la colonisation de la terre palestinienne par une minorité juive sioniste. Beaucoup de juifs pratiquants dénoncent eux-mêmes ce Sionisme. Sémite: (…) « Aujourd’hui, les Sémites désignent principalement les peuples arabophones, le peuple juif, ainsi qu’une partie de l’Afrique de l’Est ». Antisémitisme (définition étymologique): Racisme / xénophobie envers les peuples sémites (voir définition de « sémite ». Antisémitisme (terme manipulé): Dit d’une personne qui est, en fait, judéophobe (c’est-à-dire, antijuive en ce sens que le judaïsme est une religion; car ceux qui n’aiment pas l’Islam et ses adeptes sont qualifiés d’islamophobes. L’accusation fourre-tout d’antisémitisme très répandue sert à disqualifier principalement les opposants au Sionisme, c’est une utilisation abusive et fallacieuse de ce terme dévoyé; (même les juifs antisionistes sont qualifiés d’antisémites). Adolf Hitler aurait été «le principal sponsor économique de l’État d’Israël» selon l’auteur de «Le Contrat de Transfert» (The Transfer Agreement) dès 1933. Edwin Black, Juif américain dont les parents seraient des «Survivants de l’Holocauste» et qui auraient émigré aux USA après la fin de la guerre, raconte l’histoire d’un pacte secret conclu en Août 1933 entre l’État nazi et les Juifs sionistes allemands et internationaux pour rendre possible le transfert de capitaux, de Juifs et de produits industriels en Palestine britannique entre 1933 et 1939. De plus en plus d’Israéliens et les Juifs en général, se rendent compte que le Sionisme est une ruse et que le comportement d’Israël ressemble uploads/Politique/ histoire-cachee-du-sionisme.pdf

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