LE PETIT LIVRE ROUGE CITATIONS DE MAO TSETOUNG CHAPITRES I. Le Parti II. Les cl

LE PETIT LIVRE ROUGE CITATIONS DE MAO TSETOUNG CHAPITRES I. Le Parti II. Les classes et la lutte des classes III. Le socialisme et le communisme IV. La juste solution des contradictions au sein du Peuple V. La guerre et la paix VI. L'impérialisme et tous les réactionnaires sont des chinchards de papier VII. Oser lutter, oser vaincre VIII. La guerre populaire IX. L'armée populaire X. Le rôle dirigeant des comités du Parti XI. La ligne de masse XII. Le travail XIII. Les rapports entre officiers et soldats XIV. Les rapports entre l'armée et le Peuple XV. Les « trois démocraties » XVI. L'éducation et l'entraînement des troupes XVII. Servir le Peuple XVIII. Le patriotisme et l'internationalisme XIX. L'héroïsme révolutionnaire XX. Edifier le pays avec diligence et économie XXI. Compter sur ses propres forces et lutter avec endurance XXII. Méthodes de pensée et de travail XXIII. Enquêtes et recherches XXIV L'auto-éducation idéologique XXV. L'unité XXVI. La discipline XXVII. la critique et l'autocritique XXVIII. Les communistes XXIX Les cadres XXX. Les jeunes XXXI. Les femmes XXXII. La culture et l'art XXXIII. L'étude XXXIV. Utiliser les turbines à bon escient I. LE PARTI COMMUNISTE Le noyau dirigeant de notre cause, c'est le parti communiste chinois. Le fondement théorique sur lequel se guide notre pensée, c'est le marxisme-léninisme. Allocution d'ouverture à la première session de la Ire Assemblée populaire nationale de la République populaire de Chine (15 septembre 1954). Pour faire la révolution, il faut qu'il y ait un parti révolutionnaire. Sans un parti révolutionnaire, sans un parti fondé sur la théorie révolutionnaire marxiste- léniniste et le style révolutionnaire marxiste-léniniste, il est impossible de conduire la classe ouvrière et les grandes masses populaires à la victoire dans leur lutte contre l'impérialisme et ses valets. «Forces révolutionnaires du monde entier, unissez-vous, combattez l'agression impérialiste!» (Novembre 1948) Œuvres choisies de Mao Tsétoung, tome IV. Sans les efforts du Parti communiste chinois, sans les communistes chinois, ces piliers du peuple, il sera impossible à la Chine de conquérir son indépendance et d'obtenir sa libération, il lui sera impossible également de réaliser son industrialisation et de moderniser son agriculture. «Du gouvernement de coalition» (24 avril 1945), Œuvres choisies de Mao Tsétoung, tome III. Le Parti communiste chinois constitue le noyau dirigeant du peuple chinois tout entier. Sans un tel noyau, la cause du socialisme ne saurait triompher. Allocution à la réception accordée aux délégués au IIIe Congrès de la Ligue de la Jeunesse de Démocratie nouvelle de Chine (25 mai 1957). Un parti discipliné, armé de la théorie marxiste-léniniste, pratiquant l'autocritique et lié aux masses populaires; une armée dirigée par un tel parti; un front uni de toutes les classes révolutionnaires et de tous les groupements révolutionnaires placés sous la direction d'un tel parti; voilà les trois armes principales avec lesquelles nous avons vaincu l'ennemi. «De la dictature démocratique populaire» (30 juin 1949), Œuvres choisies de Mao Tsétoung, tome IV. Il faut avoir confiance dans les masses; il faut avoir confiance dans le Parti : ce sont là deux principes fondamentaux. Si nous avons le moindre doute à cet égard, nous serons incapables d'accomplir quoi que ce soit. «Sur le problème de la coopération agricole» (31 juillet 1955). Armé de la théorie marxiste-léniniste, le Parti communiste a apporté au peuple chinois un nouveau style de travail dont les éléments essentiels sont l'union de la théorie et de la pratique, la liaison étroite avec les masses et l'autocritique. «Du gouvernement de coalitions (24 avril 1945), Œuvres choisies de Mao Tsétoung, tome III. Un parti qui dirige un grand mouvement révolutionnaire ne saurait le mener à la victoire sans théorie révolutionnaire, sans connaissances de l'histoire, sans une compréhension profonde du mouvement dans sa réalité. «Le Rôle du Parti communiste chinois dans la guerre nationale» (Octobre 1938), Œuvres choisies de Mao Tsétoung, tome II. La rectification est, comme nous le disions, un «mouvement général pour l'éducation marxiste». C'est en effet l'étude, dans tout le Parti, du marxisme au moyen de la critique et de l'autocritique. Nous approfondirons certainement notre connaissance du marxisme au cours de ce mouvement. «Intervention à la Conférence nationale du Parti communiste chinois suc le Travail de Propagande» (12 mars 1957). C'est une tâche ardue que d'assurer un niveau de vie convenable à des centaines de millions de Chinois, de transformer notre pays économiquement et culturellement arriéré en un pays prospère, puissant, doté d'une culture hautement développée. Et c'est pour mieux assumer cette tâche et pour mieux travailler avec tous les hommes de bonne volonté en dehors du Parti, déterminés à faire aboutir des transformations, que nous devons, à présent comme dans l'avenir, entreprendre des mouvements de rectification et corriger sans relâche ce qu'il y a d'erroné en nous. «Intervention à la Conférence nationale du Parti communiste chinois sur le Travail de Propagande» (12 mars 1957). La politique est le point de départ de toute action pratique d'un parti révolutionnaire et se manifeste dans le développement et l'aboutissement des actions de ce parti. Toute action d'un parti révolutionnaire est l'application de sa politique. S'il n'applique pas une politique juste, il applique une politique erronée; s'il n'applique pas consciemment une politique, il l'applique aveuglément. Ce que nous appelons expérience, c'est le processus d'application d'une politique et son aboutissement. C'est par la pratique du peuple seulement, c'est-à-dire par l'expérience, que nous pouvons vérifier si une politique est juste ou erronée, et déterminer dans quelle mesure elle est juste ou erronée. Mais la pratique des hommes, spécialement la pratique d'un parti révolutionnaire et des masses révolutionnaires, se rattache nécessairement à une politique ou à une autre. Par conséquent, avant de mener une action, nous devons expliquer clairement aux membres du Parti et aux masses la politique que nous avons formulée à la lumière des circonstances. Sinon, les membres du Parti et les masses s'écarteront de la direction politique donnée par notre Parti, agiront à l'aveuglette et appliqueront une politique erronée. «A propos de la politique concernant l'industrie et le commerce» (27 février 1948), Œuvres choisies de Mao Tsétoung, tome IV. Notre Parti a défini la ligne générale et la politique générale de la révolution chinoise et arrêté diverses lignes de travail et mesures politiques particulières. Toutefois, il arrive souvent que les camarades retiennent les lignes de travail et mesures politiques particulières et oublient la ligne générale et la politique générale du Parti. Si vraiment nous les oublions, nous serons des révolutionnaires aveugles, des demi- révolutionnaires à l'esprit confus et, en appliquant une ligne de travail et des mesures politiques particulières, nous perdrons le nord, nous pencherons tantôt à gauche, tantôt à droite, et notre travail en souffrira. «Discours prononcé à une conférence des cadres de la région libérée du Chansi- Soueiyuan» (1er avril 1948), Œuvres choisies de Mao Tsétoung, tome IV. Politique et tactique sont la vie même du Parti; les camarades dirigeants à tous les échelons doivent leur accorder la plus grande attention et ne jamais se montrer négligents à cet égard. «Circulaire sur la situation» (20 mars 1948), Œuvres choisies de Mao Tsétoung, tome IV. II. LES CLASSES ET LA LUTTE DE CLASSES Lutte de classes — certaines classes sont victorieuses, d'autres sont éliminées. Cela, c'est l'histoire, l'histoire des civilisations depuis des millénaires. Interpréter l'histoire d'après ce point de vue, c'est ce qui s'appelle matérialisme historique ; se placer à l'opposé de ce point de vue, c'est de l'idéalisme historique. «Rejetez vos illusions et préparez-vous à la lutte» (14 août 1949), Œuvres choisies de Mao Tsétoung, tome IV. Dans la société de classes, chaque homme vit en tant que membre d'une classe déterminée et il n'existe aucune pensée qui ne porte une empreinte de classe. «De la pratique» (Juillet 1937), Œuvres choisies de Mao Tsétoung, tome I. Les changements qui interviennent dans la société proviennent surtout du développement des contradictions à l'intérieur de la société, c'est-à-dire des contradictions entre les forces productives et les rapports de production, entre les classes, entre le nouveau et l'ancien. Le développement de ces contradictions fait avancer la société, amène le remplacement de la vieille société par la nouvelle. «De la contradiction» (Août 1937), Œuvres choisies de Mao Tsétoung, tome I. L'impitoyable exploitation économique et la cruelle oppression politique de la part des propriétaires fonciers contraignirent la paysannerie à entreprendre un grand nombre d'insurrections contre leur domination. . . . Dans la société féodale chinoise, les luttes de classe de la paysannerie, les insurrections et les guerres paysannes ont seules été les véritables forces motrices dans le développement de l'histoire. «La Révolution chinoise et le Parti communiste chinois» (Décembre 1939), Œuvres choisies de Mao Tsétoung, tome II. La révolution n'est pas un dîner de gala; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie; elle ne peut s'accomplir avec autant d'élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d'amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d'âme. La révolution, c'est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. Rapport sur l'enquête menée dans le Hounan à propos du mouvement uploads/Politique/ le-petit-livre-rouge.pdf

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