La mystification de la tolérance dans la religion musulmane Le Coran 26 octobre

La mystification de la tolérance dans la religion musulmane Le Coran 26 octobre 2001 3- Introduction 5- La guerre sainte 7- La femme objet 9- Les interdits du Coran 10- La crainte de Dieu, garante de la véritable foi 11- L'existence des infidèles, un problème théologique insoluble 13- Le sort réservé aux infidèles 15- La concurrence des autres mythes 17- Les références à l'Ancien Testament 18- Un islam peu populaire 19- L'eau divine 20- Conclusion provisoire Nous nous posons de plus en plus de questions sur la prétendue tolérance de la religion musulmane. Dans les faits, la religion musulmane fait l'apologie de l'intolérance poussée au fanatisme le plus extrême...Un nombre considérable de versets font appel au meurtre, à la haine raciale, à la guerre contre les infidèles: les autres religions et les laï ques... Comment tolérer une religion qui ne cesse de prêcher l'intolérance ? Ceux qui défendent cette religion ne la connaissent pas ! Voici une étude plus détaillée assortie de commentaires précis par un spécialiste de la question. Sa lecture vous apportera des informations tirées du coran sur ce qu'est réellement cette religion musulmane, oh ! combien calamiteuse... Le Coran, affirment les musulmans, est la religion de la tolérance alors que dans les faits, partout dans le monde: crimes, délits, attentats, sont commis par des musulmans qualifiés d'extrémistes et de fanatiques. Le fait est que ces derniers prétendent suivre à la lettre les lois coraniques. D'autres musulmans persistent à penser que l'Islam est une religion tolérante. Que convient-il d'en penser ? La première évidence: chaque musulman s'offre l'interprétation du Coran qui lui convient le mieux et que le mauvais musulman, c'est forcément l'autre! Pour un observateur extérieur, le problème de la religion musulmane résiderait dans l'interprétation des Sourates du Coran supposées refléter la sagesse d' Allah et de Mohammed son prophète. Faut-il garder une attitude bienveillante à l'égard de la religion musulmane ou ne serait-elle qu'une vaste mystification dont nous serions les victimes ? C'est dans ce dilemme que patauge l'opinion mondiale: faut-il condamner les principes de cette religion ou l'admettre avec confiance ? Efforçons-nous d'y voir un peu plus clair en partant d'une évidence sur laquelle les musulmans sont tous d'accord: être bon Musulman, suppose l'obéissance absolue au Coran. Ceci acquis, revenons donc au texte du Coran sans nous laisser abuser par les interprétations fallacieuses d'exégètes musulmans manipulateurs qui défendent, masquent l'archaï sme et les dangers d'une telle religion. La lecture du coran est édifiante, il porte en lui la critique la plus violente qu'on puisse faire ! Voici une excellente étude (« le Coran »), détaillée, assortie de commentaires critiques est proposée par un spécialiste, Jocelyn Bézecourt. Les faits et les commentaires développés constituent un moyen efficace pour éviter d' être abusé par une religion criminogène, aliénante et que certains qualifient de bêtifiante ! Cette religion devrait en toute logique être condamnée pour incitation au meurtre, haine raciale, aliénation de la condition féminine etc. etc. hors elle ne l'est pas, pourquoi ? Une petite secte est condamnable, une religion terriblement sectaire comme la religion musulmane ne l'est pas ! Les adeptes du laxisme, de la lâcheté défilent souvent derrière l'étendard de la tolérance ! Jusqu'ou doit-on tolérer sans être complice ? A vous de faire votre propre opinion ! Le Coran Introduction Le Coran est un recueil des enseignements de Mahomet dispensés au début du 7ème siècle et il lui a été directement dicté par Dieu lui-même. L'identité du narrateur alterne entre Dieu et le prophète mais la distinction n'est pas toujours aisée. Le Coran ne brille ni par sa profondeur philosophique, ni par son humanisme. Je développe ici les divers points qui détachent ses propos haineux à l'encontre des incroyants, la violence physique qu'il prône à leur égard ainsi que le traitement humiliant réservé aux femmes. L' Ancien Testament trace, dans la plupart des domaines, la voie suivie par le Coran. La structure du texte n'est qu'une litanie de menaces, de répétitions et d'injonctions, vouée à marteler et soumettre le croyant à une morale guerrière et discriminatoire. Un Coran qui serait une référence visionnaire et poétique n'est que pure imagination. Les références indiquées dans ce commentaire personnel du Coran sont extraites de l'édition publiée par GF-Flammarion en format poche (1970, numéro 237). La traduction de l'arabe a été effectuée par Kasimirski. La guerre sainte La guerre sainte si souvent invoquée et mise en pratique actuellement ne trouve pas son origine dans la folie de certains cerveaux mais dans le texte fondateur de la religion musulmane. Dès la sourate II, verset 186, l'appel à la guerre exhorte le croyant à l'action: "Combattez dans la voie de Dieu contre ceux qui vous feront la guerre.". Afin d'éviter une trop grande latitude d'interprétation du mot "combattez", le verset suivant se montre très explicite: "Tuez-les partout où vous les trouverez, et chassez-les d'où ils vous auront chassés. La tentation à l'idolâtrie est pire que le carnage à la guerre.". Le combat vise à l'imposition de la foi par la force (II,189): "Combattez-les jusqu'à ce que vous n'ayez point à craindre la tentation, et que tout culte soit celui du Dieu unique.". Le Coran ne se manifeste pas par un style particulièrement métaphorique mais montre beaucoup de clarté dans ses intentions (II, 190): "Quiconque agira v iolemment contre vous, agissez de même à son égard ". La justification du meurtre de l'infidèle revient plus loin (II, 214): "La tentation à l'idolâtrie est pire que le carnage ". Enfin, la sourate II se termine sur un cri patriotique (II, 286): "Donne nous la victoire sur les infidèles ". Habilement, le rédacteur résout le cas des croyants morts au combat en leur délivrant un billet direct pour le paradis (III, 151): "Si vous mourrez ou si vous êtes tués en combattant dans le sentier de Dieu, l'indulgence et la miséricorde de Dieu vous attendent.", et, plus explicitement, (III,163): "Ne croyez pas que ceux qui ont succombé en combattant dans le sentier de Dieu soient morts: ils vivent près de Dieu, et reçoivent de lui leur nourriture ". Ces deux versets faisaient probablement partie du bagage religieux inculqué à ces gamins iraniens envoyés à la boucherie lors de la guerre Iran Irak dans les années 1980. La sourate suivante insiste encore sur ce sens du sacrifice à la gloire de ce Dieu bourreau (IV, 76): "Que ceux qui sacrifient la vie d'ici- bas à la vie future combattent dans la voie de Dieu; qu'ils succombent ou qu'ils soient vainqueurs, nous leur donnerons une récompense généreuse." . Mais avant de mourir, le combattant aura eu l'assurance des faveurs privilégiées dont il bénéficiera par rapport au croyant resté au foyer (IV, 97): "il [Dieu] a destiné aux combattants une récompense plus grande qu'à ceux qui restent dans leurs foyers.". Comme dans tout système autoritaire où l'obéissance aveugle prime sur l e jugement personnel, le croyant doit se soumettre aux ordres, le temps employé dans le Coran étant systématiquement l'impératif (IV, 86): "Combats dans le sentier de Dieu et n'impose des charges difficiles qu'à toi- même. Excite les croyants au combat.". La bestialité coranique répand sa haine sans interruption (IV, 93): "S'ils [les infidèles] ne se mettent pas à l'écart, s'ils ne vous offrent pas la paix et ne s'abstiennent pas de vous combattre, saisissez-les et mettez-les à mort partout où vous les trouverez. ". Le Coran n'est pas avare de termes pour désigner les légions de Dieu en parlant de milice (V, 61): "Ceux qui prennent pour protecteur Dieu, son apôtre, et les croyants sont comme la milice de Dieu; la victoire est à eux." . Aucune accalmie dans la violence des propos répandus, l'issue de la guerre est claire (VIII, 7): "Le Seigneur cependant a voulu prouver la vérité de ses paroles et exterminer jusqu'au dernier des infidèles.". Le mode d'exécution est précisé peu après (VIII, 12): "Abattez leurs têtes et frappez les extrémités de leurs doigts.", avec, plus loin, un autre moyen d'en finir (VIII, 52): "Quel spectacle, lorsque les anges ôtent la vie aux infidèles! ils frappent leurs visages et leurs reins, et leur crient: Allez goûter la peine du feu.". Toutefois, la justification mystique vient pour raffermir le croyant (VIII, 17): "Ce n'est pas vous qui les tuez, c'est Dieu." Le discours typiquement militaire de l'exaltation de l'armée à propos de sa supériorité apparaît immanquablement dans cet ouvrage rompu au maniement des masses (VIII, 66): "O prophète! excite les croyants au combat. Vingt braves d'entre eux terrasseront deux cents infidèles. Cent en mettront mille en fuite, parce que les infidèles n'ont point de sagesse.", mais le verset suivant corrige les estimations à des performances plus modestes (VIII, 67): "Dieu veut alléger votre tâche, car il connaît votre faiblesse. Cent braves d'entre vous vaincront deux cents ennemis, et mille triompheront de deux mille par la permission de Dieu qui est avec les intrépides.". La stratégie d'attaque reste néanmoins assez simple (IX, 5): "Les mois sacrés expirés, tuez les idolâtres partout où vous les trouverez, faites-les prisonniers, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. uploads/Religion/ etude-sur-le-coran.pdf

  • 34
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager
  • Détails
  • Publié le Mai 02, 2021
  • Catégorie Religion
  • Langue French
  • Taille du fichier 0.0663MB