LA PAROLE PARLEE PAR WILLIAM MARRION BRANHAM LA PROFONDEUR APPELLE LA PROFONDEU

LA PAROLE PARLEE PAR WILLIAM MARRION BRANHAM LA PROFONDEUR APPELLE LA PROFONDEUR (Texte du film) Juillet 1954 Washington D.C. — U.S.A. “LA PAROLE PARLEE EST LA SEMENCE ORIGINALE” LA PROFONDEUR APPELLE LA PROFONDEUR 2 http://www.cmpp.ch LA PROFONDEUR APPELLE LA PROFONDEUR Washington D.C., juillet 1954 Convention des hommes d’affaires du Plein Evangile (Texte du film) Il n’y a pas DEUX Saint-Esprit; le même Saint-Esprit qui conduisit Siméon ce matin-là vers le Christ vous a conduits ici ce soir parce que vous croyez la promesse du Saint-Esprit; et Il a la même obligation envers vous qu’envers Siméon. La même. Parce qu’Il est Dieu et qu’Il doit tenir Sa Parole. Je peux me représenter Siméon: il désirait ardemment voir le Christ. Il croyait ce que la Parole de Dieu lui disait. Peu importe ce que les critiques disaient, il croyait la Parole de Dieu. Il y avait dans son coeur un désir ardent de voir le Christ et il croyait qu’il Le verrait. Comme David disait: “Quand un abîme appelle un autre abîme”. Beaucoup parmi vous croient en la guérison divine. Y croyez-vous? Croyez-vous en la guérison divine? La raison même qui vous fait croire en la guérison divine prouve qu’il y a une guérison divine. Lorsque nous arrivâmes en Amérique, nous trouvâmes l’Indien d’Amérique. Il adorait quelque chose: le soleil, la lune et la nature, parce qu’en lui-même il est un être humain; il savait qu’il avait un Créateur, car il y avait quelque chose dans son coeur humain qui faisait appel à l’adoration. C’est la même chose pour chaque mortel. Vous pouvez adorer votre automobile, votre travail, votre maison ou autre chose. Vous allez adorer quelque chose. Alors, si c’est une idole, séparez- vous en et laissez Jésus-Christ avoir la première place. Laissez-Le être le premier. Alors, la faim sera apaisée comme disait David: “Un abîme appelle un autre abîme, à la voix de tes cataractes”. La profondeur appelle la profondeur. C’est-à-dire que s’il y a une profondeur qui appelle, il doit y avoir une profondeur pour répondre à cet appel. Peut-être devrais-je mieux me faire comprendre. Voilà. Je suis un grand amoureux de la nature. En allant dans les bois, j’observe les couchers du soleil. J’entends les animaux, les cris de la nature. Ma mère est à demi Indienne, c’est pourquoi il y a quelque chose dans mon sang qui fait que j’aime la nature. Quand j’entends l’appel de la nature, il y a quelque chose qui embrase mon âme. Je ne puis l’éviter. Récemment, j’étais dans le Colorado. Je me trouvais sur une montagne et j’observais une vieille maman aigle; comment, du nid, elle transportait ses petits sur ses ailes et les déposait dans un gras pâturage. Ensuite, elle regagna les cimes et se posa sur la plus haute pointe du plus haut rocher qu’elle pût trouver. Elle commença à observer. Je regardais à travers mes jumelles (mon cheval était attaché à un arbre) et j’observais. Je dis: «Seigneur, j’aime cela». Il me semblait que je pouvais sentir… si jamais vous avez été près d’un nid d’aigles. Ils le font avec des bouts de bois pointus et d’autres choses, et les pauvres petits aigles doivent marcher sur ces branches et sur ces épines. Ils ne connaissent rien d’autre. Mais un jour, leur mère étendit ses ailes, ils grimpèrent dessus et elle s’envola. Maintenant je regardais ces petits qui venaient d’avoir un réveil de Pentecôte. Ils couraient de-ci de-là sur cette herbe douce, picotant ici, gazouillant là, sautant l’un par-dessus l’autre, en parfaite liberté. Je pensai: «C’est juste! C’est comme un homme dans le vieux nid du monde. Il ne sait rien excepté ce que le diable peut lui donner. Mais un jour, Dieu l’a pris et l’a assis à l’ombre, dans un vert pâturage. Oh, comme il est heureux! Il est libre. Il n’y a plus ni mal, ni rien». Je pensai: «Mais pourquoi ces petits animaux ne sont-ils pas effrayés? Je me demande s’ils savent qu’il y a des coyotes autour d’eux qui pourraient les attraper?». Mais à chaque instant, ils regardaient en haut et ils voyaient leur vieille maman qui les LA PROFONDEUR APPELLE LA PROFONDEUR 3 http://www.cmpp.ch surveillait. Je pensai: «Oh, que Dieu soit loué! c’est juste: Il m’a sorti du nid du monde et Il a escaladé les remparts de la gloire; Il S’est assis sur la hauteur, surveillant Son héritage pour S’assurer qu’aucun mal ne lui arrive». Je pensai que si un coyote venait à se diriger vers l’un de ces petits aigles, elle le grifferait jusqu’à ce qu’il meure. Je pensai: «C’est vrai. Si Satan venait à poursuivre un croyant, il se retrouverait en face de Jésus-Christ». C’est tout à fait vrai! Tout en observant, elle tournait sa belle tête majestueuse. Elle s’était perchée sur le plus haut rocher qu’elle pût trouver afin de tout voir. Ses yeux d’aigle perçants observaient; au bout d’un moment, à travers mes jumelles grossissant dix fois, je la vis lever la tête et regarder autour d’elle. Elle huma l’air. Je pensai: «Qu’est-ce que c’est?». Venant du nord, un orage s’approchait. Le tonnerre grondait. Elle poussa un cri perçant et s’élança dans le vide. Puis elle projeta en avant ses grandes ailes et se posa dans la prairie. Alors, les petits aigles sautèrent rapidement sur son dos. Peut-être avaient-ils été instruits avant de quitter le nid. Ils s’accrochèrent avec leur petit bec dans ses plumes, se blottirent contre leur mère, le bec enfoui dans les plumes, et elle s’envola avec les petits aigles sur ses ailes; puis elle vola droit dans ce vent qui soufflait à quelque quatre- vingt kilomètres à l’heure pour aller se poser dans une fissure du rocher. Je pleurais comme un enfant. Je pensai: «Un jour glorieux, lorsque ce réveil sera fini, Il viendra de la gloire, Il étendra Ses grandes ailes puissantes! Les petits aigles s’accrocheront avec leur bec dans Ses plumes et s’envoleront dans la gloire avec Lui. La profondeur appelant la profondeur!». Si la profondeur appelle, il y a une autre profondeur pour répondre. En d’autres termes, avant qu’un arbre pût croître sur la terre, il devait d’abord y avoir une terre; Dieu n’a jamais fait l’arbre pour la terre, mais la terre pour l’arbre. Il créa la terre et lui commanda de produire l’arbre, et la terre réclama jusqu’à ce que l’arbre sortît. Avant qu’il y eût une nageoire sur le dos d’un poisson, il n’y avait point d’eau pour qu’il pût y nager. La raison pour laquelle il reçut une nageoire est qu’il y avait de l’eau pour qu’il pût y nager et l’utiliser. Tout ce que nous avons existe pour un but et pour une raison. Ici, il y a quelque temps, j’ai lu qu’un petit garçon mangeait des gommes à effacer. Il mangeait tout le caoutchouc qu’il pouvait trouver. Il a même mangé la pédale d’une bicyclette. On ignorait ce qui n’allait pas chez ce petit enfant. Alors, on l’emmena à l’hôpital pour un examen médical, et après qu’on l’eut examiné, on découvrit que son corps avait besoin de soufre. Le caoutchouc contient du soufre. Il mangeait le caoutchouc pour avoir du soufre. Alors voilà, vous comprenez, s’il y avait quelque chose en lui qui réclamait du soufre, il devait y avoir du soufre pour y répondre avant qu’il pût en réclamer. Vous voyez ce que je veux dire? Maintenant, quand l’abîme appelle l’abîme… Avant qu’il pût y avoir un appel de la profondeur, il devait y avoir une profondeur pour y répondre. Vous étiez probablement tous des pécheurs il y a quelques années. Peut-être étiez-vous dans quelque église traditionnelle qui ne croyait pas au baptême du Saint-Esprit. Mais vous avez entendu le message! Il y avait quelque chose en vous qui réclamait davantage de Dieu. Vous pouviez avoir vécu d’une façon correcte devant Dieu, mais vous vouliez le baptême de l’Esprit, vous le désiriez ardemment. La raison même pour laquelle il y a un Saint-Esprit est que vous le désirez; vous ne l’auriez jamais désiré s’il n’y avait pas eu en vous quelque chose qui Le réclamait. Vous voyez ce que je veux dire? Alors, la raison pour laquelle vous êtes ici ce soir est que vous croyez en la guérison divine. S’il n’en était même pas parlé dans la Bible et que vous croyiez en la guérison divine… il devait y avoir une fontaine ouverte quelque part, ou vous n’en auriez jamais eu le désir. Si vous avez le désir d’être guéri par Dieu, il y a un Dieu pour vous guérir. C’est vrai! Parce que la profondeur appelle la profondeur. Ce fut pareil avec Siméon. Il savait qu’un Christ devait venir, il savait que Dieu lui avait promis qu’il Le verrait avant de mourir. Regardez comment fut conduit Siméon; n’est-ce pas étrange? Au moment où Jésus entra en scène, Siméon fut conduit par le Saint-Esprit directement à Christ, par le Saint-Esprit qui lui avait donné la promesse! Et le Saint-Esprit qui donne la promesse de la guérison divine vous a conduits ici ce soir, uploads/Religion/ la-profondeur.pdf

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  • Publié le Jul 20, 2021
  • Catégorie Religion
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