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M. l’abbé Curzio Nitoglia PER PADRE IL DIAVOLO http://www.doncurzionitoglia.com/ Introduction à la question juive Le Diable pour père articles tirés de la revue Sodalitium FOI, MORALE ET RITES DE LA RELIGION JUIVE Par M. l’abbé Curzio Nitoglia INTRODUCTION E n entreprenant ce court article pour montrer au lecteur quel est encore au- jourd’hui le cérémonial et la morale du Judaïsme en tant que religion, je me servirai surtout de l’ouvrage du rabbin vénitien Leon da Modena (1), du rabbin converti au catholi- cisme Paolo Medici (2), de Johannes Bux- torfius (3) et de l’abbé Giulio Bartolocci (4). Cet article naît de l’exigence de compléter les études sur la question juive et d’illustrer pour le lecteur la religion du Judaïsme post- chrétien A PARTIR DE SON RITUEL et de la morale qui s’ensuit. Pour ce faire et pour une nécessaire objectivité j’ai utilisé les ou- vrages d’un rabbin, d’un juif converti au Christianisme, et de deux catholiques. Le juif converti Paolo Medici écrivait dans son livre: “Je me suis… résolu à vous SODALITIUM : La question juive Adam, bien avant de créer Eve, il lui donna pour compagne une femme de terre qui s’ap- pelait Lilit. D’après cette croyance Lilit se dis- puta avec Adam, ne voulant pas lui être sou- mise, blasphéma le nom ineffable de Dieu et s’enfuit. Dieu alors envoya ces trois anges pour convaincre Lilit de retourner à son mari, et, si elle obéissait, tout se terminerait bien alors que si elle désobéissait, cent diables mis au monde par elle-même (c’est-à-dire ses en- fants) mourraient chaque jour. Elle refusa d’obéir et dit que sa mission serait celle de tuer les nouveau-nés (dix jours après leur nais- sance pour les garçons et trente jours après pour les filles), sauf ceux dont les noms se- raient écrits sur quelque cédule. Elle accepta donc la peine prescrite, c’est-à-dire que mour- raient quotidiennement cent de ses enfants. C’est en raison de cette croyance que les juifs écrivent dans les chambres des accouchées les noms des anges, pour obliger Lilit à ne porter aucun dommage à l’enfant à naître. Cette pra- tique met en évidence l’AVEUGLEMENT du Judaïsme talmudique, qui attribue au diable, pur esprit, la faculté de mourir (10). LA CIRCONCISION La nuit précédant la circoncision de nombreux hommes et femmes se réunissent dans la maison où le lendemain matin doit s’accomplir le rite. Après un bref discours du rabbin en l’honneur de la circoncision, tous jouent de la musique, dansent, man- gent, boivent. Puis, alors que certains ren- trent chez eux, les autres restent toute la nuit pour protéger le bébé des embûches de la sorcière Lilit. La pièce destinée à la cir- concision est ornée de beaucoup de sièges, parmi lesquels il y en a un spécial sur lequel personne ne s’assoit; seul y est déposé le vo- lume de l’Ancien Testament ouvert puisque les juifs croient qu’au moment de la circon- cision le prophète Elie vient s’y asseoir (11). Leon da Modena aussi confirme ce céré- monial. “Le matin [de la circoncision] sont préparés deux sièges ornés de soie, l’un pour le parrain, l’autre, d’après certains, au nom du prophète Elie, qui toujours invisible se retrouve dans toutes les circoncisions” (12). L’exécuteur (Mohel) doit être un homme et est reconnaissable aux ongles des pouces plus longs que ceux des autres doigts. C’est lui qui entonne l’hymne de la circoncision qu’il chante avec les assistants. L’hymne terminé, le parrain s’assoit sur la présenter ce livre… d’utilité, vous fournis- sant de brefs et clairs motifs pour réfuter et mettre en évidence LA FAUSSETE DES RITES JUDAIQUES dont les juifs sont en- flés et superbes, en se vantant faussement d’être les observateurs de ce que prescrit la sainte Loi” (5). Il réfutait le traité du rabbin Leon da Modena, lequel, à son avis, “tait malicieusement une bonne partie des céré- monies que pratique le Judaïsme, pour fuir la honte et la confusion qui pourrait en ad- venir à la nation juive” (6) (7). La description de certains rites, chez Leon da Modena, est cependant si chargée d’ori- peaux qu’elle en vient presque à en cacher le fond superstitieux et pour cela nous verrons “les étranges rites que pratique, à présent, la misérable Synagogue, privée de la connais- sance de Dieu et, comme peine du déicide, abandonnée et réprouvée par Lui” (8). La RECOMMANDATION que Medici fait dans l’introduction de son livre peut valoir aussi pour nous: “Cher ami lecteur, je vous prie de NE PAS RIRE, ce qui pourrait vous arri- ver, en lisant des choses aussi extravagantes. EXCITEZ-VOUS plutôt aux LARMES en considérant à quel degré de misère est réduite la très malheureuse Synagogue” (9). Le même Medici, dans une lettre d’intro- duction “au lecteur juif”, affirme que le Judaïsme post-biblique par pur caprice veut persister volontairement en une malheureuse cécité, raison pour laquelle il se résoud à écri- re avec l’intention de faire comprendre à ses ex-coreligionnaires que ce qu’ils observent du Cérémonial n’est rien d’autre qu’une pure SUPERSTITION, puisqu’avec la venue du Messie le Cérémonial de l’Ancienne Alliance a cessé d’être en vigueur. Il proteste en outre que dans la narration des Rites et des cou- tumes juives il n’y aurait pas de parole qui ne soit pas le plus fidèlement tirée des livres les plus autorisés et authentiques de la Synagogue juive elle-même, c’est-à-dire le Magazor (ou Rituel), le Sulchanharuh et le Talmud. LE PASSE: LA NAISSANCE CHEZ LES JUIFS Aux quatre angles du lit des nouveau- nés sont écrites en caractères hébreux les paroles: “Sanvi, Sansanvi, Samangalef, Adam, Eve, dehors Lilit”. Sanvi, Sansanvi et Samangalef sont pour les juifs les noms de trois anges; Lilit au contraire serait une sorcière: quand Dieu créa SODALITIUM : La question juive SODALITIUM : La question juive SODALITIUM : La question juive 3 chaise qui lui est réservée; entre alors dans la pièce de la circoncision la marraine avec l’enfant sur les bras, accompagnée de nom- breuses autres femmes, elle va vers la chaise préparée pour le prophète Elie, cru déjà là présent et le salue avec une profonde incli- nation. La chaise d’Elie étant donc laissée, la marraine porte l’enfant à l’endroit de la circoncision, le tend au parrain qui le prend, le pose sur ses genoux et commence l’opéra- tion pour laquelle on se sert aussi des longs ongles des pouces (13). L’EDUCATION DES FILS A douze ans les petits garçons reçoivent l’explication de quelques passages de l’Ancien Testament et sont instruits dans l’étude du Talmud: les plus doués s’adon- nent à l’étude de la Cabale. Dans le Talmud sont contenus des blas- phèmes contre Dieu, non seulement contre Notre-Seigneur Jésus-Christ (14), mais aussi contre Dieu le Père: “Dieu fait oraison, …joue trois heures par jour, DISPUTE AVEC LES RABBINS ET RESTE VAINCU, les bien- heureux au ciel ne croient pas en lui, …DIEU PEUT PECHER…”! Medici affirme ne pas avoir lu ces choses dans les livres des auteurs chrétiens, mais de “les avoir dans mon enfance apprises dans les livres [juifs]” (15). L’AUTORITE DES RABBINS Les jeunes juifs qui ont poursuivi les études sont appelés Maschil (savant), ou Caver de Rab (compagnon du rabbin); à un ni- veau plus élevé Chaham, c’est-à-dire rabbin ou sage. C’est parmi eux qu’est élu pour chaque ville un rabbin de la communauté (Chaham de Kaàl), chargé de résoudre les in- certitudes concernant les choses permises, de célébrer les mariages, de déclarer les divorces et d’excommunier les délinquants (16). LES PRETRES ET LES LEVITES Avant que les juifs n’adorassent le Veau d’or dans le désert, tandis que Moïse parlait avec le Tout-Puissant (environ 1280 avant J.-C.), tous les premiers-nés étaient des prêtres consacrés au culte de Dieu, mais après le péché d’idolâtrie les LEVITES (de la tribu de Lévi) furent choisis à leur place, avec la différence qu’Aaron, ses fils et leurs descendants étaient destinés au sacerdoce, alors que les membres des autres familles de la tribu restèrent de simples clercs consacrés au culte de Dieu. Ce sacerdoce de la FA- MILLE d’Aaron de la TRIBU de Lévi dura jusqu’à la venue de Notre-Seigneur Jésus- Christ. “Il ne manque pas non plus de nos jours des juifs menteurs, qui se vantent faus- sement d’être des descendants de la maison d’Aaron, se font passer pour des prêtres… Cela est tout à fait faux puisqu’AVEC LA DESTRUCTION DE JERUSALEM et du Temple ILS ONT [les juifs] PERDU LA CONNAISSANCE DE LA TRIBU, de ma- nière à ce qu’il y en ait aucun qui puisse dire avec vérité d’être de telle ou telle tribu” (17). LES PRIERES Les juifs ont l’habitude de réciter le Cadish, qui est une “louange” à Dieu, à la fin de la- quelle les assistants répondent: ‘Amen’. Les talmudistes enseignent qu’à ce moment Dieu secoue la tête et dit “Malheur au Père qui a envoyé les fils en esclavage et malheur aux fils qui sont privés de la table de leur Père” (18). C’est une habitude typiquement talmudique de juger Dieu comme impuissant et incapable de libérer un peuple de l’esclavage uploads/Religion/ perpadreildiavolo-diablepourpere-pro.pdf

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  • Publié le Mai 04, 2021
  • Catégorie Religion
  • Langue French
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