I. À quoi peuvent bien servir les sciences sociales? D’abord, il faut qu’on sac
I. À quoi peuvent bien servir les sciences sociales? D’abord, il faut qu’on sache définir les sciences sociales pour procéder à leur principale utilité dans la vie. Alors, il s’agit d’une démarche de compréhension de l’univers, des humains, de tous ce qui nous englobe dont la réalisation sera effective au terme d’une longue période. Néanmoins, les recherches à court terme sont également effectués, mais c’est généralement compliqué de parvenir à un résultat précis après une courte période d’observation, de compréhension et d’expérimentation des faits concernés. C’est le cas, par exemple, de la crise sanitaire du coronavirus, De même, le problème avec le financement s’y pose, car les recherches sont extrêmement dispendieux. Cela peut être fondé par des acteurs publics ou privés. (ajouter) En France, c’est notamment l'Agence nationale de la recherche (ANR) qui promeut et finance des recherches française. Or, ce n’est que possible pour des sujets immédiats nécessitant des réponses objectifs le plus rapidement possible. Max Weber (né le 21 avril 1864, mort le 14 juin 1920), un fondateurs de la sociologie allemande, a formulé une définition des sciences sociales. Selon lui, la science fait de ce qui est évident, un problème C’est-à-dire, qu’elle remet en question tous ce qu’on aurait pu concevoir comme un truisme. Afin d’affermir la société comme une science à part, consacre de nombreuses publications à des questions d’épistémologie de la discipline sociologique. « L’objectivité de la connaissance dans les sciences et la politique sociales 1904 », « Economie et Société 1922 », « L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme ». Les sciences sociales analysent ce qui est et nous fournissent des approches de ce qui devrait être. Dans le premier cas, c’est là a priori une approche dite ontologique. Dans la Métaphysique d’Aristote, il déclare : « Il y a une science qui étudie l’être en tant qu’être ainsi que les attributs qui lui appartiennent de par sa nature propre. Elle ne se confond avec aucune des sciences dites particulières. En effet, aucune de celles-ci n’étudie de manière générale l’être en tant qu’être. Découpant une partie de l’être, elles n’étudient les attributs que de cette partie. Ainsi opèrent par exemple les sciences mathématiques[2] » Quant à Émile Durkheim, le fondateur de la sociologie française : « La science, écrivait-il, commence dès que le savoir, quel qu’il soit, est recherché pour lui-même. Sans doute, le savant sait bien que ses découvertes seront vraisemblablement susceptibles d’être utilisées. Il peut même se faire qu’il dirige de préférence ses recherches sur tel ou tel point parce qu’il pressent qu’elles seront ainsi plus profitables, qu’elles permettront de satisfaire à des besoins urgents. Mais en tant qu’il se livre à l’investigation scientifique, il se désintéresse des conséquences pratiques. Il dit ce qui est ; il constate ce que sont les choses, et il s’en tient là. Il ne se préoccupe pas de savoir si les vérités qu’il découvre seront agréables ou déconcertantes, s’il est bon que les rapports qu’il établit restent ce qu’ils sont, ou s’il vaudrait mieux qu’ils fussent autrement. Son rôle est d’exprimer le réel, non de le juger. » [DURKHEIM É., Éducation et sociologie (1938), PUF, Quadrige, Paris, 1989, p. 71]. Réponses : Ainsi, on pourrait constater que les sciences sociales nous permettrons d’écrire objectivement des faits, de se poser des questions, de réfléchir sur une multitude des sujets ou même de déconstruire des représentations de l’univers. Tout en restant complètement impassible, en se détachant entièrement de toutes considérations morales ou religieuses pour que notre recherche soit le plus neutre possible. Selon la conception de Durkheim, la science nous devrait donner des résultats de son analyse sans y porter son jugement personnel. En plus, l’utilité social des sciences sociales repose donc sur la cohésion, l’égalité et la solidarité des humains. Ces derniers sont en réalité tous différents, mais ils constituent des groupes qui portent des caractéristiques, des croyances, des ambitions ou des professions semblables. De même, à travers des sciences sociales, le fonctionnement de notre société pourrait être éclairé et compris. Or, on n’arrive guère à comprendre notre monde dans lequel nous vivons. Il y a une grande différence entre le fait, le résultat et l’opinion. En posant des principes de l’objectivité et de la subjectivité, on peut bien distinguer ces trois éléments qui font partie des sciences sociales. Même si, ce dernier ledit élément ne rentre pas dans la recherche scientifique qui s’efforce à écrire des faits et parvenir des résultats le plus objectivement possible. Le fait est sans doute objectif, dès qu’il n’est pas détourné de la réalité par les jugements personnelles. Objectivité - object Il y a un détachement de toutes considération morales et religieuses. Au cœur des sciences sociales est cette objectivité, qui a été largement développé par Max Weber sous la dénomination neutralité axiologique. Subjective - subjet « N’y a-t-il pas des situations problématiques de la vie quotidienne qui mettent en cause cette utilité pour des citoyens? » Les dissymétries sociales, les préjugés, voire les méfiances envers les scientifiques sont de plus en plus accentués pendant les dernières années. La pandémie mondiale que je viens de citer au-dessus, n’a qu’aggravé des inégalités de manière considérable. (apartheid, pass sanitaire, contrôle policier dans les quartier défavorisés) Toutefois, notre société est désormais plus égale qu’elle n’aie jamais été. (ajoute, droit de vote, homme femme) Bien que notre civilisation de XXIè siècle soit indubitablement le plus pacifique que tous les autres développées à partir de la première civilisation en Mésopotamie, on est dans le système de défiance généralisé. Langage médiatique utilisée actuellement a la tendance de détourner des faits de la réalité en baisant complètement le sens propre à ce fait. La crise des réfugiés a engendrée une surutilisation des mots réfugiers et migrants sans pour autant les utiliser de manière correcte. Il y a une grande difference entre ces derniers. D’une part, le mot refugies, fait réfèrence aux demandeurs d’asile qui vient d’un pays menacé par la guerre ou la crise humanitaire. De l’autre part, le mot migrant,s fait référence aux individus qui quittent son pays d’origine pour un autre quels que soient les raisons de cet départ. En outre, lors des manifestations des gilets jaunes, L’usage galvaudé de mot liberté est aussi utilisé notamment dans les programmes politiques, qui a complètement dévié de sa réelle définition. Populisme Pour quoi dans les pays autoritaires les sciences sociales sont-ils menacés? §3 Les différences entre l’objectivité et la subjectivité Max Weber, dans l’ouvrage « Le savant et le politique », il défend la nécessité d’une séparation nette entre la politique et la science. Selon lui, les jugements de valeurs subjectives doivent être impérativement exclus de toute recherche scientifique. II. Les sciences sociales sont des sciences comme les autres ? La tendance mimétique à l’égard des sciences Les sciences sociales sont le fruit de la lutte séculaire entre la religion et la science. Dès l’Antiquité, les philosophes nous fournissent de leur explications du monde, qui ont diamétralement changés au fil du temps. On ne peut point se baser sur leur vision pour ne pas se laisser induire en erreur, mais on pourrait en prendre une leçon à bon escient. Puisque, les croyances, les opinions, les mœurs changent. En revanche, le principal besoins de survivre reste immuable. Les sciences sociales nous donc conduisent à avoir l’esprit critique. Personne ne peut nous convaincre que les réponses des experts scientifiques sont totalement incontestable. La scientificité pourrait donc être éventuellement mis à tort. Elle est en perpétuelle évolution corollairement avec la société qui l’influence. Toutefois, cette évolution n’est ni générale ni linéaire. . (les exemples, heliocentrismus, la gravitation, amerique, dieu) La sciences sociales se sont développées au XIX. siècle des oppositions entre subjectivité et objectivité, et entre individualisme et collectivisme. De même, la philosophie a largement contribué à définir ce qui est la science, ce qui relève de la conscience et de l’inconscience, voire ce qui est inné. Dans la science, on s’intéresse plutôt aux méthodes qu’aux objets, car un objet analysé par des économistes pourrait éventuellement être la source d’intérêts des sociologues, des politologues, voire des psychologues. Karl Jaspers (23 février 1883 – 26 février 1969) un psychiatre et philosophe germano-suisse représentatif de l’existentialisme. Il a mis en lumière trois caractéristiques pour définir ce qui est la science dans la revue « l’idée d’Université » : • La connaissance de la science Une méthodique, par quel voie est-elle acquise. Le fruit d’un processus, mais cette connaissance est limitée dont le résultat ne sont valable qu’à l’intérieur de celui-ci. L’on parle de la cumulativité de la science. Quant à l’opinion, c’est un croyance irréfléchie dans le cadre déterminé. • Une certitude contraignante Elle s’impose à tout intelligence, qui sont donc obligés de l’accepter. De même, elle s’oppose à la conviction, qui repose essentiellement sur l’opinion. • La connaissance scientifique C’est un valeur universelle, qui est admis partout sans réserve. En se défaisant de ses opinions et de ses convictions. Les sciences sociales font partie des sciences molles contrairement aux sciences dures (mathématiques, physiques. Il y a des théories contradictoires qui démontre que uploads/Science et Technologie/ sciences-sociales.pdf
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- Publié le Apv 09, 2022
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