Enseignant-Chercheur Prost Valentin Licence : Histoire Année universitaire 2020
Enseignant-Chercheur Prost Valentin Licence : Histoire Année universitaire 2020/2021 Enseignant : Pascal GEOFFRET Table des matières Introduction...........................................................................................................................................2 Introduction En arrivant à l’université et bien avant de commencer mes recherches je savais déjà vers quelle profession de souhaité m’orienter ; à savoir Enseignant-chercheur. Je ne connaissais pas vraiment les détails du métier, je savais qu’il consistait, bien sûr, à mener des recherches et que l’enseignement était une part importante du travail. Cela ne me déranger pas vraiment car j’ai un tempérament curieux, j’aime me poser des questions sur tout et essayer de trouver des réponses. Je savais que l’enseignement pouvais être en quelque sort ma bête noir mais l’enseignement dans le supérieur se fait avec des étudiants qui choisi d’être là et donc le partage est plus facile que dans d’autres milieux d’enseignements. La recherche et le partage sont deux choses que j’apprécie fortement, dans mon esprit c’était mon plan était très clair. Je me posais en réalité aucune question. Je savais que je devais vers une licence puis un master Recherche. Le doctorat à toujours était une évidence pour moi, tant par nécessitée que par envi personnel. Le salaire m’étais peut important, j’imaginé qu’il devait correspondre à celui d’un professeur dans le secondaire. Seule la période de spécialisation m’échappait et m’échappe toujours. L’époque médiéval et moderne sont mes seuls points d’hésitation et encore c’est la transition entre les deux qui m’intéresse le plus. Finalement on peut dire que se sont mes recherches et mes entrevus qui mon amené à me poser des questions. Progression de la démarche Mes recherches se sont faites de façons très simples. J’ai essentiellement utilisé internet pour celle-ci. Les sites comme l’UNISEP ou SUDOC. Je n’ai pas vraiment après appris grand-chose. En réalité j’avais déjà récolté des informations bien avant mon entrée à l’université. Se sont surtout mes interviews qui mon appris le plus de chose J’ai mené au total quatre interviews, auprès de quatre enseignants-chercheurs de l’université d’Avignon à savoir : Guido CASTELNUOVO, Paul PAYAN (Médiéval) Benjamin LANDAIS (Moderne) et Bruno BERTHERAT (Contemporaine). Je me suis tourné vers eux d’une part par facilité car enseignant à Avignon et d’autre part car ses probablement leurs cours qui mon le plus passionné. J’ai bien sur demandé à des chercheurs travaillants sur les périodes m’intéressant. Exception pour monsieur Bertherat car je voulais un point de vue nouveau sur cette période. Les demande d’interviews se sont faite très simplement par mail. J’ai us la chance de pouvoir faire une interview en présentiel avec monsieur Castelnuovo, les autres furent réalisé par vidéoconférence via BBB. Au final ces entretiens on clairement était se qui m’a le plus était utile, car comme tous me l’on précisés, le métier d’enseignant-chercheur est essentiellement constitué de non-dit. Bilan des résulta Se que je savais déjà c’est confirmé : - Master recherche + Doctorat (Formation classique mais que je tiens à effectuer) - Mélange entre enseignement et recherche - Possibilité de faire de la recherche autre part que dans une université - Concours pour le poste de maitre de conférences compliqué car beaucoup de demande pour peu de postes. En réalité, expliqué avant, mes interviews mon révéler quelque rouage dans le métier qui ne figure pas forcément dans les sites consultés. - Le métier comporte beaucoup de tache administrative - Les universités sont très régissantes à engager une personne sans expérience de l’enseignement et sans Agrégation. - La recherche est réduite entre l’administration et les cours - Le métier est extrêmement varié, entre cours, réunions, recherche, colloque, administration. La perspective de devoir passer un concours de l’enseignement secondaire ne me dérange pas vraiment en réalité ni la perspectif d’enseigner dans le secondaire. Je ne pensé pas le métier si diversifié se qui est une bonne chose je trouve, je peux me lasser de faire continuellement la même chose. Les tâches administratives sont serte un élément déplaisant mais tous mes intervenants furent clairs sur le fait que cela n’entaché pas réellement le plaisir de faire ce métier. Bilan Professionnel Connaissance : - Maitrise de la période de recherche (Médiéval ou moderne) -Maitrise des autres périodes - Langue morte (Latin) -Langue vivante (Anglais + autre éventuellement) -Maitrise de la diplomatique, codicologie et Archéologie Compétence : - Travail d’équipe - Qualité d’enseignant (Fabriquer un cours, gestion d’une salle de classe) - Essence à l’oral - Gestion de l’administration Conclusion Finalement j’ai essentiellement appris de mes interviews, notamment sur « face caché » métier. C’est en réalité un métier assez diffèrent de ce que je pensé. Mais cela m’a conforté dans mes objectifs. Je compte donc m’orienté vers le master et renforcer mes points faible a savoir les langues (mortes ou non) et le travail de groupe. Bibliographie Parcoureo https://www.parcoureo.fr/candidat/encyclo/mot_cle/fiche_metier/727/L2NhbmRpZGF0L2Vu Y3ljbG8vbW90X2NsZS9saXN0ZV9tZXRpZXIvNzQjbWV0aWVyXzcyNw== 06/04/2021 17h40 https://www.parcoureo.fr/candidat/encyclo/mot_cle/fiche_metier/467/L2NhbmRpZGF0L2Vu Y3ljbG8vbW90X2NsZS9saXN0ZV9tZXRpZXIvNzQjbWV0aWVyXzQ2Nw== 06/04/2021 17h40 Fichemetier.fr https://www.fichemetier.fr/formations/licence-histoire 06/04/2021 17h40 Letudiant.fr https://www.letudiant.fr/metiers/secteur/enseignement/enseignant-chercheur.html 06/04/2021 17h40 Annexes I/ Interview de M. CASTELNUOVO II/ Interview de M. PAYAN III/ Interview de M. BERTHERAT IV/ Interview de M. LANDAIS. Interview Guido CASTELNUOVO. Bibliothèque université Avignon Guido Castelnuovo à effectuer une maitrise directement après sa licence. Il à une famille d’universitaires il n’a donc pas us de surprise pendant son cursus. Il s’orriante vers la recherche car il aime réfléchir. Il se spécialise dans l’histoire médiéval et passe sont doctorat puis un concours pour un post en tant que professeur. Il insiste sur le fait que le chercheur et aussi enseignant. Que ses journées sont rythmées par la préparation, le suivi de ceux-ci, les TD, la correction et par les occupations administratives. (Il travaille à l’Edition de la revue universitaire). Plus le chercheur fait de cours moins il a de temps Le Chercheur travail avec les autres chercheurs. Il lit ses pairs, puis il rédige et publie. Faire de tout est enrichissant. L’enseignement est un plaisir c’est le moment où l’on parle à un large public. Clarifier pour les étudiants c’est aussi clarifier ses pensées. Il n’y a pas vraiment de mauvais coté dans le métier. On bouge beaucoup pour faire de la recherche (bibliothèque, archive, maison). Mais il y a de la pression, peur d’être critiqué, de la solitude (Covid), la peur de la page blanche. Après le Doctorat peur que son travail ne soit jugé de façons justes car encore jeune. Mais on à beaucoup de liberté et on fait se que l’on aime. On réfléchit, on analyse, on pense qu’on est le premier à avoir une idée alors que non, mais c’est grisant. On touche les documents. Ce n’est pas un travail de bureau et le contexte de la recherche vari souvent. L’enseignement est un plaisir. Difficile de décrocher de son travail. Le seul véritable vrai mauvais coté c’est les débouche très limité après le Doctorat et le Master. Les qualités de l’historien c’est de trouver ses sources. Parler plein de langue pour travailler avec une bibliographie très large et beaucoup de sources. Mais la base c’est d’être curieux. Sur pourquoi le moyen-âge ? Car il est présent partout, on ne peut pas l’ignorer. L’histoire apporte un recul critique sur le monde. Il permet de s’armer contre les « fake news ». Permet de comprendre les limitations de la vérité mais les historiens donnent de crédit à leurs propres travaux et pense qu’ils sont plus intelligents que les autres. L’historien à un pouvoir symbolique. Il maitrise le passé. En France il jouit d’un travail à vie. Paul PAYAN. VISO via BBB Parcours simple. Pas de prépa ni d’école supérieur. Licence à Avignon puis Maitrise à Aix. Il a passé l’Agrégation pour enseigner dans le secondaire tout en continuant sont cursus dans la recherche. Il a us un contrat doctoral et par la suite repris le secondaire pour finir sa thèse. Il est ensuite entré à l’université d’Avignon. Il a découvert la recherche à la Fac et à aimé ça, il est donc resté. Les journées de se ressemble pas. On vague entre cours, recherche et administration. On n’est pas tous les jours à l’université. On voyage, on est aux archives, à la bibliothèque. Il faut programmer la recherche trouver une journée entière pour en faire. On doit être curieux, avoir de l’appétence pour ce que l’on fait. Savoir s’organiser dans le travail. Il faut accumuler et mettre en forme. Trouvé un équilibre et une capacité d’autonomie. Avoir des qualités humaines liée à la transmission. On a une certaine liberté dans le choix de ses recherches. Dans l’enseignement aussi mais doit être cohérant avec le programme des collègues. On n’est pas surpris par le métier. La thèse permet de se faire avec université. Il faut savoir concilier passion et réalisme. Il est compliqué de gagner sa vie car peut de poste donc beaucoup se tourne vers le secondaire. Il faut être patient Le moyen Age c’est par gout personnel et aussi car à vécus à Avignon. La période est séduisante L’histoire offre une grille de lecture sur le monde. Liée aux autres sciences sociales mais dans le passé. Permet d’appréhender la complexité du présent. Permet une plus grande lucidité sur le monde Bruno BERTHERAT. Visio via BBB L’histoire lui à toujours beaucoup. uploads/Science et Technologie/ table-des-matieres-enseignant-chercheur-prost-valentin 1 .pdf
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- Publié le Aoû 13, 2022
- Catégorie Science & technolo...
- Langue French
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