i DEDICACE A vous, mes très chers parents SIMABATU MEMY Albert et MONKA APESAPY
i DEDICACE A vous, mes très chers parents SIMABATU MEMY Albert et MONKA APESAPY Mélanie, qui m’avez inculqué, dès ma plus tendre enfance, non seulement le sens du devoir et de responsabilité, mais aussi le goût du savoir et de la maturité. Je dédie ce travail. ii REMERCIEMENTS Ce travail est le fruit de beaucoup de sacrifices et d’abnégation durant trois ans d’étude à l’Université de Kinshasa. Il ne pouvait se réaliser sans l’effort des personnes de bonne volonté, C’est pourquoi nous exprimons notre gratitude à tous ceux qui nous ont soutenus pour la réalisation de cette œuvre. Nos remerciements s’adressent au directeur de ce travail, le professeur ILUNGA KASAMBAY Casimir qui, en dépit de ses nombreuses occupations, a bien accepté d’assurer la direction de ce travail avec attention et rigueur jusqu’à son terme. A l’assistant Dady, pour son suivi et son soutien en tant qu’encadreur et pour la rigueur dans le travail que nous avons appris de lui. Nos sentiments de reconnaissance s’adressent également au corps académique et scientifique de la Faculté de Lettres et Sciences Humaines en général et du Département de Sciences de l’Information et de la Communication. Nous exprimons notre sincère reconnaissance à Papa Martin BOTENGE, Janvier BONGA, Humble NKIERE, Michel BOKWALE, CAROLINE MOKANGO et à monsieur Jean KAYOLO pour leurs conseils, soutiens matériels, spirituels et leurs encouragements qui ont contribué à notre personne ainsi qu’à la réalisation et la réussite de ce travail. Nous pensons à nos frères et sœurs, Betthy SIMABATU, Nono SIMABATU et Lauriane SIMABATU, pour l’infinie bonté et le soutien inconditionnel. A nos nièces et neveux, Belvano KINSHER, Gires KINSHER, Ines NKELA, Fabrice BALON, Blaise BALON, Huguette BALON, Christelle BOTENGE, Steve BONGA, Jess BONGA, Christelle BAYOKA, Isaac BANTU, Liviane BANTU, pour tant d’amours et d’affectation. iii A nos amis, FOFO KIPENDO, Régine MPOYI, Clémence MAMOKO, Christelle LUBUTA, Blanchard TURI, Patricia NIER, Divine MASEKE. Notre reconnaissance s’adresse enfin à tous nos compagnons de lutte dont l’amitié nous a été précieuse tout au long des années d’étude menées ensemble. Nous remercions Justa TATY, Ruth BOFANDO, Malik KITETE, Sarah NTULA, Rachel TAMFUNG, Pauliande MBUMBE, Peyronie MBOMBO, Jonathan OMANGELO. Que tous reçoivent ici l’expression de notre reconnaissance la plus sincère. SIMABATU NKERE Lisette 1 O. INTRODUCTION 1. PROBLEMATIQUE La société humaine se transforme et se métamorphose graduellement grâce à l’usage des technologies de l’information et de la communication. La société de l’information prend aussi place dans toutes les nations et se caractérise par la numérisation de toutes les données informationnelles. L’information et les multimédias gouvernent actuellement toutes les actions et activités humaines. De ce fait, le monde est donc devenu un village planétaire tel que cela a été prophétisé par le chercheur canadien MARSHAL MCLUHAN. Les technologies de l’information et de la communication accompagnent les êtres humains dans l’accomplissement de plusieurs tâches. Elles favorisent la sauvegarde et la transmission du savoir commun. Les outils technologiques participent d’une façon ou d’une autre dans la construction de l’intelligence. Ce sont des sources d’information dans lesquelles les usagers puisent la connaissance sur différentes réalités de la vie. Les technologies de l’information et de la communication sont intégrées dans divers secteurs de la vie humaine. Elles assurent le développement de la société suite à la création des emplois et d’autres activités socioprofessionnelles. Aujourd’hui, les réseaux comme matérialisation de ces nouvelles technologies facilitent les échanges sociaux entre les différents membres de la société. 2 Les réseaux sociaux contribuent à la création, au maintien et au développement des relations intimes entre les différents usagers. Cependant, les médias sociaux accordent un privilège aux usagers non seulement pour se divertir mais aussi apprendre par le biais de la mise en place des rubriques consacrées uniquement à la recherche ou encore aux événements professionnels. Les réseaux sociaux comme outils de l’internet ont été intégrés dans différentes options telles que les tablettes, les téléphones ou encore les ordinateurs. Ces outils de la communication interactive sont utilisés dans différents milieux de la société. L’espace public reste le lieu par excellence où les réseaux sociaux sont pratiquement utilisés. Pour ce, il a été constaté que les réseaux sociaux sont plus utilisés par le public intellectuel. La majorité des internautes sont des intellectuels car l’utilisation des réseaux sociaux nécessite la possession d’une certaine connaissance rationnelle. Les milieux universitaires représentent des espaces publics dans lesquels l’on forme des intellectuels, élites d’un pays. A cet effet, l’internet constitue un outil d’apprentissage, de connaissance et de savoir mis à la disposition du public intellectuel. Il existe plusieurs sites qui permettent aux chercheurs de recueillir des données sur les différents points qui se rapportent à leur domaine scientifique. Les étudiants du département des sciences de l’information et de la communication utilisent et s’approprient l’internet pour différentes fins. Ainsi, nous résumons notre problématique par la mise en exergue des questions suivantes : 3 - Comment et pourquoi les étudiants du département des SIC de l’UNIKIN s’approprient de l’internet dans leurs pratiques quotidiennes ? 2. HYPOTHESE Les étudiants des SIC utilisent l’internet pour une finalité des recherches et de divertissement. Ils s’approprient plus des sites comme Google, Yahoo et des réseaux sociaux comme Facebook, Twitter, viadéo, Badoo, H15. Cependant, le divertissement prime sur l’aspect recherche car l’internet est considéré pour eux comme un outil de détente et de recherche d’amis que des recherches scientifiques bien poussées. 3. METHODOLOGIE La méthodologie est une démarche rationnelle qui permet d’organiser et d’agencer les données récoltées sur terrain. PINTO et GRAWITZ soulignent que : «tout travail scientifique doit recourir à une ou plusieurs méthodes entendu comme l’ensemble des opérations intellectuelles par lesquelles une discipline cherche à atteindre les vérités qu’elle poursuit, les démontrer et les vérifier».1 Pour ce, nous comptons recourir à la méthode ethnosociologique. C’est une méthode regroupée au sein de l’approche quantitative et consiste à examiner la façon dont un groupe social interprète une réalité sociale. Cet examen se réalise par le biais des enquêtes par sondage. La méthode ethnosociologique est une méthode de terrain qui consiste à observer les pratiques et les actions d’un groupe. 1 R.PINTO et M.GRAWITZ, Méthodes des sciences sociales, éd. Dalloz, Paris, 1990, p.54. 4 De ce fait, cette méthode va nous aider à saisir la manière dont les étudiants des SIC font l’usage de l’internet. Il sera question d’une description profonde sur les actions et les pratiques de l‘internet par les étudiants inscrits en SIC. Quant aux techniques, nous faisons appel aux techniques suivantes : - Technique documentaire : Lecture et consultation des ouvrages, des articles, des revues et de la webographie - Technique d’observation participante : Insertion dans le groupe, en vue de saisir la façon dont l’internet est utilisé par les étudiants du département des SIC - Technique d’entretien : Réalisation de quelques entretiens avec les étudiants du département sur l’usage des TIC dans ce milieu. 4. CADRE THEORIQUE Le cadre théorique est une posture épistémologique qui permet de trouver la validité d’un travail scientifique réalisé dans le domaine de communication. La théorie couvre le champ de communication adopté par le chercheur pour la réalisation de son travail. Pour ce faire, nous adoptons les théories suivantes : - Théorie des usages des nouvelles technologies de l’information et de la communication chère à Patrick FLICHY. - La théorie de l’appropriation des technologies de l’information et de la communication. Il ne s’agit que d’une simple annonce, le développement de ces théories sera au premier chapitre. 5 5. INTERET ET CHOIX DU SUJET L’intérêt porté, sur le choix de ce sujet, est double, à la fois scientifique et social : - Sur le plan scientifique, cette étude permet de démontrer l’évolution dynamique et la pertinence de l’internet. Il s’agit d’élucider la contribution de l’internet dans la construction de l’intelligence à travers le partage de savoir et autres connaissances. En effet, l’internet a bouleversé le fonctionnement de la société scientifique suite à sa capacité de sauvegarde des informations ou autres données scientifiques. Ce travail scientifique nous permet de faire le lien entre l’internet et le cybermonde ou l’espace public de l’Université de Kinshasa. Nous désirons observer la façon dont le public de l’Unikin utilise et s’approprie l’internet. Le changement apporté par l’internet a bouleversé le fonctionnement des groupes sociaux voire des réalités sociales. - Sur le plan social, cette étude a pour objet de saisir et de comprendre les usages dont les étudiants du département de communication font de l’internet. Il s’agit de découvrir le sens commun partagé par les usagers en ce qui concerne l’appropriation de l’internet. Nous évaluerons le caractère usuel de cet outil en vue de dénicher le véritable sens partagé par ces étudiants en ce qui concerne l’usage de l’internet. 6 6. DELIMITATION DU SUJET Les limites de ce travail scientifique concernent le temps et l’espace. Le cadre temporel de notre recherche concerne l’intervalle de temps allant de 2012 à 2014, car c’est depuis 2012 que nous avons commencé à observer le fait concernant les usages de l’internet, tandis que notre espace d’observation reste la ville de Kinshasa (Université de Kinshasa). 7. PLAN SOMMAIRE DU TRAVAIL Ce travail scientifique uploads/Science et Technologie/ tfc-simabatu.pdf
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- Publié le Dec 26, 2021
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