FÉDÉRATION NATIONALE DES CENTRES DE LUTTE CONTRE LE CANCER Standards, Options,

FÉDÉRATION NATIONALE DES CENTRES DE LUTTE CONTRE LE CANCER Standards, Options, Recommandations 101, rue de Tolbiac 75654 Paris cedex 13 Tél : 01.44.23.04.04 – Fax : 01.44.23.04.17 Site Web : http://www.fnclcc.fr/sor.htm E-mail : sor@fnclcc.fr Recommandations pour la pratique clinique : Standards, Options et Recommandations 2003 pour le traitement médical de première ligne des patientes atteintes de tumeurs épithéliales malignes de l’ovaire, mise à jour (rapport abrégé) Validation du rapport initial : avril 1997 Nouvelle validation des SOR : juin 1999 Validation de la mise à jour du chapitre chimiothérapie : octobre 2003 Membres du groupe de travail C. Lhommé, oncologue médical, Institut Gustave Roussy, Villejuif (coordonnateur) I. Ray-Coquard, oncologue médical, Centre Léon-Bérard, Lyon JP. Guastalla, oncologue médical, Centre Léon-Bérard, Lyon A. Bataillard, médecin généraliste, FNCLCC, Paris (méthodologiste) L. Thomas, oncologue radiothérapeute, Institut Bergonié, Bordeaux P. Bonnier, chirurgien, Hôpital de la Conception, Marseille D. Dargent, chirurgien, Hôpital Édouard Herriot, Lyon N. Dohollou, oncologue radiothérapeute, Polyclinique Bordeaux Nord Aquitaine, Bordeaux G. Ganem, oncologue radiothérapeute, Centre Jean Bernard, Le Mans JP. Lefranc, chirurgien, Hôpital de la Pitié-Salpétrière, Paris JL. Misset, oncologue médical, Hôpital Saint-Louis, Paris O. Rixe, oncologue médical, Hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Paris X. Tchiknavorian, oncologue médical, Centre hospitalier intercommunal, Toulon C. Tournigand, oncologue médical, Hôpital Saint-Antoine, Paris R. Villet, chirurgien, Hôpital des Diaconesses, Paris MAJ SOR ovaires, chapitre traitement médical de première ligne - Rapport abrégé – Octobre 2003 Copyright © FNCLCC tous droits réservés 1 Membres associés au groupe de travail T. Bachelot, oncologue médical, Centre Léon-Bérard, Lyon P. Kerbrat, oncologue médical, Centre Eugène Marquis, Rennes B. Fervers, oncologue médical, FNCLCC, Paris JP. Basuyau, biologiste, Centre Henri Becquerel, Rouen C. Cohen-Solal-Le Nir, radiologue, Centre René Huguenin, Saint-Cloud P.Morice, chirurgien, Institut Gustave Roussy, Villejuif P. Duvillard, pathologiste, Institut Gustave Roussy, Villejuif N. Tournemaine, Centre René Gauducheau, Saint-Herblain E. Voog, oncologue médical, Clinique Victor Hugo, Le Mans Contributeurs P. Azuar, chirurgien gynécologue, CHG Grasse, Grasse P. Bougnoux, oncologue médical, CHU, Tours G. Brun, gynécologue, GH Saint-André Jean Abadie, Bordeaux D. Castaigne, chirurgien, Institut Gustave Roussy, Villejuif M. Conte, gynécologue, Clinique Beauregard, Marseille G. de Rauglaudre, oncologue radiothérapeute, Clinique Sainte-Catherine, Avignon LM. Dourthe, oncologue médical, Hôpital d'instruction des armées du Val-de-Grâce, Paris F. Eisinger, biologie clinique, Institut Paoli Calmettes, Marseille F. Feuilhade, oncologue médical, Hôpital Henri Mondor, Créteil A. Fignon, chirurgien gynécologue, Hôpital Bretonneau, Tours A. Floquet, oncologue, Institut Bergonié, Bordeaux E. Fondrinier, chirurgien oncologue, Centre Paul Papin, Angers L. Gladieff, oncologue médical, Centre Claudius Régaud, Toulouse D. Khayat, oncologue médical, Hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Paris J. Lansac, chirurgien gynécologue, CHU Bretonneau, Tours H. Lauche, oncologue radiothérapeute, Clinique Clémentville, Montpellier O. Le Floch, oncologue radiothérapeute, Hôpital Bretonneau, Tours A. Lebrun-Jezekova, oncologue médical, Institut Jean Godinot, Reims JP Lotz, oncologue médical, Hôpital Tenon, Paris B. Maria, gynécologue, Centre hospitalier, Villeneuve-Saint-Georges A. Meunier, chirurgien, Centre Léon-Bérard, Lyon P. Pautier, oncologue médical, Institut Gustave Roussy, Villejuif MF. Pichon, biologiste, Centre René Huguenin, Saint-Cloud D. Querleu, chirurgien, Institut Claudius Régaud, Toulouse N. Rouverand, oncologue radiothérapeute, Clinique de la Louvière, Lille J. Salvat, gynécologue obstétricien, Centre Hospitalier, Thonon-les-Bains M. Unterreiner, oncologue radiothérapeute, Centre François Baclesse, Luxembourg JL. Verhaeghe, chirurgien, Centre Alexis Vautrin, Nancy D. Vinatier, chirurgien gynécologue, Hôpital Jeanne de Flandre, Lille B. Weber, oncologue médical, Centre Alexis Vautrin, Nancy P. Zlatoff, chirurgien, Centre régional Léon-Bérard, Lyon MAJ SOR ovaires, chapitre traitement médical de première ligne - Rapport abrégé – Octobre 2003 Copyright © FNCLCC tous droits réservés 2 Comité d’organisation des SOR T. Philip, directeur des SOR, pédiatre, FNCLCC, Paris (Bureau exécutif) B. Fervers, directeur adjoint des SOR, oncologue médical, FNCLCC, Paris (Bureau exécutif) P. Bey, représentant du Conseil d’administration de la FNCLCC, radiothérapeute, FNCLCC, Paris (Bureau exécutif) D. Maigne, délégué général de la FNCLCC, FNCLCC, Paris (Bureau exécutif) A. Bataillard, coordinatrice des SOR spécialistes, médecin généraliste, FNCLCC, Paris (SOR spécialistes) G. Gory-Delabaere, méthodologiste, pharmacien, FNCLCC, Paris (SOR spécialistes) L. Bosquet, méthodologiste, FNCLCC, Paris (SOR spécialistes) N. Fabre, méthodologiste, FNCLCC, Paris (SOR spécialistes) S. Rousmans, méthodologiste adjoint, FNCLCC, Paris (SOR spécialistes) E. Luporsi, méthodologiste associé, oncologue médical, FNCLCC, Paris (SOR spécialistes) S. Theobald, méthodologiste associé, médecin de santé publique, FNCLCC, Paris (SOR spécialistes) F. Farsi, référent réseau, médecin de santé publique, FNCLCC, Paris (SOR spécialistes) J. Carretier, méthodologiste, responsable des SOR SAVOIR PATIENT, chargé de mission en santé, FNCLCC, Paris (SOR SAVOIR PATIENT) S. Brusco, méthodologiste, FNCLCC, Paris (SOR SAVOIR PATIENT) V. Delavigne, linguiste, FNCLCC, Paris (SOR SAVOIR PATIENT) E. Esteves, assistante, FNCLCC, Paris (SOR SAVOIR PATIENT) L. Leichtnam-Dugarin, méthodologiste, chargée de mission en santé, FNCLCC, Paris (SOR SAVOIR PATIENT) M. Haugh, responsable SOR projets internationaux, biochimiste, FNCLCC, Paris (Projets internationaux) V. Millot, assistante de gestion, FNCLCC, Paris (Projets internationaux) S. Guillo, documentaliste scientifique, FNCLCC, Paris (Documentation) A.G. Guy, technicienne documentaliste, FNCLCC, Paris (Documentation) S. Debuiche, responsable administrative, FNCLCC, Paris (service administratif et éditorial) H. Borges-Paninho, chargée de la gestion des documents, FNCLCC, Paris (service administratif et éditorial) D. Gouvrit, assistante, FNCLCC, Paris (service administratif et éditorial) L. Pretet, assistante, FNCLCC, Paris (service administratif et éditorial) E. Sabatier, secrétaire, FNCLCC, Paris (service administratif et éditorial) MAJ SOR ovaires, chapitre traitement médical de première ligne - Rapport abrégé – Octobre 2003 Copyright © FNCLCC tous droits réservés 3 Le programme SOR de recommandations pour la pratique clinique Contexte Le programme « Standards, Options et Recommandations » (SOR) en cancérologie a été initié par la Fédération nationale des centres de lutte contre le cancer (FNCLCC) en 1993 et réalisé en partenariat avec la Fédération hospitalière de France (FHF), la Fédération nationale de Cancérologie des CHRU (FNCHRU), la Fédération française de Cancérologie des CHG (FFCCHG). Ce programme comprend la définition de recommandations pour la pratique clinique en cancérologie, leur actualisation, leur diffusion vers les cliniciens et l’évaluation de leur impact. L’actualisation des recommandations repose sur une veille technologique et scientifique. Il s’agit d’un travail coopératif national des Centres régionaux de lutte contre le cancer (CRLCC) avec la participation active d’experts des secteurs public et privé et de sociétés savantes. Objectif L’objectif du programme SOR est d’élaborer des recommandations pour la pratique clinique en cancérologie. Ces recommandations pour la pratique clinique visent à améliorer la qualité de la prise en charge des patients atteints de cancer en fournissant aux praticiens une aide à la décision facilement utilisable et actualisée. Les changements organisationnels qui pourraient être nécessaires pour appliquer les recommandations ne sont pas abordés dans les SOR. Ils doivent faire l’objet d’une discussion au niveau locorégional, notamment au sein des réseaux de soins en cancérologie. Les Standards, Options et Recommandations ne concernent pas l’évaluation des stratégies de dépistage. Les considérations médico-économiques ne sont pas abordées dans les SOR. Partenariat scientifique Ces recommandations pour la pratique clinique ont été élaborées en collaboration avec la Société française d'oncologie gynécologique (SFOG). Méthodes Méthode d’élaboration et d’actualisation La méthode d’élaboration et d’actualisation des SOR repose sur l’analyse critique des meilleures données scientifiques disponibles et le jugement argumenté des experts au sein d’un groupe de travail pluridisciplinaire représentatif des modes d’exercice et des disciplines concernées par la prise en charge. Cette méthode dite « mixte » combine le niveau de preuve scientifique et l’accord d’experts (cf. Tableau 1 et Tableau 2). Le rapport intégral est revu par des experts indépendants à l’aide d’un grille de lecture basée sur la grille AGREE. Les commentaires sont compilés et analysés par le groupe de travail et la nature des modifications engendrées est décrite dans le processus de revue. MAJ SOR ovaires, chapitre traitement médical de première ligne - Rapport abrégé – Octobre 2003 Copyright © FNCLCC tous droits réservés 4 Méthode de veille technologique et scientifique La méthode de veille scientifique repose sur la recherche systématique des données susceptibles de modifier les recommandations pour la pratique clinique et sur l’avis argumenté des experts. Participation des groupes concernés L’élaboration des recommandations pour la pratique clinique implique un groupe de travail constitué d’experts praticiens assistés par une équipe méthodologique, ainsi que des contributeurs dans le cadre de la relecture externe. Les opinions et les préférences des patients ne sont pas actuellement intégrées. Une méthode pour assurer la prise en compte de l'avis des patients est en cours de développement. Définitions des Standards, Options et Recommandations et des niveaux de preuve Les Standards, Options et Recommandations accompagnés du niveau de preuve reposent sur les meilleures preuves scientifiques disponibles au moment de leur rédaction (best available evidence), pouvant être selon le sujet des méta-analyses, des essais randomisés ou des études non randomisées. Lorsque les preuves scientifiques font défaut pour un point particulier, le jugement est basé sur l'expérience professionnelle et le consensus du groupe d'experts (« accord d'experts »). Le niveau de preuve est fonction du type et de la qualité des études disponibles ainsi que de la cohérence ou non de leurs résultats ; il est explicitement spécifié pour chacune des méthodes/interventions considérées selon la classification suivante présentée dans le Tableau 2 (pour plus de détails, cf. Méthodologie de développement des SOR)[FERVERS1995] [FERVERS2001]). Tableau 1. Définition des Standards, Options et Recommandations Standards Interventions pour lesquelles les résultats sont connus et qui sont considérées comme bénéfiques, inappropriées ou nuisibles, à l’unanimité. Options Interventions uploads/Sante/ apc-gyn-ovaire-tt-abr.pdf

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  • Publié le Aoû 09, 2021
  • Catégorie Health / Santé
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