Gastro-entérologie 21 pages [1] : B Toutes les autres propositions sont exactes

Gastro-entérologie 21 pages [1] : B Toutes les autres propositions sont exactes. Il faut se souvenir que dans 2/3 des cas, le siège initial de la douleur est épigastrique et non au niveau de rhypochondre droit. [2] : E Proposition évidente. [3] : D Habituellement en France, l’hépatite alcoolique aiguê (HAA) survient sur des lésions de cirrhose ; cependant I’HAA peut survenir à tous les stades de foie alcoolique. Dans les pays anglo-saxons, HAA sur foie sain (stéatome) est fréquente. [4] : C Le traitement immédiat habituel de la crise de colique hépatique repose sur la prescription dun antispasmodique ; les morphiniques, qui augmentent la tension des voies biliaires, sont à éviter. [5] : B Affection fréquente autosomique dominante, la maladie de Gilbert est responsable d’ictère à bilirubine non conjuguée. En dehors d’une anomalie possible de la clearance de la BSP, le reste du bilan hépatique est strictement normal. [6] : A B C D Evident non commenté. [7] : A B Lhémicolectomie gauche, théoriquement plus satisfaisante sur le plan carcinologique, donne en fait exactement les mêmes taux de survie et de récidive que la colectomie segmentaire. Celle-ci à l’avantage d’éviter un décrochement de l’angle gauche. [8] : A D Evident. [9] : B C L’hépatite A peut exceptionnellement être responsable d’hépatite fulminante mais jamais d’hépatites chroniques.Les anomalies biologiques hépatiques observées au cours des infections à CMV et à EBV sont en règles modérées et toujours transitoires. [10] : B La persistance de l’antigène HBe dans le sérum au delà de 10 semaines fait craindre une évolution vers la chronicité. [11] : C Organe fragile, particulièrement exposé. [12] : B Langiocholite se définit comme une infection bactérienne de la voie biliaire principale. Sa cause majeure est la lithiase de la voie biliaire principale. [13] Réponse? Le Questran®, chélateur des sels biliaires, aggraverait la stéatorrhée en diminuant encore les possibilités réduites du ‘cycle entéro-hépatique. [14] : C Lantigène de surface du virus HB, ou enveloppe, est une partie non infectante du virus. [15] : B D A - L’absence de parallélisme anatomo-clinique est classique en matière d’appendicite aigué. [16] : A B D E C - C’est le cas de la hernie crurale. [17] : B D E A - L’apparition récente des troubles même fonctionnels invite à pousser les investigations surtout passé l’âge de 40 ans. [18] : A B E Sans commentaire. [19] : A D C - Le cholestérol synthétisé par le foie est diminué en cas d’insuffisance hépatocellulaire. [20] : B E C - La survenue dune fièvre au cours de l’amibiase doit faire rechercher une atteinte hépatique (abcès amibien du foie). [21] : A B C E C - En cas de surdosage. E - Epithélium à renouvellement rapide (48 h pour la muqueuse intestinale). [22] : D Au cours de l’angiocholite l’origine, de l’ictère peut être mixte 1 - n est essentiellement lié à robstacle responsable dune cholestase. Le facteur V, témoin de rinsuffisance hépatique, est normal même si le TP est abaissé. L’injection lente (perfusion) de vitamines K (20 mg) normalise en règle le TP. 2 - Le sepsis peut être directement responsable dictère (septicémie à gram -). [23] : C E - La douleur post prandiale immédiate évoque soit une gastrite soit une colopathie fonctionnelle (l’item E est donc inexact et la correction discutable). [24] : B A - Elle est toujours surestimée. [25] : A La recherche dun astérixis nécessite un état de conscience incompatible avec la définition du coma stade III. [26] : A B E Ce sont les causes les plus fréquentes de pancréatite aiguê sous nos climats B D - Peuvent donner des pancréatites aiguês. Pour l’ascaris, en cas de localisation, dans le Wirsung et non dans la VBP. [27] : B C Par argument de fréquence devant le tableau, la diverticulite doit être évoquée en premier lieu mais la crainte du cancer impose des explorations complémentaires en commençant, compte tenu du contexte infectieux, par un lavement aux hydrosolubles. [28] : A D A - Il s’agit d’un signe tardif, le transit baryté n’est plus guère utilisé dans le cadre du bilan dune pancréatite chronique. B - Li L2 et non L4 E - N’a aucune signification pathologique. [29] : A C Vise à créer un gradient de pression entre la cavité péritonéale et le milieu intérieur, afin que l’ascite se draine. C’est le type danastomose qu’il faut utiliser si l’on réalise une anastomose portocave pour ascite réfractaire. Les anastomoses termino-latérales s’accompagnent au contraire d’une ascite. B D E - Sont des traitements préventifs des récidives hémorragiques liées à l’hypertension portale. [30] : A C E C - Elle se traduit, sur la radiologie de face, par un pneumopéritoine. [31] : A B E Le diagnostic de hernie diaphragmatique post-traumatique est vraisemblable.Elle peut livrer passage à l’estomac (A) à la rate (E) ou au colon (B), au grêle et au grand épiploon. [32] : A D E A - L’échographie est en règle suffisante. D - Elle est réalisée dans le cadre du bilan pré-opératoire pour rechercher des lésions associées (rein gauche). [33] : B D E - L’angiome stellaire au cours dune maladie hépatique est un signe d’insuffisance hépatocellulaire et non hypertension portale. [34] : D La gamma glutamyl transférase est un test sensible de dépistage dune anomalie hépatique. Cependant elle n’a aucune valeur étiologique. [35] : A Latrophie villositaire n’est jamais modérée au cours d’une maladie coeliaque. [36] : D L’hyperoxalémie responsable d’une lithiase nécessite une atteinte iléale. Celle-ci n’est jamais observée (pas d’atteinte du grêle) dans la RCH. [37] 1 : B D - Cela se voit en règle dans les occlusions incomplètes réalisées habituellement par les obstructions terminales. [38] : D Il s’agit d’un complication rare des fistules cholécystoduodénales ; cliniquement elle réalise une occlusion évoluant par accès avec migration des douleurs. Radiologiquement, le signe pathognomonique de la fistule est la présence d’air dans les voies biliaires (aérobilie). [39] : A B D L’intervention s’impose (A); l’amputation abdominopérinéale est indispensable (B) compte tenu de la proximité du pôle inférieur de la tumeur par rapport à la marge anale. [40] : A C D B E - Sont des conséquences possibles. A - Impose la recherche par NFS et toucher Rectal au minimum. C - La décompensation ictéro-ascitique d’une cirrhose bien compensée jusqu’alors peut révéler un carcinome hépatocellulaire (le terme d’adéno cancer est imprécis) [41] : C D E E - Les ascites infectées du cirrhotique sont en règle plus pauvres en protides que les ascites non infectées . Une ascite riche en protides (>20 g/P) doit faire rechercher une pathologie maligne ou une tuberculose. [42] : C D E D - Cette indication est actuellement en plein essor. La sphinctérotomie endoscopique permet alors souvent, en permettant un bon drainage des voies biliaires, de refroidir’ le malade en vue d’une chirurgie secondaire éventuelle. [43] : B D A - L’atrophie villositaire totale est en règle prédominante au niveau duodénojéjunale. Latteinte iléale traduit rextension de la maladie. C - Il témoigne alors d’une atteinte idéale. D - Conséquence de la malabsorption de la vitamine D E - La réintroduction du gluten entraîne en règle une rechute clinique et histologique. La durée du traite-ment est controversée. [44] : B E Douleur, fièvre, ictère. [45] : A Réponse évidente. C, D, E - Sont des traitements envisagés pour les ascites réfractaires au traitement. Actuellement les larges ponctions suivies de perfusion dalbumine ont un regain dintérêt, leur tolérance est bonne et elles diminuent la durée dhospitalisation. [46] : C Quelle que soit leur taille, les varices oesophagiennes n’entrainent jamais de dysphagie. [47] : A Réponse évidente (connaissance pure) [48] : D Au cours d’une hépatite fulminante, mortelle dans 80 à 90 % des cas, le TP est toujours inférieur à 20 %, traduisant une grande insuffisance hépato-cellulaire. [49] : E (Connaissance pure). [50] : B C E En cas doubli, refaites un rapide schéma et la réponse devient évidente. [51] : A B E D - La hernie de “cloquet” est lié à la présence dintestin dans la gaine de muscle périné. [52] : A D Sans commentaire. [53] : C D Ces signes traduisent une fistule colovésicale dont il faut retrouver la cause. E - Fissure anale [54] : A B C E D - Il sagit dune cause d’anémie hémolytique chronique qui peut se compliquer de lithiase pigmentaire. On peut donc rarement observer un ictère biliaire à bilirubine mixte. [55] : B C D Evident. [56] : A La fièvre doit faire rechercher une localisation hépatique ou une surinfection bactérienne. [57] : D Il n’y a pas dulcère duodénal sans acide. [58] : C En réalité devant un tableau typique D et E sont totalement illogiques. Q C M mal posé. [59] : B Il existe au cours de la maladie de Gilbert un défaut partiel en en glutamyl transférase qui diminue la conjugaison de la Bilirubine. [60] : E Evident. [61] : A Le duodénum et le jéjunum sont atteints préférentiellement. Liléon peut être touché, le colon uploads/Sante/ gastro-r-21p.pdf

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  • Publié le Oct 31, 2021
  • Catégorie Health / Santé
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