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1 SOULAGER, c’est BIEN GUERIR, c’est MIEUX PREVENIR la maladie, c’est encore MI

1 SOULAGER, c’est BIEN GUERIR, c’est MIEUX PREVENIR la maladie, c’est encore MIEUX ! Jean-Pierre Marguaritte Masseur-kinésithérapeute DE Ostéopathe DO DU Micronutrition est heureux de vous offrir ce guide de santé pour votre confort et votre bien-être. 5 boulevard du Gué 92500 RUEIL-MALMAISON ☏ 01 47 08 18 24 ✆ 06 89 29 62 61 jpmarguaritte@gmail.com www.sosmaldedos.fr PREVENTION ACTIVE ® Guide d’information 2 SOMMAIRE Introduction à l’ostéopathie La prévention • Le fonctionnement de l’organisme • L’équilibre de l’organisme • La source des maladies Les aliments · Le rôle des aliments Le stress · Le bon · Le mauvais · Les anti-stress La douleur articulaire · Un signal d’alarme · Un indice précieux La solution globale · L’équilibre alimentaire · La détoxication · La thérapie manuelle Les repas · Le rythme · Les justes proportions · Le rituel · Le repas type · L’eau · Le vin · Les stimulants digestifs · Les vitamines La micronutrition · Cure d’entretien · Cure d’appoint La surcharge pondérale • Perdre sans régime • Maîtrise de la sensation de faim Conclusion 3 Soulager la douleur est la première mission d’un professionnel de santé. Obtenir la guérison est sa deuxième mission qui impose la prise en compte de tous les facteurs en cause. Sa troisième mission est le maintien de l’état de santé obtenu. Cela devient un acte de prévention active qui consiste à convaincre de l’existence d’une étroite relation entre les douleurs articulaires et musculaires et les troubles fonctionnels hépatiques et digestifs, afin d’obtenir un véritable changement de comportement. Le facteur héréditaire crée une prédisposition à un déséquilibre fonctionnel qui se révèlera en fonction de l’hygiène de vie. Le stress est un facteur capable de déclencher une maladie quand l’organisme présente une faiblesse. La clé étant de déceler le point de faiblesse avant qu’il ne devienne une maladie et c’est là que la douleur articulaire et musculaire prend toute sa dimension. Lorsqu’elle devient persistante, elle doit être interprétée comme un signal d’alarme. Elle est le plus souvent la projection d’un déséquilibre fonctionnel de l’organisme. Et sa localisation renseigne l’ostéopathe sur la fonction de l’organisme en cause qui correspond à un organe, un viscère ou une glande. En effet, le dysfonctionnement se traduit par une modification de la densité ou du volume qui, par le biais de tissus intermédiaires, crée une force qui se projette sur les vertèbres d’où partent les racines nerveuses qui commandent la fonction correspondante. Ceci démontre le premier principe de l’ostéopathie : l’interaction réciproque entre l’organe et la structure. Le deuxième principe est la loi de l’artère : où le flux artériel est ralenti, les échanges sont perturbés, les fonctions se dérèglent et font le lit de la maladie. Le troisième principe est la capacité d’auto guérison : conséquence directe de l’application de ces deux premiers principes qui s’appuie sur les principes de la mécanique des forces et des fluides à l’organisme (80% des artères traversent les muscles qui assurent la stabilité de la structure osseuse). Cet aspect quantitatif ne pouvant être dissocié de l’aspect qualitatif du sang circulant, l’ostéopathe complète le bénéfice de la thérapie manuelle par des recommandations alimentaires (macro-nutriments). Les faiblesses héréditaires et acquises sont compensées par l’apport de micro-nutriments de façon à neutraliser les méfaits du stress et des excès. Puissent les informations contenues dans ce document vous éclairer simplement pour que vous puissiez devenir le principal artisan de votre santé et de votre bien-être. Jean-Pierre MARGUARITTE Les informations contenues dans ce document sont le fruit d’une expérience et de rencontres : · Marc BOZZETTO, ostéopathe DO (Fondateur de l’école supérieur d’ostéopathie ATMAN), · Christian CHARON, docteur en médecine, chargé d’enseignement (Diplôme universitaire de médecine naturelle), · Jean Robert RAPIN, professeur en pharmacologie et toxicologie (Créateur du Diplôme universitaire de micronutrition). Avec une affectueuse pensée pour mon père, le Docteur Eugène MARGUARITTE, qui a été victime malgré lui d’une médecine trop compartimentée. Il restera pour moi un modèle exemplaire par la passion qu’il a montré pour son métier à travers une écoute attentive, un profond respect et un total dévouement pour ses patients. INTRODUCTION A L’OSTEOPATHIE 4 LA PREVENTION STRESS, INSOMNIE, MAL DE TÊTE, DOULEURS MUSCULAIRES ET ARTICULAIRES, TROUBLES DIGESTIFS ET CIRCULATOIRES, SURPOIDS, FATIGUE… Ces troubles accentués par l’environnement social, les nouveaux rythmes de travail, la sédentarité, traduisent un état qui se situe entre la santé et la maladie. Ils s’installent progressivement si, l’on ne prend garde aux signes d’alarme, plongent nombre de personnes dans un état de mal–être. La perte de sommeil étant un des prémices qui peut annoncer la survenue insidieuse d’un état dépressif. Comment ce processus peut il être évité ? C’est précisément ce qui va être démontré dans ce document. I – LE FONCTIONNEMENT DE L’ORGANISME Il dépend de la capacité de l'organisme à gérer les informations qui lui parviennent : 1. génétiques ou acquises : l'hérédité, l'éducation, 2. émotionnelles : l’adaptation aux évènements, 3. nutritionnelles : les aliments, les toxiques, les produits de synthèse, 4. énergétiques : les rayons solaires, l'oxygène de l'air, les ondes électromagnétiques, la pollution, 5. mécaniques : les forces liées à la pesanteur et les traumatismes physiques. Ces informations sont analysées et transformées sous plusieurs formes pour permettre à l’être humain d’évoluer dans son environnement de vie : 1. l'intellect : le discours, le comportement, la volonté, le courage, 2. l'affectif : le sentiment, l'amour, 3. le tonus : l'énergie vitale, le dynamisme, 4. la température du corps, 5. le mouvement. Cette gestion est possible grâce à un mécanisme d'autorégulation physiologique et psychologique : 1. les excrétions : la matière fécale, l'urine, la sueur, le gaz carbonique, les règles 2. les humeurs : la colère, la peur, le rire, la tristesse, la joie, la jalousie, le plaisir … Les premiers signes de déséquilibre entre ces portes d’entrée et ces portes de sortie s’expriment par la fièvre et la douleur. Puis, progressivement, l’organisme se fragilise et devient vulnérable aux stress et aux émotions. La fatigue, le mal-être apparaissent puis l’état dépressif et la maladie surviennent insidieusement si l’on n’y prend pas garde. Pour rétablir cet équilibre entre le corps et l’esprit, plusieurs moyens complémentaires et synergiques ont été réunis autour d’un raisonnement logique et scientifique. UNE METHODE GLOBALE, NATURELLE et PREVENTIVE 5 II – L’EQUILIBRE DE L’ORGANISME Cet équilibre varie en fonction des entrées (aliments, oxygène, émotions), de leur assimilation (digestion, respiration), de leur combustion (métabolisme cellulaire) et de la sortie des déchets issus de la combustion (élimination). L’assimilation des aliments (macronutriments) est assurée dans le tube digestif puis est relayée par le foie qui stocke les micronutriments. L’énergie est produite au niveau cellulaire à partir de multiples réactions chimiques à partir du glucose et en présence de l’oxygène de l’air. Les produits de ces réactions qui ne servent pas au fonctionnement de l’organisme sont naturellement éliminés par quatre émonctoires auxquels il faut rajouter la menstruation (règles chez la femme) : · le gros intestin (les selles) · la peau (la sueur) · les poumons (le gaz carbonique) · les reins (l'urine) III – LA SURVENUE DES MALADIES · La mauvaise alimentation épuise nos fonctions digestives qui produisent de plus en plus de déchets. Ceux-ci encrassent l’organisme qui perd de son pouvoir d’élimination. · Ces déchets en excès, faute d’être éliminés par les voies naturelles, irritent les muqueuses des digestives par fermentation et putréfaction. Naissent alors des facteurs irritants qui ont deux possibilités, remonter l’œsophage et fragiliser les voies respiratoires supérieures (rhinites, sinusites, allergies) puis retomber dans les bronches (bronchites, asthme) ou bien redescendre vers les muqueuses digestives (ballonnements, gastrites, colites). Il suffit alors d’un simple agent extérieur (froid, courant d’air, pollution) pour déclencher l’inflammation ou une allergie. Oxygène Aliments - Eau Emotions Peau Poumons Colon Reins Règles Intestin grêle Foie 6 · Progressivement, si le mode d’alimentation n’est pas revu simultanément et un mécanisme de désintoxication des filtres, intestin et foie, engagé, ces déchets en surproduction vont déclencher d’autres troubles et faire réagir un émonctoire puissant, la peau qui peut se manifester par l’eczéma, le psoriasis. · La perte de perméabilité de la membrane intestinale diminue le pouvoir immunitaire de l’organisme, son irritation peut aussi gagner les tissus avoisinant et déclencher des inflammations périphériques telle que la cystite. · L’insuffisance hépatique s’installe peu à peu avec de nombreuses conséquences car le foie est en cause dans quasiment toutes les pathologies. Pour exemple : l’hypotension et les troubles circulatoires des membres inférieurs. Le foie, à l’instar d’un pied qui freine le débit d’un tuyau d’arrosage dont le robinet est le coeur, crée une compression sur la veine cave inférieure par laquelle se fait le retour veineux des jambes. Ce mécanisme occasionne des troubles circulatoires et une diminution du volume de sang veineux qui remonte au cœur. Ceci explique une diminution du débit cardiaque et de la pression artérielle (un litre et demi de sang traverse le foie chaque minute alors que le corps en contient environ cinq litres). Comment peut on alors imaginer traiter un trouble circulatoire avec des médicaments qui tonifient la paroi veineuse sans avoir lever la compression uploads/Sante/ guide-prevention-active-cabinet-rueil-2.pdf