Neurologie 18 pages [1] : C A - Fasciculations ondulatoires sur toute la longue
Neurologie 18 pages [1] : C A - Fasciculations ondulatoires sur toute la longueur d’un muscle. B - Contractions brusques brèves et involontaires d’un muscle. C - Diminution de volume d’un muscle. D - Sans commentaire. [2] : A B C - Morphinique. D - Neuroleptique. E - Neuroleptique. [3] : B C E A - Exceptionnel. B - Moins marqué au réveil, s’accentue en fin de journée. C - Réaction de Mary-Walker: contractions répétées des muscles de la main après pose d’un garrot aux bras entramant un ptosis par exemple. D - Incompatible avec C. E - Assez fréquents. [4] : A B D A - Le déficit moteur prédomine aux membres inférieurs. B - Par atteinte des paires crâniennes. D - Par atteinte périphérique il n’y a pas d’amyotrophie car c’est un phénomène aigu. E - Faux, au début, peut exister au cours de l’évolution. [5] : A B E A - Définition d’un tremblement. B - C’est un tremblement d’attitude. C D - Pas de signes neurologiques. E - Lorsqu’il est observé chez un sujet jeune, il peut avoir un caractère familial. [6] : B L’hémiplégie capsulaire est totale et proportionnelle. A - Dépend de la localisation. C - Syndrome de Brown Sequart. D E - Donne un syndrome alterne. [7] : B La paralysie de la verticalité du regard situe la lésion au niveau de la région des tubercules quadrijumeaux postérieurs. Les autres signes sont compatibles avec une atteinte pédonculaire. [8] : E Romberg : atteinte cordonale postérieure. Pseudo-Romberg : atteinte vestibulaire. [9] : B La narcolepsie est un accès pathologique paroxystique de sommeil. A D E - Font partie de la description de la confusion mentale. C - Lorsque la variabilité des autres signes permet au patient de percevoir son état. [10] : A c D Sans commentaire. [11] : A B C Il peut exister une faiblesse sphinctérienne dans la myasthénie mais classiquement il ny a pas de trouble sphinctériens dans cette maladie. [12] : B Ne sont pas des examens urgents mais font partie du bilan de recherche du foyer primitif. [13] : C 1 - Cest au contraire une difficulté d’occlure les paupières (4). 2 - Le VII est moteur pour le reflexe cornéen. 3 - Sensibilité cornéenne : 5ème paire. [14] : C Les hémorragies hémisphériques représentent 80 % de H C dues à rHTA: le plus fréquemment dans la région des noyaux.gris capsulolenticulaires le plus souvent (45 % des HC sont dues à rHTA), thalamiques plus rarement. [15] : C Se repporter aux voies visuelles. A - Atteinte préchiasmatique. B - Atteinte chiasmatique. C - Atteinte cortex occipital droit. [16] : A Une anomalie à l’examen clinique est un argument contre le caractère essentiel dune névralgie. Toutes les autres propositions font partie du tableau de névralgie essentielle. [17] : C Description de la crise glaucomateuse. [18] : D A - Il existe un certain degré de détérioration intellectuelle (grace au progrès thérapeutique qui a prolongé la durée dévolution de la maladie). La marche peut être conservée au début (le tremblement est le motif de consultation le plus fréquent) mais est vite altérée par lakinésie. [19] : C A B - Evoque un accident hémorragique. E - HTA facteur de risque, de rathénosclérose. HTA principale cause d’accident hémorragique. [20] : C A - Myopathie. B - Piège grossier. C - Neurogène périphérique (SPE). E - Frontaux. [21] : A Sténose serrée occlusive. [22] : B E B - Hypertonie spastique. E - Hypertonie plastique. [23] : A B D E C - Voies de la sensibilité superficielle et thermique. [24] : D Tableau de rupture d’un anévrysme de la carotide interne au niveau du sinus caverneux, où elle est proche du III. A B C E - Pas de manifestations aussi brutales. [25] : E Syndrome de Wallenberg. [26] : C Décrit bien la topographie de la racine C6. [27] : C D A B E - Caractéristiques d’anévrysme artériel. [28] : A C D E B - Réaction à polynucléaires neutrophiles. [29] : B D E A - Image hyperdense. E - Clinique et topographie différente (coma, syndrome cérébelleux, atteinte nerfs craniens (syndromes moteurs et sensitifs). [30] : A B C D Sans commentaires. [31] : B A - Anémie. C E - Pas de diplégie faciale. D - Ne donne pas de PF. [32] : A C D E Agit sur les récepteurs muscariniques: non contre-indiqué dans la myasténie. [33] : E Toutes ces pathologies peuvent s’accompagner de paralysie faciale périphérique. E - Diagnostic d’exclusion et évolutif. [34] : D Sans commentaire. [35] : B Syncope de type vagal : circonstances déclenchantes, signes prémonitoires, pâleur, durée. [36] : C La tumeur thymique est présente 1 fois sur 6. [37] : E Antiépileptique utilisé dans tous les types d’épilepsie sauf dans le petit mal. Antiarythmique : Tachycardies paroxystiques, maladie de Bouveret, intoxication digitalique. Utilisé dans les névralgies faciales. [38] : A C D L’inhibiteur de la décarboxylase périphérique permet à une plus grande quantité de L Dopa de passer la barrière hémato-encéphalique. En réduisant la transformation périphérique de L-Dopa en Dopamine, il entraîne une diminution des effets périphériques dus à celle-ci. [39] : A D E A - Protéinorrachie légèrement augmentée à une dizaine de lymphocytes. Augmentation des gammaglobulines avec profil oligoclonal. D - P E V pathologiques. E - Signes ou séquelles de NORB. [40] : A B V 3 : seule branche sensitivo-motrice du V innervant les muscles masticateurs, en particulier élevations et adductions du maxillaire inférieure. [41] : D Les atteintes de pédoncule cérébelleux supérieur entraînent un important tremblement intentionnel. [42] : D 1 Latrophie de réminence thénar signe la sévérité du syndrome du canal carpien et se voit dans dautres atteintes par exemple dans le syndrome du défilé des scalènes. 3 - Se voit dans les atteintes du nerf cubital. [43] : C La demi-vie du phénobarbital est longue (57 j), une à deux prises quotidiennes suffisent, le plateau d’équilibre est atteint en 16 et 21 jours. [44] : E Classiquement au cours des méningites à pneumocoque on trouve une porte d’entrée ou un sujet à risque. [45] : A B C Sans commentaire. [46] : C Sans commentaire. [47] : A Lexament clinique et classiquement normal dans une névralgie faciale essentielle. Les autres propositions sont classiques. [48] : C Les mononeuropathies sont une complication fréquente du diabète sucré en particulier celle- ci. [49] : D C’est une crise adversive : la décharge naît de laire motrice supplémentaire contro-latéral. [50] : B Mode d’installation et caractère symétrique des symptômes. [51] : A Sans commentaire. [52] : B C A - Se voit dans tout vertige important. D E - Doivent faire rechercher une autre cause. [53] : C E Sans commentaire. [54] : B D D - Complication tardive, disparaissant avec la dimunition de posologie. [55] : D Sans commentaire. [56] : B 1 - Est caractéristique. 2 - S’observe dans toute PC prolongée. 3 - La récupération d’une syncope est rapide. 4 - Typique dans les stocks Adams. [57] : B La griffe cubitale est due à une atteinte des interosseux responsables de la flexion de Pi et extension de P2 et P3. [58] : D Se reporter aux voies de la sensibilité thermoalgique. [59] : C Sans commentaire. [60] : B D A - Antidépresseur tricyclique. B - Anticholinergique à action centrale, diminue le tremblement et la rigidité. C - Antiparkinsonien action sur akinésie et hypertonie. D - Neuroleptique. [61] : A B D A - Opposant et adducteur du 5ème doigt: cubital. B - Interosseux : cubital. C - Médian. D - Interosseux dorsaux et palmaires : médian. E - Médian. [62] : B D E A - Se voit dans les tumeurs volumineuses et très évoluées. B - Par atteinte du V. C - L’atteinte du VIII donne des surdités rétro et non endocochléaires. D - Par atteinte du VII. E - Syndrome vestibulaire harmonieux habituellement. [63] : A B D E A B E - Classiques car neuroleptiques. D - Traitement de fond des vertiges pouvant entraîner une hyperkinésie précoce. [64] : C D E A - La protéinorachie est en règle inférieure à 1 g/l. B - L’atteinte est habituellement asymétrique. C - La névralgie du V est rare mais caractéristique. D - L’euphorie est en général observée tardivement. E - Le plus souvent atteinte du VI, parfois du III de façon dissociée, très rarement le IV. [65] : A B C D A - La maladie est d’autant plus rare que ron se rapproche de l’équateur. C - Discrète lymphocytose 2 fois sur 3, discrète protéinorachie 1 fois sur 3. D - Survient habituellement entre 20 et 40 ans. E - Les troubles de loculo motricité sont fréquents. [66] : A C Le syndrome de Brown-Sequard comporte: - du côté de la lésion un syndrome pyramidal, une abolition de la sensibilité profonde - du côté opposé abolition de la sensibilité tactile protopathique et de la sensibilité thermoalgique. [67] : uploads/Sante/ neuro-r-18p.pdf
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- Publié le Mai 27, 2022
- Catégorie Health / Santé
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