130 Avril/ Mai/ juin 2012 > Revue trimestrielle de l’INRS RÉFÉRENCES EN SANTÉ A
130 Avril/ Mai/ juin 2012 > Revue trimestrielle de l’INRS RÉFÉRENCES EN SANTÉ AU TRAVAIL Revue de la littérature Vers une valeur limite d’exposition professionnelle CYBERCINÉTOSE EN MILIEU PROFESSIONNEL 161 Janvier / Février / Mars 2020 > Revue trimestrielle de l’INRS EFFETS SUR LA SANTÉ DES HORAIRES LONGS DE TRAVAIL NOIR DE CARBONE NANOSTRUCTURÉ RÉFÉRENCES EN SANTÉ AU TRAVAIL La maladie de la réalité virtuelle Abonnez-vous en ligne RÉFÉRENCES EN SANTÉ AU TRAVAIL + D’INFOS www.rst-sante-travail.fr Dépot légal 1er trimestre 2020. N° 19120217 - ISSN 2261 - 544X La revue trimestrielle Références en Santé au Travail est diffusée aux acteurs des services de santé au travail. L'abonnement gratuit est établi pour une durée de deux ans. Un avis de réabonnement est envoyé à échéance. ONT PARTICIPÉ À CE NUMÉRO DOMINIQUE ABITEBOUL, LAURELINE COATES-VERLEY, PHILIPPE HACHE ET L’ATELIER CAUSSE COMITÉ SCIENTIFIQUE AGNÈS AUBLET-CUVELIER, Département Homme au travail, INRS CATHERINE AUBRY, Direction des Études et recherches, INRS CHRISTINE DAVID, Département Expertise et conseil technique, INRS MARIA GONZALEZ, Service de pathologie professionnelle, hôpital civil de Strasbourg GUY HÉDELIN, Département Épidémiologie en entreprise, INRS PATRICK LAINE, Département Expertise et conseil technique, INRS FAHIMA LEKHCHINE, Département Information et communication, INRS SERGE MÉSONIER, Association française des intervenants en prévention des risques professionnels de services interentreprises de santé au travail, Cergy-Pontoise GÉRARD MOUTCHE, Département Formation, INRS SYLVIE ODE, Groupement des infirmier(e)s du travail, Paris CHRISTOPHE PARIS, Centre de consultation de pathologie professionnelle et de médecine environnementale, Centre hospitalier de Rennes ALAIN ROBERT, Département Toxicologie et biométrologie, INRS COMITÉ DE RÉDACTION Rédacteur en chef : BERNARD SIANO Rédactrice en chef adjointe : ANNE DELÉPINE Rédactrice : EMMANUELLE PERIS Secrétaire générale de la rédaction : ANNE SCHALLER Chargée d’études bibliographiques et de veille : ANNIE BIJAOUI Correctrice : CYNDIE JACQUIN-BRISBART Chargée de rubrique Allergologie professionnelle : NADIA NIKOLOVA-PAVAGEAU Relecteurs et conseillers médicaux : CATHERINE AUBRY, MARIE-CÉCILE BAYEUX-DUNGLAS, STÉPHANE MALARD Assistante de gestion : DÉBORAH PAYAN DIRECTEUR DE LA PUBLICATION STÉPHANE PIMBERT 2 sommaire RÉF. PAGE ACTUALITÉS CONNAISSANCES ET RÉFÉRENCES N° 161 — RÉFÉRENCES EN SANTÉ AU TRAVAIL — MARS 2020 TC 168 P. 19 TC 169 P. 39 TF 276 P. 49 TF 277 P. 59 TF 278 P. 67 TF 279 (16 p.) TD 270 P. 75 TD 271 P. 83 TP 38 P. 89 TP 39 P. 97 TP 40 P. 107 GRAND ANGLE Noir de carbone nanostructuré : vers une valeur limite d'exposition professionnelle Effets sur la santé des horaires longs de travail : revue de la littérature VU DU TERRAIN Évaluation de l'impact psychologique du télétravail Bisphénol S dans le papier thermique : quelle exposition cutanée pour les agents de caisse ? Appareils de protection respiratoire utilisés dans les établissements de santé français dans le cadre des précautions « air » en 2018 SUMER : quels sont les salariés concernés par le télétravail ? (uniquement sur le site de la revue) SUIVI POUR VOUS Consommations (avec ou sans produits) et milieux professionnels : quelle prévention en 2019 ? Colloque de la SFMT. Paris, 20 septembre 2019 Infirmier de santé au travail : un expert pour la santé des salariés. 13es Journées d'études et de formation du Groupement des infirmiers de santé au travail (GIT). Toulouse, 9-11 octobre 2019 MISE AU POINT Bruits impulsionnels, un danger mal connu ? L'infection à cytomégalovirus : où en est-on ? Cybercinétose en milieu professionnel AC 143 P. 5 AC 144 P. 8 AC 145 P. 9 AC 146 P. 10 P. 13 P. 14 RÉF. PAGE INFOS À RETENIR Contaminations professionnelles par le VIH, le VHC et le VHB chez le personnel soignant : le point au 31 décembre 2018 Avis de l'ANSES relatif aux « Risques sanitaires pour les travailleurs liés aux activités de gestion des déchets » Prévention des conduites addictives : un outil de sensibilisation ludique Particules fines : pour un nouveau souffle dans le BTP PARTICIPEZ À LA RECHERCHE Exposition professionnelle aux diisocyanates : étude de biosurveillance dans le cadre du projet européen HBM4EU NOUVEAUTÉS DE L’INRS Brochures, affiches, dépliants, documents en ligne… sommaire RÉF. PAGE PAGE 3 À VOTRE SERVICE OUTILS REPÈRES MARS 2020 — RÉFÉRENCES EN SANTÉ AU TRAVAIL — N° 161 AGENDA FORMATIONS À LIRE, À VOIR RECOMMANDATIONS AUX AUTEURS P. 129 P. 131 P. 135 P. 137 VOS QUESTIONS/NOS RÉPONSES Exposition aux rayonnements ionisants : quelles informations dosimétriques peuvent être transmises ? Vibrations transmises par les machines portatives : faut-il privilégier les machines thermiques ou électriques? Travailleurs prestataires ou sous- traitance : quelles sont les obligations des différents employeurs, notamment en matière de risques psychosociaux ? RISQUES PSYCHOSOCIAUX Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) QR 145 P. 117 QR 146 P. 119 QR 147 P. 120 FRPS 13 P. 123 ABONNEZ-VOUS GRATUITEMENT À LA REVUE EN UN CLIC ET POUR 2 ANS : www.rst-sante-travail.fr www.rst-sante-travail.fr EN LIGNE : Enquête SUMER 2016-2017 : quels sont les salariés concernés par le télétravail ? TF 279, 16 p. Chaque mois, la rubrique « Juridique » est à retrouver sur : www.inrs.fr/header/actua- lites-juridiques.html 1 ACTUALITÉS INFOS À RETENIR PARTICIPEZ À LA RECHERCHE NOUVEAUTÉS DE L’INRS P. 5 P. 13 P. 14 N° 161 — RÉFÉRENCES EN SANTÉ AU TRAVAIL — MARS 2020 5 INFOS À RETENIR AC 143 Contaminations professionnelles par le VIH, le VHC et le VHB chez le personnel soignant : le point au 31 décembre 2018 MARS 2020 — RÉFÉRENCES EN SANTÉ AU TRAVAIL — N° 161 La transmission possible aux professionnels de santé de virus tels que le virus de l’immunodé- ficience humaine (VIH) mais aussi de l’hépatite C (VHC) et de l’hépatite B (VHB) lors d’accidents expo- sant au sang (AES) a incité à analyser les facteurs de risque de ces accidents et à développer des stratégies de prévention pour améliorer la sécurité des soi- gnants. L’application des précautions standard ainsi que l’utilisation de matériels de sécurité ont notam- ment permis de diminuer la fréquence des AES [1, 2]. Le caractère évitable de ces accidents n’est cependant pas absolu, d’où l’importance d’une surveillance des AES, mise en place au sein de chaque établissement de soins par le médecin du travail, afin de suivre leurs circonstances de survenue, qui peuvent varier en fonction de modifications dans l’organisation du travail, la formation des personnels, le choix de maté- riels... Parallèlement à la surveillance des AES, un recense- ment des contaminations virales survenues chez des soignants dans les suites d’un AES est essentiel afin de caractériser les accidents à haut risque de transmis- sion. Une surveillance des contaminations professionnelles VIH, VHC et VHB survenues après un AES a ainsi été mise en place par l’InVS (Institut de veille sanitaire) (devenu Santé Publique France), en lien avec le GERES (Groupe d’étude sur le risque d’exposition des soignants aux agents infectieux) en 1991 pour le VIH, en 1997 pour le VHC et en 2005 pour le VHB. Depuis le 1er mai 2017, elle a été transférée, par Santé Publique France, au GERES qui en assure la mise en œuvre. L’analyse des données est assurée en collaboration avec Santé Publique France dans le strict respect de la confidentialité. Les objectifs de la surveillance sont de participer à l’identification et à la prévention des expositions pro- fessionnelles à haut risque et d’aider à l’amélioration de la prise en charge après exposition (suivi biolo- gique, prophylaxie post-exposition). Elle est complé- mentaire de celle des AES. Définitions Séroconversion professionnelle Dans le cadre de cette surveillance épidémiologique, une séroconversion professionnelle chez un person- nel de santé est définie par l’ensemble des critères suivants : O une exposition professionnelle accidentelle per- cutanée ou cutanéo-muqueuse à du sang ou à un liquide biologique potentiellement contaminant ; O un statut viral négatif au moment de l'exposition (anticorps (Ac) anti-VIH, Ac anti-VHC ou antigène HBs et Ac anti-HBc négatifs) ; O une séroconversion VIH, VHC ou VHB dans les 6 mois* après l’exposition (apparition des Ac anti-VIH ou des Ac anti-VHC ou des AgHBs et Ac anti-HBc né- gatifs, ou détection de l’ARN du VIH ou du VHC par PCR suivie d’une positivation des anticorps). En l’absence d’une sérologie de base négative réali- sée au moment de l’exposition, un profil d’infection récente dans les suites d’une exposition accidentelle permettra aussi de définir une séroconversion profes- sionnelle, tout comme une comparaison des souches virales montrant la similitude du virus du patient source et de la victime. Infection présumée Concernant le VIH, sont aussi recueillies les infections présumées, qui sont définies par la découverte d’une séropositivité VIH chez un personnel de santé ayant exercé au contact de patients infectés par le VIH, ce soignant n’ayant pas d’autre mode de contamination pour le VIH retrouvé. Cette définition n’est pas utilisée pour les hépatites, car il est plus difficile d’éliminer les facteurs de risque non professionnels. * Ce délai de 6 mois est à visée de surveillance. En revanche, le délai actuellement retenu comme critère médico- légal de reconnaissance d’une séroconversion professionnelle est de 6 semaines (arrêté du 27 mai 2019.) 6 N° 161 — RÉFÉRENCES EN SANTÉ AU TRAVAIL — MARS 2020 INFOS À uploads/Sante/ references-en-sante-au-travail.pdf
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- Publié le Jul 31, 2021
- Catégorie Health / Santé
- Langue French
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