1 HERNANDEZ RIOS, Paulina Stephani Master 1 Philosophie, parcours : Analyse et

1 HERNANDEZ RIOS, Paulina Stephani Master 1 Philosophie, parcours : Analyse et critique des arts et de la culture. Université ParisVIII. Nº d’étudiant : 19000027 Semestre 2 stephrrri@gmail.com 06-29-93-36-68 Répétition, retour et revenance Semestre 2 Professeur: MARCOS Jean-Pierre 2 Introduction Topologie de Violence publiée en 2011, écrit par Byun Chul-Han , philosophe d’origine Sud- Coréen et de formation allemand. Répond a la question de comment la violence change époque vers époque , selon notre auteur, la formule d’une violence inexistant dans l’époque actuel est faux, et par contre nous faisons face à une type de violence très spécifique et subtil, qui la fait très difficile à combattre. Mon intérêt principal de lire et étudier cette libre a été principalement avoir au moins une idée de la question « Pourquoi la violence se répète dans toutes les époques de la histoire ? » Mais il faudra montée un autre théorie pour répondre à cette questionnement. Byun-Chul Han utilise le terme topologie dans le sens mathématique : [...]appelée initialement analysis situs (analyse de situation), devenue ensuite tout à fait autonome, et où, selon Riemann, on étudie les propriétés invariantes sous l'effet de transformations biunivoques continues.1. Comment un elastique qui se tire et returne à sa forma orinal, selon Byung Chul han, la violance change seulement de phorme mais continue à être violance. Après du faire une archéologie de la violence de ce que lui appelle “l’époque archaïque”, Chul Han rentre à la modernité avec un critique asse fort de le pyschoanalysis. Selon sa théorie dans notre époque contemporaine “le moi et le sur moi” sont pas adaptables à la violence désormais. «L’appareil psychique de Freud est un appareil de domination et de contrainte qui opère par commandements et interdits, qui assujettit et réprime. Tout comme la société disciplinaire, il est traversé de murs, de rayonnages, de seuils, de cellules, de frontières et de postes-frontières. La psychanalyse freudienne n’est ainsi possible que dans les sociétés répressives comme les sociétés de la souveraineté ou disciplinaires qui basent leur fonctionnement sur la négativité des commandements interdis.. Or, la société actuelle est une société de la performance qui remise toujours plus la négativité des commandements et des interdits pour donner à voir comme une société de la liberté » (Buyun-Chul HAN, Topologie de la violence pp 33) 1 Definition dictionaire Larousse https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/topologie/78459 3 On tout cas si on peut pas savoir pourquoi la violence se répète dans toutes les générations on peut étudier comment cette violence change, et comme dans le sujet de la modernité tardive il y a une forme spécifique de violence qui se répète. Une violence positivisée selon notre auteur. Eu égard de cela, on pourrait se poser les questions suivant : Quelle est le type de répétition qui le provoque cette violence positive? Quelles sont les sujets a rénover dans le psychanalysais ? Ainsi, mérite la peine de se demander quelle est le type de société que Byun-Chul -Han décrit ? Et si cette modèle de société de la « modernité tardive » (comment il appelle à la société contemporaine) marche aussi dans les sociétés qui sont en voie de développement ou la violence est plus brutal ? A cette dernier question en tant que je répondrai : non, postérieurement je vais expliquer pourquoi je pensé que les conclusions que Chul Han présent sont pas valides pour toutes les sociétés, et à mon avis il marche que seulement sur certains parties des sociétés occidentaux. Mais d’abord je vais présenter le type de violence dans laquelle selon Byung-Chul Han toute monde est immergé, pour pouvoir ensuite répondre à la question : Pourquoi cette approche du problème de la violence c’est insuffisant ? I.- La modernité tardive et le sujet de la société de la performance La façon de traiter et connaître la violence chez Byun-Chul Han, se déploie en partant de le postulat : La violence est toujours présent dans la société de la « modernité tardive » sous la forme d’une « auto-exploitation ». Chul Han déconstruit l’hypothèse de que la violence dans « la modernité tardive » est efface, et n’existe pas. Lui parle, d’une violence qui habite quasiment dans notre esprit, ou sur l’esprit de notre époque, qui est un sorte de « faux liberté ». Il décrit comment le capitalisme a triomphé pour nous faire croire que nous sommes libres, mais qu’on vrais nous sommes libres que de se « auto-exploité », et finalement le grand préoccupation et aussi postulation de cet philosophe est : La auto-exploitation comment déclencheur de la dépression et le syndrome de le burn-out. Maladies mentales qui selon lui sont les plus récurrents de notre époque. Comment on l’avait déjà dit au debout de cette texte, cette violence est presque imperceptible, car est bien intériorisé dans le monde de la psyché. Cependant, la théorie de Chul Han se diffère de le « ça, le moi et le sur moi » freudienne. Mais on quoi se différence 4 cette sujet de la société de la performance en comparaison de le sujet de la société « disciplinaire » de laquelle Freud faisait parti ? Selon Byun-Chul Han dans la société actuelle il y a pas lieu pour la « négativité » et toutes les sentiments qui sont reliées avec cela : Le verbe modal qui définit la société de la performance n’est pas le « devoir » freudien mais le pouvoir. Cette transformation de la société s’accompagne d’une restructuration intrapsychique. Le sujet performant de la modernité tardive possède une tout autre psyché que le sujet obéissant à qui s’applique la psychanalyse freudienne. L’appareil psychique de Freud est dominé par la dénégation et le refoulement, par la peur de la transgression. Le moi est un « lieu de l’angoisse ». Il a peur du grand Autre. Le sujet performant de la modernité tardive est pauvre en dénégation et du refoulement, le sujet performant de la modernité tardive n’aurait plus d’inconsciente. Ce serait un moi post-freudien. L’inconsciente freudien n’est pas une formation intemporelle. C’est un produit de la société disciplinaire dominée par la négativité de l’interdit et du refoulement que nous avons laissée derrière nous depuis fort longtemps. Ibid pp 34 Avant de se demander Est-ce-que on pourrait reformuler le ça, le moi et le sur moi accorde à notre époque ? et même si la critique à la psychanalysé et l’inconsciente résulte très provocatrice, il faudra comprendre selon le regard de Byun-Chul Han, Qu’est-ce-que c’est la violence positivisée qui se répète dans notre société ? Le sujet de la modernité tardive selon Byun-Chul-Han est dépourvu de toute force négative, par se besoin narcissique d’approbation, et de exhibition. Grace à cet besoin d’approbation insatiable, c’est comme notre sujet devient un sujet performant- Qui envie de s’auto-exploiter car, il est immergé dans le jeu du « l’offre et le demande » et qui a réalisé que pour être reconnaître et devenir « quelqu’un » il faudra travailler le double que les autres sujets de la performance, qui en nombre de la « santé » gardera toutes ses formes esthétiques les plus similaires a les standards de beauté actuels, et qui lui-même se soumettra a la propre exhibition panoptique à travers de les réseaux sociaux, où à travers de les « j’aime » finalement lui trouvera le gratification et reconnaissance qu’il besoin. Eu égard à la condition de que l’assujetti de cette «modernité tardive » est aussi déjà dépourvu par se propre temporalité de concepts structurantes comme : Dieu, religion, et 5 s’ouvre à des nouveaux reformulations de famille ou patrie. Nous sommes déjà posses sur un terrain assez instable qui a provoqué de nombreuses changements a niveaux sociaux, où certains pourront être favorables, mais il y a un côté qui agit en tant que déstabilisant identitaire. Dans les mots de Byung-Chul Han « C’est un homme sans caractère » et dans notre sujet freudienne de la société punitive , c’est un autre chose, c’est un sujet qui est soumis a le négativité du refoulement: « Quand le Moi prend connaissance des investissements d’objets qui ont lieu dans le ça, soit il les laisse faire, soit il s’défend en les refoulant. Le caractère contient l’histoire du refoulement. Se forme une certaine relation du moi au ça et au sur-moi. Là où l’hystérique présente une morphe caractéristique, le dépressif est informe, oui, a-morphe. Si l’âme de l’hystérique est assujettie à des contraintes étrangères elle n’en démure pas moins mise en ordre et formée. L’appareil psychique dépressif a beau être libéré de la négativé du refoulement et de la dénégation, il est quant à lui opaque, désordonné et informe. » Ibid. pp 39 Eh bien, la critique ChulHanien, interprète l’appareil psychique de Freud comment un appareil qui seulement es possible avec la négativité du refoulement. En conséquence l’appareil Freudien à des défiés pour traiter le sujet dépressif de la société du performance, surtout parce-que le système où le sujet de la société de la performance habite est un système où il y pas de place pour le sur-moi , et on tout cas uploads/Societe et culture/ topologie-de-violence-dissertation-rios-stephani.pdf

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