Mag' #17 @AllSportsFrance Le Bayern au sommet de l’Europe Premier sacre pour Ni

Mag' #17 @AllSportsFrance Le Bayern au sommet de l’Europe Premier sacre pour Nibali @AllSportsFrance Pour suivre l’actu du sport en temps réèl : SOMMAIRE P3.......... Clap de fin... P4.......... Rosberg, 30 ans après P8.......... Graham Hill, pilote unique P9.......... Bayern Munich, uber alles P11........ La déception lyonnaise P12........ Coupe Gambardella P13........ Bouquet final de la saison P15........ Semaine sport business P19........ Les petits dans la cour des Grands P15........ Semaine Sport Business P21........ Fiasco Giro ... P23........ David contre Goliath ? P25........ Les 500 miles d’Indianapolis P26........ Diamond League : Direction New York P27........ Le magic WE de la Super League Notre partenaire basket L’émotion : Le départ à la retraite de Ludvic Giuly à Lorient. Sorti sous les ovations des spectateurs mais aussi des joueurs, Ludo Giuly raccroche les crampons. Après une carrière bien remplie et un palmarès plus que garni (Ligue des Champions, Championnat d’Espagne, de France, ...) il a décidé de mettre un terme à sa carrière à Lorient face à un de ces anciens clubs, le PSG. Sylvain Armand lui remettant un maillot parisien floqué à son nom. Il n’aura pas eu une carrière internationale brillante qu’il aurait pourtant mérité, seul regret de la carrière de ce «grand» joueur. A noter également quelques larmes, de Aurélien Chedjou et Lisandro Lpez qui quitte- ront leurs clubs cet été. L’arbitrage : La palme d’or revient à Monsieur Bastien. Encore une fois il démontre que l’arbitrage en L1 est dénué de tout sens du jeu. Aucune pédagogie et contre l’esprit du jeu, ce qui résume totale- ment cette saison médiocre niveau arbitrage. Alors que Ronan Le Crom venait de faire son apparition sur la pelouse (Il sera champion de France) une maladresse sur une sortie provoqua le pénalty suivi d’un carton rouge. Alors que Lorient était mené 3-0, 10 minutes de jeu restant, il aurait été plus judiciable de le laisser sur le terrain. Un manque de discernement flagrant. Ce n’est pas le premier de la saison... Heureusement terminé pour les hommes en jaune. Le but : Clément Grenier a un pied magique. Digne successeur de Juninho (dont il a analysé à la vidéo la frappe sur coup franc) le jeune lyonnais envoyait un deuxième missile de 30 mètres en deux semaines. Lucarne gauche la semaine dernière à Nice, lucarne droite face à Rennes. Sa fin de saison permet à l’OL d’accrocher la troisième place qualificative pour la ligue des champions. Quand on sait que Bernar Lacombe voulait s’en séparer début septembre... Le podium et l’Europe : Le PSG champion de France depuis 2 semaines et l’OM sont qualifiés directement pour la champions league. Quelle saison pour l’OM dont on aurait pas parié grand chose pour cette place en début de saison. Le PSG était le favori, il a confirmé. Quant à Lyon, un temps en course pour le titre, les derniers mois ont été plus difficile mais une troisième place inespérée vietn renflouer les caisses. De nombreux départs sont à attendre malgré tout... Côté europa ligue, Saint Etienne vainqueur de la coupe de la ligue et Nice 4ième en championnat devront passer par les tours préliminaires. La grosse déception vient de Lille, 6ième. Il reste une place donnée par le vainqueur de la coupe de France entre Bordeaux et Evian. La relégation : Brest, Nancy et Troyes sont les 3 plus mauvais élèves de la saison. Brest a vécu une saison galère empruntée par de nombreux choix discutables (départs de joueurs et de l’entraineur Landry Chauvin) termine bon dernier avec 29 points.L’arrivée de Corentin Martins aux manettes n’aura rien changé, si ce n’est faire pire... Nancy aura tout tenté, la folle remontée après un début de saison galère ne suffira pas. La grosse déception vient de Troyes, une équipe joueuse mais sans réelle assise défensive. Jean Marc Furlan n’aura pas réussi son pari. Football Football Clap de fin... F1 Rosberg, 30 ans après Dans la famille Rosberg, je demande le fils. En 1983, le Finlandais Keke Rosberg rem- porte le Grand Prix de Monaco ; trente ans plus tard, son fils Nico inscrit à son tour son nom au palmarès de la mythique course azuréenne. Il représente l’Alle- magne, mais il vient de gagner chez lui, où il a grandi, et empoche au bout d’une course agitée la deuxième victoire de sa carrière. Les qualifs La qualification aujourd’hui n’est plus aussi importante que par le passé ; exception faite de Monaco, où les dépassements sont rares. Mais samedi, la pluie est venue perturber le début de la séance, offrant quelques surprises et notamment le passage du rookie Giedo van der Garde, sur sa Caterham, en Q2. Autre première, la participation à la Q3 de Jean-Eric Vergne qui se classera au final 10ème. Devant, les Mercedes sont au-dessus du lot et verrouillent une nouvelle fois la première ligne ; Nico Rosberg s’empare de la pole une troisième fois de rang. Les deux Red Bull sont reléguées en deuxième ligne. A noter que ni Jules Bianchi, ni Felipe Massa n’ont pu inscrire de temps : le Français a été victime de sa mécanique et la voiture du Brési- lien n’a pu être réparée à temps après son accident le matin même. Une Course classique... …pour Monaco, en tout cas. La Principauté nous a habitués : une course ennuyeuse avec des pilotes en file indienne peut se transformer en un rien de temps en chaos. S’il n’y a pas eu « chaos » dimanche, les incidents ont tout de même émaillé le Grand Prix. La première voiture de sécurité de la saison est causée par la Ferrari de Felipe Massa dans un étrange copié/collé de son accident de la veille ; la course est alors ralentie pendant une vingtaine de minutes, le temps d’évacuer le Brésilien, secoué (mais finalement intact), vers l’hôpital. Cette intervention de la voiture de sécurité aura permis aux deux Red Bull de prendre l’avantage sur Lewis Hamilton, grâce à un meilleur timing de leur arrêt aux stands. Peu de temps après la reprise de la course, celle-ci est à nouveau interrompue par un drapeau rouge ; une manœuvre de Chilton sur Maldonado envoie ce dernier dans le rail (ou plutôt le TecPro) au Bureau de Tabac, faisant de Jules Bianchi une victime collatérale. Tout le monde en profite pour changer ses pneus : pour terminer dans les points, plus aucun arrêt ne sera toléré. Le dernier gros incident de la course est à imputer à Romain Grosjean qui, appréciant mal son freinage à la sortie du Tunnel, harponne rudement Daniel Ricciardo, les faisant tous deux abandonner. Entre ces moments marquants, deux pilotes ont su animer une course par ailleurs ronron- nante : Adrian Sutil et Sergio Pérez. Cette témérité a profité au premier, qui finit 5ème, moins au deuxième, obligé d’abandonner. Ayant encore du mal à canaliser son agressivi- té, il a commis de nombreuses erreurs ; jusqu’à sa dernière tentative de dépassement sur Kimi Räikkönen, qui a contraint le Mexicain à aban- donner un peu plus tard et le Finlandais à repasser par les stands à cinq tours de la fin, victime d’une crevaison. Räikkönen toujours en course Et c’est ici que « Iceman » a déjoué les pronos- tics : relégué en dernière position (soit 16ème à cet instant), il paraissait pratiquement impos- sible de remonter dans les points. Mais les derniers tours du Finlandais ont été exem- plaires : il est parvenu à dépasser un par un les pilotes qui le précédaient sans être dangereux une seule seconde, offrant une leçon de pilo- tage. Doublant sur le fil Nico Hülkenberg pour le compte de la 10ème place, il poursuit sa série d’arrivées dans les points, menaçant maintenant sérieusement le record de Michael Schumacher en la matière. Français : une Bérézina monégasque Pour les pilotes français, privés de Grand Prix à domicile, Monaco fait office de remplace- ment. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que cela ne leur a pas porté chance : sur les quatre, trois ont abandonné. Seul Jean-Eric Vergne a su brillamment sauver les meubles en ramenant quatre points. Charles Pic fut à l’origine du premier abandon de cette course qui en a compté sept. Huit tours seulement après le départ, son moteur s’est mis à fumer avant de prendre feu ; le Français a heureusement réussi à laisser sa voiture à l’entrée des stands, évitant une voiture de sécurité. Jules Bianchi, quant à lui, a vécu un Grand Prix difficile : après sa débâcle en qualifica- tions, il est victime de sa machine au départ du tour de formation et doit s’élancer des stands. Pris par la suite dans l’accrochage de Pastor Maldonado avec son coéquipier, il rentre avec un aileron plié. Il finira par abandonner à Sainte-Dévote, victime une fois encore d’un problème mécanique. Malgré ce week-end noir, le Français continue d’impressionner en ne commettant aucune erreur. Enfin, Romain Grosjean, qui s’était fait oublier dans le ventre mou du peloton durant la majeure partie de la course a fini par mettre fin à sa propre course ainsi qu’à uploads/Sports/ allsportsfrance-mag-x27-17.pdf

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  • Publié le Jui 14, 2021
  • Catégorie Sports
  • Langue French
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