▶ ▶ ▶ ▶ ● Les subordonnées sont introduites par différentes conjonctions ▶PARCE
▶ ▶ ▶ ▶ ● Les subordonnées sont introduites par différentes conjonctions ▶PARCE QUE Elle apporte une explication qui souvent est la réponse à la question “pourquoi?” ▶Nous éviterons cette plage parce qu'elle est trop polluée. ▶PUISQUE Cette conjonction introduit une cause qui est connue, ou qui est supposée connue de celui à qui on parle. ▶Appelle le médecin puisque tu te sens malade. ▶Puisque vous avez beaucoup de bagages, prenez donc un taxi. ▶ ETANT DONNÉ QUE ▶ VU QUE / DU FAIT QUE ▶ Ces conjonctions introduisent un fait dont la réalité est indiscutable. ▶ Étant donné que beaucoup de monuments sont menacés par la pollution, on remplace souvent les statues par des copies. ▶ Du fait que les avions ont souvent du retard, je préfère voyager en TGV. ▶ Il n'arrive à rien vu qu'il est très timide. ▶ Vu que le prix du tabac a fortement augmenté, les gens fument moins. ▶ SOUS PRÉTEXTE QUE ▶Elle est synonyme de “parce que” mais s'y ajoute l'idée que l'interlocuteur en croit pas à l'explication donnée. ▶Elle a refusé de nous recevoir sous prétexte qu'elle avait d'autres RDV. ▶(je pense en réalité qu´elle n´avait pas d´autres rendez-vous) ▶Sous prétexte qu´elle avait beaucoup de travail, Lisa n´est pas venu à notre fête de famille. ▶COMME ▶Cette conjonction souligne la relation entre la cause et la conséquence. ▶Elle se place toujours en tête de phrase. ▶Comme il fait très froid aujourd'hui, elle n'a pas fait sa promenade. ▶Comme il faisait très beau, les gens étaient installés à la terrasse des cafés. ▶DU MOMENT QUE ▶ DÈS LORS QUE (langue soutenu) ▶ DÈS L'INTANT QUE ▶Ces conjonctions sont proches les unes des autres. Elles sont formées à partir des expressions de temps. La cause est supposée connue. ▶Du moment que Caroline est là pour garder les enfants, nous pouvons partir.(Puisque Caroline est là, nous pouvons partir) ▶Dès l'intant qu'on le prend dans les bras, le bébé est tout heureux et il cesse de pleurer. PARCE QUE C'est la conjonction la plus courante. Elle apporte une explication qui souvent est la réponse à la question “pourquoi?” Nous éviterons cette plage parce qu'elle est trop polluée. PUISQUE Cette conjonction introduit une cause qui est connue, ou qui est supposée connue de celui à qui on parle. Appelle le médecin puisque tu te sens malade. Puisque vous avez beacoup de bagages, prenez donc un taxi. ETANT DONNÉ QUE VU QUE / DU FAIT QUE Ces conjonctions introduisent un fait dont la réalité est indiscutable. La subordonnée précède généralement la principale. Étant donné que beaucoup de monuments sont menacés par la pollution, on remplace souvent les statues par des copies. Du fait que les avions ont souvent du retard, je préfère voyager en TGV. Il n'arrive à rien vu qu'il est très timide. Vu que le prix du tabac a fortement augmenté, les gens fument moins. SOUS PRÉTEXTE QUE Elle est synonyme de “parce que” mais s'y ajoute l'idée que l'interlocuteur en croit pas à l'explication donnée. Elle a refusé de nous recevoir sous prétexte qu'elle avait d'autres RDV. (je pense en réalité qu´elle n´avait pas d´autres rendez-vous) Sous prétexte qu´elle avait beaucoup de travail, Lisa n´est pas venu à notre fête de famille. COMME Cette conjonction souligne la relation entre la cause et la conséquence. Elle se place toujours en tête de phrase. Comme il fait très froid aujourd'hui, elle n'a pas fait sa promenade. Comme il faisait très beau, les gens étaient installés à la terrasse des cafés. DU MOMENT QUE DÈS LORS QUE (langue soutenu) DÈS L'INTANT QUE Ces conjonctions sont proches les unes des autres. Elles sont formées à partir des expressions de temps. La cause est supposée connue. Du moment que Caroline est là pour garder les enfants, nous pouvons partir.(Puisque Caroline est là, nous pouvons partir) Dès l'intant qu'on le prend dans les bras, le bébé est tout heureux et il cesse de pleurer. C'EST N'EST PAS QUE / NON (PAS) QUE Elles sont les conjonctions de la cause niée, contestée, rejetée. La phrase est construite sur trois propositions : la principale, la proposition de la cause niée -au subjonctif-, et la proposition de la vraie cause – à l'indicatif-. Cette troisième proposition est introduite par “mais”, “mais parce que” ou “mais c'est que” Il a déménagé non que/ ce n'est pas que son appartement lui déplaise, mais il trouve le quartier trop bruyant. SOIT QUE... SOIT QUE C'est la conjonction de la cause supposée. On en connaît pas la vraie raison, donc on envisage des raisons possibles qui peuvent être vraies ou non, ce qui explique le mode de cette subordonnée: le subjonctif. Elle signifie “ou bien parce que... ou bien parce que” Robert n´est pas venu au rendez-vous, soit qu´il ait oublié l’heure, soit qu´il ait dû rester au bureau plus longtemps. (=pace qu´il a oublié l´heure ou parce qu´il a dû rester) • Deux conditions sont nécessaires pour utiliser l'infinitif: l'infinitif doit avoir le même sujet que le verbe de la proposition principale et il doit être précédé d'une préposition qui exprime l'idée de la cause. POUR Elle est toujours suivie d'un infinitif passé et introduit l'idée d'une responsabilité du sujet. Le voyageur a dû payer une amende pour avoir fraudé dans le métro. DE Cette préposition apparaît généralement après un verbe de sentiment. Je suis triste de devoir quitter mes amis, mais je me réjouis de partir. À FORCE DE Cette locution comporte une idée d'intensité et de répétition. J'ai fini par apprendre par cœur ce poème à force de le lire et de le relire. FAUTE DE Cette locution est une négation. Elle signifie “parce que... ne pas” J'ai manqué deux appels importants faute d'avoir branché mon répondeur. SOUS PRÉTEXTE DE Cette locution prépositionnelle remplace “sous prétexte que” Le jeune homme se rendait souvent chez sa jeune et jolie voisine sous prétexte de l'aider dans ses aménagements. À CAUSE DE Cette préposition a souvent une connotation négative et subjective. Elle n'est jamais suivi de l'infinitif Des milliers d'arbres ont été déracinés à cause de la tempête. GRÂCE À Cette locution a une valeur favorable, positive, mais subjective aussi. Grâce à votre aide, j'ai pu vaincre toutes les difficultés EN RAISON DE Cette locution s'utilise plutôt dans une langue officielle, administrative. C'est la locution des annonces officiels. Le match a été annulé en raison du mauvais temps. À LA SUITE DE / PAR SUITE DE Ces locutions introduisent l'idée d'une succession immédiate. Elles appartiennent aussi bien à la langue administrative qu'à la langue quotidienne. Notre programme est interrompu à la suite (ou par suite) d'un incident technique. DE Cette préposition s'utilise généralement après un verbe qui traduit un état physique particulier. Elle est suivi d'un nom sans article. Elle tremble de peur. POUR Elle peut s'utiliser sans article, généralement dans des textes administratifs et juridiques. Il a été condamné pour vol, pour un vol de voiture. À FORCE DE Suivi d'un nom, cette locution garde la même valeur d'intensité et de répétition. À force de travail, il a réussi. FAUTE DE Cette locution est une négation. Faute de temps, il n'a pas pu visiter tous les musées. SOUS PRÉTEXTE DE Elle correspond à la conjonction “sous prétexte que”. Il nous a quittés précipitamment sous prétexte d'un RDV urgent. ÉTANT DONNÉ / VU Cette locution se place en général en tête de la phrase . Elle a le sens de “puisque”. Étant donné la situation, je démissionne À / PAR / DEVANT / SOUS Ces prépositions peuvent acquérir le sens de cause dans certains cas. À sa demande, Julien a été muté dans une petite ville. Devant l'opposition de ses parents, l'adolescent a dû renoncer à sa randonnée dans l'Himalaya. CAR Cette conjonction introduit une cause qui est vue comme information nouvelle, comme “parce que” mais elle en se place jamais en tête de phrase. Elle a pris son parapluie car il pleuvait EN EFFET Cet adverbe confirme l'information qui précède en introduisant souvent une explication détaillée ou une preuve qui renforce cette information. Il se place après un point virgule ou un point et il est suivi d'une virgule. La ville est responsable et victime de la pollution; en effet, ce sont les habitants des villes qui polluent TELLEMENT / TANT Ces deux adverbes marquent l'intensité ou la répétition, “tant” étant plus soutenu. Tout le monde la regardait, tant elle était belle. Personne ne le croyait plus, tellement il mentait. ▶ Parce que: cette conjonction se place de préférence à l'intérieur mais on peut la trouver en tête. Dans ce cas elle est séparée par une virgule de la proposition principale. Pour mettre en valeur l'idée de cause nous pouvons utiliser d'autres structures telles que: – Si... c'est parce que/ Si... c'est que / C'est parce que... que... ▶ Puisque: cette conjonction exprime la connaissance partagée. C'est aussi la conjonction de l'argumentation: elle prouve, démontre, argumente, on veut convaincre la personne à qui on parle. ▶ La phrase commence souvent par la proposition subordonnée avec sa uploads/Voyage/ expression-de-la-cause.pdf
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- Publié le Apv 01, 2021
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