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Ludwig von mises le fondement ultime de la science economique

Le Fondement ultime de la science économique par Ludwig von Mises traduit par Hervé de Quengo et Pierre-Édouard Visse CObservations préliminaires sur la praxéologie tenant lieu d'introduction Le substrat permanent de l'épistémologie Sur l'action Sur l'économie Le point de départ de la pensée praxéologique La réalité du monde extérieur Causalité et téléologie La catégorie de l'action Les sciences de l'action humaine Notes I L'esprit humain La structure logique de l'esprit humain Une hypothèse sur l'origine des catégories a priori L'a priori La représentation a priori de la réalité L'induction Le paradoxe de l'empirisme probabiliste Matérialisme L'absurdité de toute philosophie matérialiste Notes II La base activiste de la connaissance L'Homme et l'action La ?nalité Le jugement de valeur C La chimère d'une Science uni ?ée Les deux branches des sciences de l'action humaine La caractère logique de la praxéologie Le caractère logique de l'histoire La méthode thymologique Notes III Nécessité et volonté L'in ?ni Les données ultimes Les statistiques Le libre- arbitre L'inéluctabilité Notes IV Certitude et incertitude Le problème de la précision quantitative La connaissance certaine L'incertitude quant à l'avenir Quanti ?cation et intuition dans l'action et dans l'histoire La précarité de la prévision des a ?aires humaines La prédiction économique et la doctrine des tendances La prise de décision Con ?rmation et réfutation L'examen des théorèmes praxéologiques Notes CV A propos de certaines erreurs populaires concernant le domaine et la méthode de l'économie La fable de la recherche L'étude des intentions Théorie et pratique Les pièges de la réi ?cation A propos du rejet de l'individualisme méthodologique L'approche de la macroéconomique Réalité et jeu La mauvaise interprétation des courants de l'opinion La croyance en l'omnipotence de la pensée Le concept d'un système de gouvernement parfait Les sciences du comportement Notes VI Autres conséquences de la négligence de la pensée économique L'approche zoologique des problèmes humains L'approche des sciences sociales ? L'approche de l'économie Une remarque sur la terminologie légale La souveraineté des consommateurs Notes VII Les racines épistémologiques du monisme Le caractère non expérimental du monisme Le cadre historique du positivisme Le cas de sciences de la nature C Le cas des sciences de l'action humaine Les erreurs du positivisme Notes VIII Le positivisme et la crise de la civilisation occidentale Le contresens sur l'univers Le contresens sur la condition humaine Le culte de la science Le soutien épistémologique au totalitarisme Les conséquences Notes CObservations préliminaires sur la praxéologie tenant lieu d'introduction Le substrat permanent de l'épistémologie ? ? tout est dans un ux incessant dit Héraclite il n'y a aucun être permanent tout est changement et en devenir Il est du ressort de la spéculation métaphysique que de savoir si cette proposition peut être con ?rmée du point de vue d'une intelligence surhumaine et s'il est en outre possible pour un esprit humain de penser le changement sans impliquer le concept d'un substrat qui tandis qu'il change serait à certains égards constant dans la succession de ses di ?érents états Pour l'épistémologie ?? la théorie de la connaissance