Explication irm pdf - Interprétation du signal et du contraste en IRM E de Kerviler A Leroy-Willig Contrairement au scanner o? un tissu présente une densité donnée exprimée par un chi ?re unique en unités Houns ?eld le signal d ? un tissu en IRM dépend de

- Interprétation du signal et du contraste en IRM E de Kerviler A Leroy-Willig Contrairement au scanner o? un tissu présente une densité donnée exprimée par un chi ?re unique en unités Houns ?eld le signal d ? un tissu en IRM dépend de multiples paramètres instrumentaux et physico- chimiques ainsi que de la présence de mouvements macro ou microscopiques et en ?n de la séquence utilisée L ? interprétation du signal d ? une lésion s ? e ?ectue plus facilement en prenant en compte le signal de structures de référence facilement identi ?ables et en ayant à l ? esprit les di ?érents mécanismes susceptibles de modi ?er le signal d ? un tissu S ? il est tentant de classer les tissus en fonction de leur signal du plus intense blanc au plus bas noir sur les di ?érentes séquences d ? IRM il est plus judicieux de raisonner en termes de contraste ou de signal relatif Le but de cette mise au point est de donner la liste des principales lésions pouvant présenter un signal caractéristique enT et enT et de les classer en fonction de leur mécanisme principal tout en gardant à l ? esprit que plusieurs mécanismes physiopathologiques et physiques sont souvent étroitement intriqués Structures typiquement en hypersignal enT Les entités donnant un signal élevé sur les séquences pondérées en T sont nombreuses Nous ne reverrons ici que les principaux mécanismes qui sont la densité de protons les substances à T court les e ?ets paramagnétiques et les phénomènes de ux Tableau Densité de protons L ? augmentation de la densité de proton dans un tissu est responsable d ? une augmentation de signal de ce tissu surtout visible sur les séquences pondérées en densité de proton mais également sur les séquences pondérées en T Les situations o? il existe une augmentation de la densité de proton sont peu fréquentes Classiquement cet aspect s ? observe dans certains lymphomes cérébraux certains gliomes parfois au niveau de foyers de gliose et dans certaines tumeurs du médiastin Dans les neuro ?bromatoses de type on peut observer des hypersignaux en pondération T dans la région des noyaux gris en rapport avec la présence de cellules de Schwann hétérotopiques ayant une importante densité de ?bres myélinisées Fig - Cet hypersignal est cependant peu marqué car certains protons sont invisibles au niveau de la myéline voir mécanismes complexes Substances à T court Les substances ayant naturellement un T court sont surtout celles qui possèdent un contenu en graisse ou un contenu en protéines important La graisse est la plus classique elle possède un T de ms à Tesla Lipides La graisse est facile à identi ?er en IRM et appara? t en hypersignal en T En T elle présente un signal intermédiaire en écho de spin classique et un hypersignal en écho de spin rapide En cas de doute diagnostique sur la nature graisseuse d ? une lésion une séquence avec e ?acement de la graisse permet le plus

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  • Publié le Jui 14, 2021
  • Catégorie Health / Santé
  • Langue French
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