Remerciez-le!

Remerciez @Admin pour avoir partagé cet document gratuitement, de la manière la plus simple, en partageant sur les réseaux sociaux.

Georg lukacs esthetique deuxieme chapitre la desanthropomorphisation du reflet dans la science

Georg Lukács La spéci ?cité de la sphère esthétique Deuxième Chapitre La désanthropomorphisation du re et dans la science Traduction de Jean-Pierre Morbois C CGEORG LUKÁCS LA DÉSANTHROPOMORPHISATION DU REFLET DANS LA SCIENCE CCe texte est le deuxième chapitre de l ? ouvrage de Georg Lukács Die Eigenart des ? sthetischen Il occupe les pages à du tome I ème volume des Georg Lukács Werke Luchterhand Neuwied Berlin ainsi que les pages à du tome I de l ? édition AufbauVerlag Berlin und Weimar DDR Les citations sont autant que possible données et référencées selon les éditions françaises existantes À défaut d ? édition française les traductions des textes allemands sont du traducteur De même lorsque le texte original des citations est en anglais c ? est à celui-ci que l ? on s ? est référé pour en donner une traduction en français CGEORG LUKÁCS LA DÉSANTHROPOMORPHISATION DU REFLET DANS LA SCIENCE Deuxième chapitre La désanthropomorphisation du re et dans la science I Importance et limites des tendances désanthropomorphisantes dans l ? antiquité Nous avons vu comment découle des exigences vitales de la vie quotidienne et avant tout du travail le besoin d ? une connaissance de la réalité qui aille qualitativement au-delà du niveau du quotidien non seulement dans les faits dans certains cas dans une certaine mesure par hasard mais aussi dans les principes la méthodologie D ? un autre côté nous avons également pu voir que cette même vie quotidienne provoque sans cesse des tendances qui freinent et empêchent une généralisation synthétisant en une science les expériences du travail Les progrès du genre humain aux degrés primitifs et comme nous le verrons pas seulement à ceux-ci même si plus tard c ? est avec une force de résistance bien moindre entra? nent des formes de re et et de pensée qui au lieu de surmonter radicalement des formes na? ves spontanées de personni ?cation et d ? anthropomorphisation les reproduisent à un niveau supérieur et posent précisément ainsi des limites au développement de la pensée scienti ?que Engels donne une brève caractérisation de cette situation Déjà le re et exact de la nature extrêmement di ?cile produit d ? une longue histoire de l ? expérience Les forces de la nature quelque chose d ? étranger de mystérieux de supérieur pour l ? homme primitif À un certain stade par lequel passent tous les peuples civilisés il se les assimile en les personni ?ant C ? est cet instinct de personni ?cation qui a été créé par les dieux et le consensus gentium quant à la preuve de l ? existence de Dieu en prouve précisément que l ? universalité de cet instinct de Cpersonni ?cation en tant que stade de transition nécessaire donc aussi l ? universalité de la religion Seule la connaissance réelle des forces de la nature chasse les dieux ou le dieu d ? une position après l ? autre ? Ce processus maintenant si avancé qu ? il peut être théoriquement