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BmmÊRBSBË mÈÊm WÊÊmlm ' l' ' ' '."'''''•:'••' '.' t SES ^^^^^^^ , »lli» TABLE PREMIÈRE PARTIE TEXTES LITTÉRAIRES I. Textes orientaux 1 S. 457 II. Textes grecs et latins 6 S. 457 Textes douteux 58, S. 460 Appendice — Noms théophores 75, S. 404 DEUXIÈME PARTIE TEXTES ÉPIGRAPHIQUES Inscriptions orientales 87 Inscriptions grecques et latines 88 I. Asie Commagène 89 Cappadoce 91 I'hrygie 91 Phénicie ... 92 II. Europe Borne 92, S. 467 Italie 116, S. 469 VI TABLE Sicile 220 Adule s. 469 Thrtce 221, s. 469 Macédoine 222 fttésie inférieure 130, S. W9 Hésie supérieure 131 Dacie • . 131, S. 470 halinatie 139, S. 470 Pannonie inférieure 141, S. 470 Pannonie supérieure 144, s. 170 Norique 1S0, S. 471 dette 153, S. 472 Germanie supérieure 153, S. 472 Germanie inférieure 158, S. 473 Bretagne 160, S. ï" Belgique 162, S. 473 Lugdonaise 163, S. 474 Narbonnaise 163 Aquitaine 165, S. 474 Espagne 166, S. 474 III. Afrique Province d'Afrique 168, S. 474 Mauritanie 170 Inscriptions douteuses , . 172, S. 478 Inscriptions fausses 179, S. 477 Concordance des numéros du Corpus 181, S. 478 TROISIÈME PAHTIE MONUMENTS FIGURÉS I. Asie Uactriane 185 Commagène ... 187 Cilicie 189 TABLE VII Pont 189 Phénicie 191 Chersonnèse 191 II. Europe Rome 193 a) Monuments dont la provenance exacte est connue 193, S. 479 b) Monuments de provenance incertaine conservés à Rome .... 209, S. 481 c) Monuments autrefois à Rome, transportés à l'étranger .... 223, S. 481 d) Monuments autrefois à Rome, aujourd'hui disparus 230, S. 483 Ralie 237, S. 485 Sicile 269 Thrace 271, S. 488 Mésie inférieure 272, S. 489 Mésie supérieure 275, S. 490 Dacie 278, S. 490 Pannonie inférieure 321 Pannonie supérieure 325, S. 490 Dalmatie , . . 334, S. 501 Norique 335 Rétie 339, S. 503 Germanie supérieure 340, S. 506 Germanie inférieure 385 Rretagne 389, S. 510 Belgique 396, S. 510 Lugdunaise 397 Narbonnaisc 399, S. 511 Aquitaine 404 Espagne 404 III. Afrique Maurétanie , . . 405 Egypte 407, S. 520 Monuments d'origine incertaine 408, S. 522 Monuments douteux 411, S. 523 Falsifications modernes 443 Appendice. — Pierres gravées 447, S. 528 VIII TABLE SUPPLÉMENT Textes littéraires 457 Textes épigraimiiqi'es 467 honumbitts figurés 479 INDEX I. Textes littéraires Index alphabétique de» auteurs 529 Index chronologique des auteurs . . . 530 II. Textes épigrapiiiques Noms de Mithra . . . • 532 Noms des dieux solaires 533 \inns des autres divinités 534 Titres sacrés des fidèles 535 Temples et mobilier sacré 556 Fonctions et qualités des fidèles 537 Varia 539 Inscriptions datées 540 III. Monuments figurés Lieux de provenance des monuments 542 Lieux où les monuments sont conservés . . 544 Collections par lesquelles ont passé les monuments 546 Monuments datés 546 Tahles de concordance . . 547 FIN DE LA TABLE I)L TOME II PREMIERE PARTIE TEXTES LITTÉRAIRES I. TEXTES ORIENTAUX On eut peut-être désire trouver en tête de cette collection les passages de l'Avesta où le nom de Mithra est invoqué et spécialement le Mihir Yasht. Ce n'est pas sans raison sérieuse que nous les avons omis. Si les mystères de Mithra sont les héritiers directs de l'ancienne religion mazdéenne — et j'espère que la lecture de notre introduction en convaincra chacun — la personnalité de ce dieu lui-même s'est fortement transformée pendant sa migration de Perse en Occident. Transcrire ici le seul Mihir Yasht eût donc été à la fois presque superflu et tout à fait insuffisant. C'est une bonne partie de l'Avesta que nous aurions du reproduire si nous avions voulu en extraire tous les passages auxquels nous devrons renvoyer. Bien plus, les ouvrages pehlvis qui complètent le texte inutile du livre sacré auraient dû être abondamment cités. Nous n'aurions pas pu négliger non plus les livres persans ou arabes, où s'est conservé parfois le souvenir de traditions fort anciennes. Un pareil travail nous eût entraîné fort loin, et il exigeait des connaissances que nous regrettons de ne pas posséder : seul celui qui lirait tous ces auteurs dans l'ori- ginal pourrait songer à l'entreprendre. Nous avons dû nous fier aux traductions. C'est là une nécessité dont nous sentons plus vivement que personne les inconvénients, mais les chances d'erreur qu'elle entraine sont aujourd'hui bien réduites. M. Darmestcter a donné tout récemment une version française de l'Avesta ', qu'il y aurait quelque fatuité à prétendre dépasser pour le moment, et où 1) James Darmesteter, Le '/.end Avesta (Annales du Musée Guiniet, t. XXII-XXIV), 1. 1, Yasna et Vispered, II, Vendidad, Yashts, Khorda-Avesta; t. III, Fragments et Index. Paris, 1892-1893. A côté de cette traduc- tion nous avons eu constamment sous les yeux celle plus littérale de M. de Harlez, Avesta, livre sacré du Zoroastrisme, Paris, 1881. 1 2 MONUMENTS RELATIFS AU CULTE DE MITHRA toutes les incertitudes du texte sont ou éclaircies ou signalées. Les principaux ouvrages pehlvis ont trouvé en M. West un interprète d'une incontestable compétence 1 . Enfin, même crivains musulmans, dont quelques passages peuvent nous intéresser, ont presque tous été rendus avec exactitude dans une langue européenne 2 . On peut donc, je pense, se servir avec une grande sécurité de ces sources sans connaître les idiomes divers où elles sont écrites. A côté des livres iraniens, des écrits syriaques et arméniens fournissent des renseigne- ments précieux sur la religion des Perses. Ils ont pour nos recherches une valeur toute spéciale. Car, ou bien leurs auteurs traduisent ou résument des ouvrages grecs aujourd'hui perdus, et alors ils s'imposent naturellement à notre attention; ou bien ils parlent d'après des observations personnelles ou des traditions indigènes, et leur importance est plus grande encore. Placés sur la route qui a conduit Mithra du plateau de l'Iran à la Méditerranée, ils nous apprendront, du moins on peut l'espérer, par quelles formes successives son culte a passé avant d'aboutir aux mystères occidentaux. .Mais, si la littérature syriaque et en particulier les vies de saints s'occupent souvent des croyances des mages, persécuteurs des chrétiens 3 ; le nom de Mithra malheureusement ne figure à ma connaissance dans aucun des actes publiés jusqu'ici. Les seuls textes syriaques où je puisse signaler une mention de ce dieu, sont des traductions du grec : Le roman d'Alexandre (cf. Pseudo-Callisthène) et la Théophanie d'EusÈBE, dont l'original est perdu (Eusebius on the Theophania, éd. Samuel Lee, Londres, 1842), 1. II, § 60. Qn\\«N \snrt n£a,o.i Aàs.i Âur^ilsa rc'jcjrc' ; \,->.i et* >«->.! ^».i n'^iAn»* Ces mots, qui sont répétés dans la Préparation évangilique, sont tirés de Porphyre. (Voyez plus bas, fragment f.) Dans la littérature arménienne, contrairement à ce qui a lieu en syriaque, les textes où il est question de Mithra sont nombreux. Ici de nouveau nous avons été obligés de nous servir de traductions. Nous nous sommes du moins efforcés, là où il en existait plusieurs de les contrôler l'une par l'autre. 1) West, Pahlavi Texts (Sacred Books of the East, t. V, XVIII, XXIV, XXXVII), Oxford, 1880-1893. — Pour VArlâ V'xrâf Ndmak qui manque dans cette collection, nous avons eu recours à la traduction Barthélémy, Paris, 1887. 2) Schahrastàni, Religionsparteien und Philosophenschulen, aus dem arab. ûbers. von Haarbriicker. Halle, 1850, t. I, p. 270 et suiv. — Alblrûnî, The Clironology of ancient nations, transi, by Sachau, Londres, 1879. — On trouvera peu de chose à tirer pour notre sujet de Macoudi, Les prairies d'or, trad. Barbier de Meynard, 9 vol., Paris, ainsi que du grand poème de Firdousi, Livre des rois, trad. MohI, 7 vol. Paris, 1838-1878. — .Je suis heureux de pouvoir remercier ici mon maître et ami, M. Charles Michel, de l'inépuisable complaisance avec laquelle il m'a guidé dans mon voyage de découvertes à travers cette littérature nouvelle pour moi. 3) Assemani, Acta sanctorum orientalium, Rome, 1748. — Hoffmann, Auszilge aus syrischen Akten per- sischer Miiityrer, Leipsig, 1880. — Abbeloos, Acta sancti Maris, Bruxelles 1885. — Acta Mar Kardaghi, Bruxelles, 1890. — [Van den Gheyn], Acta sancti Mamantis, Bruxelles, 1890. — Bedjan, Acta martyrum et sanctorum syriace, IV vol. parus. Paris, 1890 à 1893 (cfr. Nôldeke, Festgruss an H. von Botli, Stuttgart, 1893, [i. 84), — Chabot, La légende de Mar Bassus, martyr persan, Paris, 1893. I. TEXTES ORIENTAUX 3 Le plus important et, sans doute, le plus ancien de ces passages se trouve dans EZNIG DE GOGHP La chronologie traditionnelle des Arméniens fait vivre cet auteur au v° siècle, peut-être avec raison. Mais il a très probablement puisé les détails qu'il nous donne sur la religion des mages dans des sources grecques plus anciennes. Je pense qu'il doit avoir connu l'ouvrage de Théodore de Mopsueste trepi xf|ç èv TTepaibi ua-fiK>îç, dont parle Photius (cod. 81). a) Réfutation des sectes, § 8 (Langlois, Hist. anc. de l'Arménie, II, p. 380; cfr. la trad. Le Vaillant de Florival, Paris, 1853, p. 94). Quand Arhmên vit, disent-ils (les mages), qu'Ormizt avait créé de belles choses et qu'il ne savait pas produire la lumière, il se consulta avec les démons, et dit : Quel avantage y a-t-il pour Ormizt ? il a fait uploads/s1/ cumont 1 .pdf

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  • Publié le Fev 14, 2021
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