On connaît la musique (iii) ... On connaît la musique (iii) ... ... Les grandes

On connaît la musique (iii) ... On connaît la musique (iii) ... ... Les grandes époques musicales. ... Les grandes époques musicales. Musique Antique Musique Antique Musique Égyptienne : L'étude de la musique égyptienne présente un certain nombre de difficultés dans la mesure ou aucune écho musical n'en est actuellement perceptible. De même, aucun texte ne nous en est parvenu. La musique sacrée présente au coeur même de la vie religieuse à travers des morceaux, ponctuant la vie des temples, nombreuses sont les scènes représentant un musicien devant le dieu. Il existait des instruments comme la harpe, le tambour, le sistrum, la flûte et la trompette. Musique Antique (ii) Musique Antique (ii) Les grecs posent les fondements de la musique (gamme, chant lyrique, chorale, opéra, etc...). Musique Gréco – Romaine : Dépassant tous les arts, la musique a été pratiquée en de multiples occasions, faisant partie intégrante de leur vie quotidienne. Hormis quelques cuivres et les percussions, les instruments prépondérants de la Grèce antique résident dans la lyre et l’aulos. La musique est omniprésente dans la mythologie grecque (romaine) : Muse, Apollon, Orphée, etc... Musique du Musique du Moyen ­ Age Moyen ­ Age Le Bas Moyen – Age (800 – 1100) : «Seu le la voix humaine peut rendre gloire à Dieu ». Les instruments ne sont permis que pour la musique profane. Première transcription date du IXe siècle (Ars Antiqua). Forme simple à deux voix appelée organum (diaphonie). Base du chant grégorien. Le chant grégorien doit son nom au pape Grégoire Ier — dit « Grégoire le Grand » — qui, à la fin du VIIe siècle, a ordonné et amorcé la diffusion d'un répertoire liturgique commun à travers tout l'occident, afin de contribuer à la mise en place du nouvel ordre religieux chrétien. Musique du Musique du Moyen – Age (ii) Moyen – Age (ii) Le haut Moyen – Age (1100 – 1400) : A partir du XIIe siècle, les formes deviennent plus complexes (déchant, symétrie verticale des voix brisées) et des partitions à 4 voix apparaissent (motet). Au XIVe siècle (Ars Nova), ajout d'instruments et perfectionnement de la notation et première notion d'harmonie. Quelques compositeurs : Guillaume de Machaut, Philippe Le Chancelier, etc... Musique du Musique du Moyen – Age (iii) Moyen – Age (iii) Les Oeuvres : Le chant grégorien des messes et Requiem. Le plain­chant : essentiellement vocale (a capella), monodique ( à une seule voix, non polyphonique) et modale (chaque pièce est sans modulation harmonique et s'inscrit dans un cadre modal fixe). Le motet : (du latin motetus, petit mot ) c'est une composition musicale apparue au XIIIe siècle, à une ou plusieurs voix, avec ou sans accompagnement musical, généralement religieuse, courte, et écrite sur un texte en latin. Musique de la Musique de la Renaissance Renaissance La Renaissance (1400 – 1600) : L'importance croissante accordée à l'intervalle de tierce en tant qu'intervalle consonant est un de ces traits spécifiques, alors qu'au Moyen Âge, les tierces sont considérées comme des dissonances. La polyphonie, en usage depuis le XIIe siècle, devient plus élaborée avec l'indépendance relative accrue des différentes voix. Le début du XVe siècle marque le retour à moins de complexité, les voix recherchant plus de douceur. Ceci devient possible par une extension de leur étendu. À cette tendance, succède, dans la première partie du XVIe siècle un retour vers plus de dépouillement, perceptible dans les œuvres de Josquin des Prés ou de Palestrina. Musique de la Musique de la Renaissance (ii) Renaissance (ii) Les Oeuvres : Le madrigal est une pièce polyphonique d’inspiration profane, typique de la Renaissance italienne, est un genre poético­musical qui dérive des chansons de troubadours. La musique sacrale reste à l'honneur : Messes, Stabat Matter, Miserere et Motets. L'opéra : d'inspiration antique, cette forme musicale revient à la mode. Quelques compositeurs : Giovanni Pierluigi da Palestrina, Gregorio Allegri, Giovanni Gabrieli, Claudio Monteverdi, etc... Musique Baroque Musique Baroque Le Baroque (1600 – 1750) : Le style baroque se caractérise notamment par l'importance du contrepoint puis par une harmonie qui s'enrichit progressivement, par une expressivité accrue, par l'importance donnée aux ornements, par la division fréquente de l'orchestre avec basse continue (concerto). La musique sacrée va connaître son apogée (chorale, cantate, oratorio, messe). C'est un style savant et sophistiqué. Durant cette période seront posés les jalons de la Musique (gamme tempérée). Il y aura plusieurs grandes écoles : française (Dumont, Lully, Delalande, Rameau, Charpentier), italienne (Gabrieli, Vivaldi, Monteverdi, Scarlatti, Albinoni), allemande (Haendel, Bach, Froberger, Pachelbel, Telemann). Musique Baroque (ii) Musique Baroque (ii) Les Oeuvres vocales : Le chorale : c'est un chant liturgique créé par Martin Luther pour être chanté en chœur par les fidèles des cultes protestants. Le mot désigne une pièce jouée à l'orgue ou au clavecin sur le thème du chant correspondant. La cantate : (de l'italien cantare : chanter) est une composition vocale et instrumentale qui comporte plusieurs morceaux. Elle est d'aspect plus modeste que l'oratorio. L'oratorio : c'est une œuvre lyrique qui, musicalement, est analogue à l'opéra, mais qui n'est pas destinée à une représentation scénique (le must). La messe : ensemble de la musique liturgique et des chants de l’ordinaire de la messe. Ces prières et invocations mises en musique sont généralement : Kyrie, Gloria, Credo , Sanctus, Agnus Dei. Musique Baroque (iii) Musique Baroque (iii) Les Oeuvres instrumentales : Le concerto : son origine est le concerto grosso. Petit à petit, vient l'habitude de remplacer le concertino par un soliste, auquel il donne l'occasion de manifester sa virtuosité ou son lyrisme, dans des épisodes qui alternent avec l'orchestre. La toccata : (de l'italien, toccare, toucher), est une pièce musicale pour instruments à clavier : orgue, clavecin (piano). La fugue : Elle apparaît comme l'aboutissement le plus parfait des formes de contrepoint polyphonique qui ont émaillé l'évolution de la musique. La sonate : (de l'italien, sonata, suonata, sonnare, qui sonne). Par opposition à la cantate. Anciennement appelé : suite (ou partita). C'est l'une des formes les plus importantes de la musique de chambre. Musique classique Musique classique Le Classique (1750 – 1810) : Adoption de la gamme tempérée et abandon du contrepoint au profit de l'harmonie. Démocratisation de la musique, plus au service d'un prince ou d'un évêque. La forme profane va connaître ses heures de gloire (symphonie, concerto, sonate, opéra, opérette, etc...) sans pour autant abandonner la forme sacrale (messe, oratorio, motet, etc...). Disparition de certains instruments (violes, clavecin) au profit de «n ouveaux» (piano, clarinette) et apparition de l'orchestre symphonique. Les deux grands compositeurs furent Haydn et Mozart. Musique classique (ii) Musique classique (ii) Les Oeuvres : L'opéra : c'est une œuvre musicale et scénique, souvent entièrement chantée, dont l'interprétation se fait accompagner par un orchestre. Bien qu'apparu déjà en 1600, elle ne sera vraiment exploitée que durant la période classique. La symphonie : (du grec sun, avec, et phonos, voix) est une composition instrumentale de dimensions imposantes et qui, contrairement au concerto, ne met pas en valeur un instrument particulier. Le terme de sinfonia existait déjà mais désignait une oeuvre plus courte. Musique Romantique Le Romantique (1810 – 1890) : Elle vise ici à susciter l'émotion, à bouleverser. Le piano (mis à l'honneur) permet désormais d'exploiter de puissants contrastes de dynamique. De la même façon, l'orchestration devient de plus en plus audacieuse et élaborée, d'autant plus que certains instruments, comme par exemple le cor, sont modifiés par les facteurs d'instruments de manière à devenir plus maniables. Les sonorités inventées par les romantiques sont particulièrement colorées et évocatrices. On citera que Beethoven, Chopin, Schubert, Mahler, Mendelson, Berlioz et Brückner comme compositeur. Musique Romantique (ii) Les Oeuvres : Pour piano : l'age d'or de l'instrument; concerti, préludes, nocturnes, études, valses, ballades, fantaisies, variations, Impromptu, etc... L'opéra : le sacre de ce genre avec des compositeurs comme Verdi, Wagner, Bizet, Puccini... La symphonie : c'est Ludwig van Beethoven qui en fait la forme musicale la plus prestigieuse du répertoire «romant ique », suivront Schubert, Brückner, Dvoràk, Mahler, Sibelius, etc... La musique de chambre : quatuors, suite, etc... Musique Moderne Le Moderne 1890 – 1950 : C'est une remise en cause radicale des paradigmes de la musique tonale établis depuis le XVIIIe siècle. Parvenus aux confins de l’exploration harmonique et stylistique de la musique romantique, les compositeurs du début du XXe siècle ont essayé de se délier des systèmes classiques. Debussy sera le premier à explorer non plus un domaine tonale défini mais une suite d'impressions. On regroupe donc sous cet intitulé des com­positeurs aussi différents que Debussy, Satie, Stravinsky, Richard Strauss, Ravel, Schoenberg, etc. Musique Moderne (ii) Les Oeuvres : On retrouve toutes les types d'oeuvres des époques précédentes, mais affublées d'adjectifs «o niriques » : Claude Debussy : Prélude à l'après­midi d'un faune. Maurice Ravel : Pavane pour une infante défunte. Jeux d'eau pour piano en mi majeur. Erik Satie : Gymnopédies (en grec, «g ymnastique des jambes »). Musique Contemporaine Le Contemporain 1950 ­ : Cette période n'a pas d'unité de style : elle est au contraire celle de la floraison d'expériences et uploads/s3/ grandes-epoques-musicales 1 .pdf

  • 23
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager