1 1. INTRODUCTION Tout être humain a des droits inhérents à sa personne lesquel
1 1. INTRODUCTION Tout être humain a des droits inhérents à sa personne lesquels sont universaux et égalitaires, sans distinction aucune, notamment de sexe, de race, de nationalité, d’origine ethnique, de langue, de religion ou d´autre situation. En ce qui concerne les droits des femmes dans l´Inde, ils sont violés jour à jour. Depuis leur naissance, les femmes sont exposées à des situations de discrimination et d’inégalité. De plus, de nombreuses familles stigmatisent les femmes comme une simple charge financière et même mettent fin à leurs vies à travers l’avortement, l’infanticide féminin et des assassinats. Même si quelques progrès ont été accomplis, les violations des droits des femmes dans l´Inde persistent encore de nos jours. C´est pour cette raison que ce travail a pour objectif principal d´élaborer un rapport interprétatif en langue française sur la vulnérabilité des droits des femmes dans l’Inde, en comparant l´information obtenue afin de la partager parmi les étudiants, les professeurs de la Carrière de Langues et les personnes francophones intéressées à ce sujet. Par ailleurs, il est également nécessaire de mentionner que ce rapport interprétatif est structuré de la manière suivante: premièrement, on présente l ´introduction et les objectifs de ce travail. Ensuite, on décrit l´information importante et les éléments nouveaux sur le sujet. On continue avec la comparaison des aspects similaires et différents de l’information présentée par les trois auteurs. Après ça, on présente les bénéfices de l´information pour les étudiants et pour les professionnels de la Carrière de Langues suivis par le processus où l ´on indique la manière dans laquelle on a développé ce rapport interprétatif. 2 Apres, on présente les conclusions et les recommandations sur ce travail. Finalement, on ajoute les annexes respectives. 1.1. OBJECTIFS 1.1.1. OBJECTIF GÉNÉRAL Élaborer un rapport interprétatif en langue française sur la vulnérabilité des droits des femmes dans l´Inde en comparant l’information obtenue afin de la partager parmi les étudiants, les professeurs de la Carrière de Langues et les personnes francophones intéressées à ce sujet. 1.1.2. OBJECTIFS SPÉCIFIQUES Rechercher des informations sur la vulnérabilité des droits des femmes dans l´Inde. Sélectionner les articles les plus appropriés pour développer le travail. Faire un glossaire avec la terminologie inconnu trouvée dans les articles sélectionnés concernante le sujet. Comparer l´information obtenue dans la recherche. Écrire le rapport interprétatif en Français. 3 2. CONTENU 2.1. INFORMATION IMPORTANTE En vue de bien développer ce travail d’interprétation des trois articles sélectionnés, nous avons identifié les éléments importants et nouveaux des informations sur la vulnérabilité des droits des femmes dans l´Inde. Dans le premier article intitulé «La place des femmes en Inde», écrit par l’auteur LENFANT HéloÏse; l’information importante identifiée est la suivante: nous avons distingué que l´Inde est le quatrième endroit le plus dangereux au monde pour les femmes. Là, elles souffrent de discriminations et leurs droits sont violés au quotidien à cause des pratiques de dots, infanticides, viols, prostitution parmi d´autres. Par ailleurs, les filles sont élevées dans l’idée qu’elles ont le devoir de servir et satisfaire l’homme. Ça veut dire que dans l’enfance, une femme doit être soumise à son père, dans la jeunesse à son mari et lorsque son maître meurt, à ses fils. Il s’agit des traditions hindoues qui expliquent en partie la place que les femmes occupent aujourd’hui. Dans cette société, les filles sont encore l’objet de mariages forcés, souvent très jeunes. Il est important de souligner que jusqu’à 1892, l’âge légal du mariage pour les filles était porté à 10 ans, mais depuis 1950 il est passé à 19 ans. Toutefois, le mariage des enfants reste courant. Puis, les mariages impliquent la pratique de la dot. Il s´agit d´une somme économique que les familles des filles doivent donner à la famille du mari. Ce phénomène est à l’origine de nombreux actes de violence faite aux femmes, 4 souvent perpétrés par leur propre famille ou par leur future belle famille. Elle représente pour les familles un fardeau financier considérable, s’élevant parfois à plus de la moitié de leur capital. À cause de que la dot représente une contrainte financière trop importante, des nombreuses petites filles sont tuées à la naissance ou maltraitées par leurs familles jusqu’à les voir mourir. Ce phénomène explique en grande partie le déséquilibre du sex-ratio dans l ´Inde. Ça veut dire qu´il y a plus de hommes que de femmes. Bien qu´il existe une loi qui interdit tout avortement fondé sur le sexe du fœtus, de nombreux avortements de fœtus de sexe féminin sont pratiqués de façon illégale. Seulement un changement des mentalités en profondeur est envisageable pour lutter contre ces pratiques traditionnelles sexistes. Également, le nombre de viols dans I´Inde est une fait frappante des atteintes aux droits des femmes et de violences auxquelles elles doivent quotidiennement faire face. La plupart des victimes ne portent pas plainte par peur des représailles et leurs agresseurs ne sont pas toujours condamnés. Cependant, dans le plan économique et social, les changements amenés par ces luttes féministes restent très faibles en raison du blocage juridique et du poids des traditions religieuses. En revanche, sur le plan politique, les femmes accèdent de plus en plus aux hautes fonctions autrefois réservées aux hommes, comme par exemple Pratibha Devisingh Patil, présidente de l’Inde de 2007 à 2012 et la première femme à accéder à cette fonction. Dans le deuxième article intitulé « Les femmes en Inde : la plus grande démocratie du monde est-elle misogyne? » écrit par Lina SIBI, nous pouvons distinguer que l’Inde est considérée comme la plus grande démocratie du monde, néanmoins, n’est pas profité à toutes les Indiens, en raison du fait qu ´elle est une société très discriminative envers las castes inférieurs, des minorités ethniques et particulièrement ses femmes. 5 Cependant, nous soulignons que le mariage, la dot, et le système de caste sont les principales facteurs de meurtre de milliers des femmes et de la privation de leurs libertés et leurs droits. C’est la raison pour laquelle nous remarquons le mariage arrangé sans l’amour, et seulement en tenant compte la volonté de la famille de la jeune femme, qui cherche le meilleur mari sur la base de la caste, du statut et des signes astrologiques. Donc, le mariage est considéré une alliance entre deux familles souvent les plus pauvres et les castes. Dans ce contexte, nous avons trouvé que la dot doit être payée pour la famille de la fille au moyen de biens matériels et cadeaux, lesquelles varient selon la situation financière et de la caste. À ce sujet, le système de castes classent les indiens en 4 classes : les brahmanes (prêtes), les kshatriyas (guerriers), les vaishyas (commerçants) et au final les sudra (le reste de la population). Puis, une sous classe appelée dalit (intouchable), sont doublement affectées et discriminées en raison du statut social et sexe. Contrairement, les femmes brahmanes sont les plus exigeantes. Les hommes qui veuvent se marier avec elles doivent respecter des restrictions morales puisque, cette caste est présumée la plus pure. Par ailleurs, nous remarquons l’existence des infanticides féminins parce que le fait d’avoir un fils est un honneur. Cependant, d’avoir une fille est un fardeau, puisque sa dote doit être payé. En conséquence, ils sont effectués des avortements sélectifs ou des abandons. En plus des dernières pratiques atroces, nous soulignons qu´il existe aussi de la culture du viol et l’impunité qui sont considérées comme une épidémie dans l´Inde. Un exemple claire, c´est le viol collectif de Jyoti Singh en Décembre de 2012. Elle a été brutalement violée, empalée dans un bus par plusieurs hommes et même jetée nue dans la rue. Par conséquence, elle est 6 morte. Également, nous pouvons noter que des milliers de femmes souffrent des agressions sexuelles du même type et encore plus graves. Au contraire, les femmes ne veulent pas porter plainte à cause de honte, l’exclusion de la société, le cycle familier, des services de police inefficaces et le manque de formation des polices et leur sous-effectif. Pour conclure avec des éléments importants des articles sélectionnés, dans le troisième article rédigé par Roxane Metzger intitulé «Un génocide méconnu : 50 millions de femmes disparues en Inde», nous remarquons que dans l´Inde plus de 50 millions des femmes ont été exterminées. C´est pour cela que dans l’Occident se pose la question de comment 20% des femmes auraient pu disparaître sans être vues et sans aucune polémique. Cependant, nous pouvons souligner que cet article présent le féminicide à son apogée et ses conséquences ci-après : Les avortements sélectifs, très tardifs et forcés, où des femmes sont obligées quand elles sont enceintes de filles, les infanticides féminins et également l’étouffement avec du sel, la noyade dans du lait qui sont réalisées par la mère elle-même ou plus communément par la grand-mère paternelle. Dans une autre cas, le fait de tomber amoureuses d’un homme issu d’une autre caste. Si le conseil de leur village ou l’également appelé si le khap panchayat s’oppose au choix d’une jeune femme elle aura une peine extrajudiciaire et une expédition punitive sous forme de uploads/S4/ contenido.pdf
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- Publié le Aoû 06, 2021
- Catégorie Law / Droit
- Langue French
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