« L'affaire Zemmour » Ce n'est qu'un début ! Cyrano « La petite meute des cense

« L'affaire Zemmour » Ce n'est qu'un début ! Cyrano « La petite meute des censeurs n'aura pas la peau de Zemmour » Que de rebondissements dans l’« affaire Zemmour » depuis quelques jours ! Il est difficile de synthétiser les nombreux retournements de situation qui ont opposé les quelques adversaires d’Eric Zemmour au soutien populaire et médiatique qu’il a reçu. Dans le camp des préposés à l’Inquisition, nous trouvons finalement bien peu de monde. Evidemment, il y a les trois larrons autoproclamés « antiracistes » qui ne représentent plus qu’eux-mêmes : le Mrap, SOS-Racisme, et la Licra. Rien d’étonnant de la part du Mrap de Mouloud Aounit, définitivement grillé par ses liaisons dangereuses avec les islamistes et son « antiracisme » discriminatoire et diffamatoire. Après avoir saisi le CSA, il décide de porter plainte contre Eric Zemmour pour « injure à caractère raciste ». Selon le communiqué du Mrap, le journaliste aurait dû dire que la délinquance est uniquement due « à des processus de marginalisation sociale, de concentration de la misère dans certaines zones, de ce que certains appellent une « ghettoïsation » de fait ». Toute autre explication ou condamnation de la délinquance est donc « raciste » pour le Mrap. Sauf évidemment quand les délinquants sont blancs ou français de souche et que leur victimes ne le sont pas, parce que là ce ne peut être que du « racisme » ethnique car génétiquement dû à des ancêtres colonisateurs. SOS-Racisme, qui suit de plus en plus la même pente suicidaire sous la direction de Dominique Sopo, lui a emboîté le pas. Désormais ce groupuscule n’a plus rien à voir avec le SOS-Racisme de Malek Boutih. Normal, quand siègent au bureau national des gens comme Mohamed Sifaoui, ardent défendeur de l’islam et des musulmans qui pète un plomb dès qu’on ose critiquer le jeûne du ramadan ; ou Samuel Thomas, spécialiste en subornation de témoins comme dans l’affaire Vauvert (selon Libération du 6 décembre 2000) et pour qui le racisme anti-blanc n’existe pas plus que pour Mouloud Aounit ou Vincent Geisser. L’arrivée de la Licra dans la chasse au Zemmour a été plus surprenante. Mais c’est son nouveau président, Alain Jakubowicz, qui a lui-même avoué la raison de ce ralliement : il veut faire prendre à la Licra un « nouveau virage », et renouer des liens avec … le Mrap ! Il fallait donc faire un exemple, et livrer la tête du juif Zemmour au nouvel ami, tout comme le roi fantoche Hérode livra celle du juif Jean le Baptiste à sa maîtresse Salomé. LE VRAI RACISTE, C’EST ZEMMOUR, BIEN SUR ! http://de-de.facebook.com/note.php ?note_id=220455285469 1 Aucune de ces trois organisations, dans leurs communiqués à l’encontre d’Eric Zemmour, n’a apporté le moindre argument à leur accusation de « racisme ». Elles n’ont fait qu’utiliser les vieilles ficelles rhétoriques du terrorisme intellectuel : la diffamation, les attaques ad hominem, et surtout le discrédit par association dans sa forme suprêmement ignoble : la « reductio ad hitlerum ». Les trois groupuscules ont été rejoints par le Cran de Patrick Lozès, qui lui aussi ne représente que lui-même. C’est tout de même ubuesque de voir se prétendre « antiraciste » une association communautariste dont l’objet social et le nom sont basés sur un critère uniquement racial et racialiste car fondés sur la couleur de peau ! 2 A la liste de ceux qui veulent traîner Eric Zemmour en justice, il faut également ajouter le club Averroès, tout aussi communautariste que le Cran puisque c’est une officine de lobbying maghrébin, qui elle aussi ne représente qu’elle-même. Bien peu de monde, en somme ! Evidemment, ces boutiquiers ont été suivis par quelques journalistes, animateurs ou comiques troupiers du paysage audiovisuel français. France-Inter et Médiapart s’en sont donnés à cœur joie. Francis Lalanne en a profité pour régler des comptes personnels. Pour lui, Eric Zemmour et Eric Naulleau sont des « crétins » qui « ne valent même pas un crachat. Ces gens-là, tu ne t’essuies même pas les pieds dessus tellement c’est de la merde ». Gérard Miller use d’une langue plus raffinée pour dire à peu près la même chose. Comme à son habitude, Dominique Wolton a trépigné dans son coin. Le chanteur à succès Christophe Willem croit savoir qu’Eric Zemmour a écrit un bouquin « La nostalgie de la France » (ah bon ? il ne s’agirait pas de « Mélancolie française » ?) qui se résumerait à « dehors tous les étrangers ». Ce fin critique littéraire a cependant reconnu qu’il regarde parfois Eric Zemmour à la télévision : « J’étais chez moi comme un gros con à regarder ce mec en train de déblatérer sa merde. » Argumentaire guère plus convainquant chez Aziz Zémouri, collègue d’Eric Zemmour au Figaro Magazine, rédacteur à oumma.com et supporter de Tariq Ramadan, qui a pété un plomb en direct sur RMC en s’énervant tout seul parce qu’Eric Zemmour a du succès et pas lui. Les professionnels du terrorisme intellectuel, ont tout de même réussi à faire peur à quelques institutions un peu plus sérieuses que les gougnafiers susnommés, mais sans grand succès. Le CSA a « mis en demeure » Canal + pour les propos d’Eric Zemmour. Il se fonde sur la convention signée avec la chaîne, selon laquelle « la société veille dans ses émissions (…) à respecter les différentes sensibilités politiques, culturelles et religieuses du public ; à ne pas encourager des comportements discriminatoires en raison de la race, du sexe, de la religion ou de la nationalité ; à promouvoir les valeurs d’intégration et de solidarité qui sont celles de la République. » Ce CSA devient donc à l’occasion de cette mise en demeure une dangereuse police de la pensée para-judiciaire comparable à la Halde, se permettant de juger sans juge ni jugement qui a le droit de dire quoi. Cette convention est extrêmement dangereuse car où est la limite dans le fait de « respecter les différentes sensibilités politiques, culturelles et religieuses du public » ? C’est tout simplement le retour du délit de blasphème ! Non, nous n’avons pas à respecter les religions ni à nous censurer parce que des caricatures de Mahomet toucheraient la « sensibilité » des musulmans. Où est le « comportement discriminatoire » dans les propos d’Eric Zemmour ? On attend avec impatience la démonstration du CSA ! Et, cerise sur le gâteau, il est tout de même cocasse d’accuser le journaliste de ne pas « promouvoir les valeurs d’intégration » alors que celui-ci a toujours défendu l’intégration et même l’assimilation, et qu’il en regrette les échecs ! Canal + a répondu au CSA : « Bien évidemment nous n’approuvons pas les propos d’Eric Zemmour prononcés lors d’un échange contradictoire. Cependant la télévision est un lieu de débat où doivent pouvoir s’exprimer des opinions y compris celles qu’on ne partage pas. Nous ne pouvons imaginer que le CSA demande désormais aux chaînes d’étouffer la liberté d’expression sur leurs antennes. » Le patron des programmes France-Télévisions a fait pression sur la productrice de l’émission « On n’est pas couché » pour lui demander quelles « mesures » elle comptait prendre. Cette attitude de Ponce-Pilate est abjecte, et a eu la réponse qu’elle mérite : une superbe fin de non- recevoir. Catherine Barma : « Eric Zemmour participe à l’émission On n’est pas couché depuis le 16 septembre 2006 et il défend ses points de vue avec intelligence et vivacité dans des interventions parfois provocantes mais toujours dans les limites du respect humain. » Patrice Duhamel décide alors de s’en occuper personnellement et convoque Eric Zemmour… pour le prier de parler avec modération. Oui, M’sieur, bien M’sieur. 3 Le directeur du Figaro a lui aussi convoqué Eric Zemmour, mais pour un entretien préalable au licenciement (qui devait avoir lieu lundi). Il s’est empêtré dans différentes versions contradictoires du motif de cet entretien, pour finalement, devant l’indignation générale interne et externe, expliquer qu’il n’était pas question de virer Eric Zemmour du Figaro. Et puis soudain Etienne Mougeotte annonce qu’il annule la convocation après que l’intéressé ait donné des « explications » sur ses propos à Canal +. Le directeur du Figaro se tire ainsi une superbe balle dans le pied, puisqu’il avoue implicitement que les motifs administratifs qu’il évoquait pour licencier Eric Zemmour n’étaient que des prétextes. Et tant pis pour Patrick Lozès, président du Cran qui se réjouissait déjà de la « fermeté » de la direction du Figaro, et qui appelait, tout comme Mouloud Aounit, à ce qu’Eric Zemmour soit radié de tous les médias français. Pas moins ! Les politiques de gauche comme de droite se sont bien gardés d’intervenir, du moins officiellement, malgré les quatre vérités que ne cessent de leur envoyer Eric Zemmour à la figure. A l’UMP, ils n’ont pas osé prendre le risque de rajouter une nouvelle casserole à leur impopularité. Jean-François Copé, lui qui prétend dénoncer la « langue de bois », en use et en abuse pour éviter soigneusement de prendre position quand Jean-Jacques Bourdin de RMC uploads/S4/ l-x27-affaire-zemmour.pdf

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  • Publié le Jui 13, 2021
  • Catégorie Law / Droit
  • Langue French
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