Leibniz, Gottfried Wilhelm (1646-1716). Opuscules et fragments inédits de Leibn
Leibniz, Gottfried Wilhelm (1646-1716). Opuscules et fragments inédits de Leibniz : extraits des manuscrits de la Bibliothèque royale de Hanovre. 1903. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF.Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : *La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. *La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés de fourniture de service. 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Pour la Langue internationale. t brochure in-i6 (Hachette, ïoot). I Die internationale Hilfssprache. t brochure in-ï6 (Leipzig, Veit, 1002). 1 EN COLLABORATION AVEC M. LEAU Histoire de la Langue universelle (Hachette). opnsoî ïî p~ i. ~~j ~J JL JL C3 ET FRAGMENTS INÉDITS DE LEIBNIZ .E~n~ J~ ~MM~r?~ ~~o~~M~ r~<? J~MOvre PAR Louis COUTURAT CHARGÉ Dt: COURS AL'UNIVERSITÉ DE TOULOUSE «Qui me non nisi edids no\'it, non novît. » L< àP/a<-<-t~ 21 fevr. 1696. (DM/~M, VI, i,65). PARIS FÉLIX ALCAN, ÉDITEUR ANCIENNE LIBRAIRIE GERMER BAILLIÊRE ET C~ 108, BOULEVARD SAINT-GERMAIN, 108 Ï903 Tous droits reserves. A McNsiE:uR ARTHUR HANNEQUIN t. PROFES~BUR DEL*UNÏVERSïTÉDE LYON Témoignage de haute estimeet de cordiale affection. ïttEDtTB DN LBtBNtZ. a PRÉFACE Notre ouvragesur La Logique de Le~M~ était presque terminé (nous le croyionsdu moins)lorsque nous eûmes le plaisir, au Congrès inter- national dePhilosophie(août 1900),de faire la connaissancede M. Gio- vanni VACCA, alors assistant de mathématiques à l'Université de Turin qui avait compulsé, un an auparavant, les manuscrits de Leibniz con- servés à Hanovre, et en avait extrait quelques formules de Logique inséréesdans le Formulaire de Mathématiques de M. PEANO C'est lui qui nous révéla l'importance des œuvres inédites de Leibniz, et nous inspira le désir de lesconsulterà notre tour La lecture du cataloguesi détailléet si completqu'en a dressé M.le conseiller BoDEMANN~ bibliothé- caire en chef de la Bibliothèque royale de Hanovre acheva de nous décider. Ce catalogue, avec le classement des manuscrits dont il est le résumé, a considérablement facilité, abrégé et guidé nos recherches; disons mieux, il les a renduespossibles.C'est, selon une métaphorechère à Leibniz, l'indispensable fild'Ariane sans lequel nous n'aurions jamais pu nous aventurer dans le labyrinthe de sesmanuscrits. M. Bodemann i. Aprésent conseiller municipal de la villedeGênes. 2. Tome II, n° 3, 1899; tome III, !90ï; tome IV, 1902 (Torino, Bocca frères). Nous profitons de cette occasion pour dire ce que nous devons à M. PEAMo et à ses collaborateurs ce sont leurs tr~<aux qui ont attiré notre attention sur la logique algorithmique, et qui nous ont par suite amené à étudier la logique de Leibniz. Nous tenons d'autant plus à le reconnaître, que ces travaux tendent à réaliser, dans les mathématiques, la Caractéristique universelle rêvée par Leibniz. 3. Cf. G. VAccA ~MtMMKo~cW~t Mc~t~ di Z.~Mï~, ap..Bo~MtMo di MMt<~<~ e ~o~Mdelle ~CMM~e MM~tM~tcAe ~899) <'J'ai constaté que Leibniz connaissait les principales propriétés du signe de négation, attribué jusqu'ici à Segner; l'identité du signe de déduction entre les classes et entre les propositions; quelques-unes des intéressantes analogies qui existent entre les symboles de la Logique et les propo- sitions sur la divisibilité des nombres entiers; enfin, la représentation si suggestive et si élégante des formes du syllogisme au moyen de systèmes de cercles, que l'on attribue d'ordinaire à Euler 4..V.l'article Bodemann auxAbréviations bibliographiques. ï! PRÉFACE nous a libéralement ouvert le trésor dont il a la garde, et il nous a aidé dans nos recherches et dans un déchiffrement souvent pénible. Enfin M. LIARD, directeur de l'Enseignement supérieur, a bien voulu nom charger, en vue de ce travail, d'une mission du Ministère de Hnstruc- tion publique, qui nous a permis de compléter nos investigations, et qui nous a imposé en même temps le devoir d'en faire profiter le public. C'est à ce concours de bonnes volontés, de conseilset de protectionsque notre ouvrage doit le jour; nous nous faisons un plaisir et un devoir de le déclarer, et d'exprimer à MM. LiARb, BcDEMANN et VACCA toute notre reconnaissance. Nous avonsdit ailleurs combien notre livre sur La Logique de Z~M~ a profité desnouveauxdocuments que nousavons rapportés de Hanovre; et si nous le rappelons ici, c'est pour bien marquer le caractère de cette publication. Le présent volume n'est, en principe, que la collection des textesinédits qui nous ont servi à compléter notre travail historique. Le choix que nous en avons fait a donc étéavant tout déterminé par le sujet qui nous occupait c'est en général dans la mesure où ils se rapportaient à la Logique que nous en avons pris, soit une copie intégrale, soit des extraitsseulement. Mais, comme la Logique de Leibniz est le centre de son système, nous avons été naturellement conduit à « rayonner » dans diversesprovinces de son œuvre c'est ainsi que nous avons trouvé cer- tains opuscules métaphysiques du plus haut intérêt, comme le « Primae veritates», qui résume toute la philosophie leibnizienne dans son ordre génétique et dans sa vraie perspective1; et certaines œuvres mathéma- tiques qui nou~ ont paru intéressantes,ne fût-ceque pour l'histoire de la penséede Leibniz, commeLa M~Ao~ /'C/M~<?rM~~et le Pacidius .P/M/<M 3, dont GERHARDT n'a daigné donner au public que quelques extraits, sous prétexte que c'était une «Vorstudie » 4..De même, nous avons copié en passantquelques notes ou quelques coupons qui peuvent t être précieux par la date qu'ils portent comme ce fragment du 2 décembre ï6~6, qui suffit à ruiner l'hypothèse du spinozisme, même passager, de Leibniz En un mot, nous nous sommes efforcé,toutes les foisque nous en avons eu l'occasion,de combler les lacunes deséditions t. PHIL., VIII,6-7;Cf.PtML., I, t5; VIII,ïOO-ÏOt. 2. PHtL.) V, ÏO. 3. MATH., X, Ï 1. 4. Math., VI, 8. Nous ne savons si l'on peut qualifier de Vorstudie un ouvrage complet dont il existe un brouillon de &3pages et une copie soignée de 59 pages, revue par l'auteur. 5. Voir à la fin du volume la Liste des fragments datés. En général, les éditeurs pap~s&ent avoir complètement ncgtigë les morceaux datés, ce qui nous a procuré le plaisir de voir confirmer par nos trouvailles toutes nos conjectures chronologiques (V. La f.og't~t<6 de Z.6~M< p. x et 3z3). 6. PHtL., VIII,7t Cf.PtûL., 1,i~,c, 8 (tS~ô). PRÉFACE II t existantes.Par exemple, nous publions la fin du Specimen C~CK~uni- yerM/~ que GERhARDT avait laissée de côté parce qu'elle avait le caractèred'une <t Studie »; commesi le commencementde cet opuscule, et tant d'autres fragments publiés par Gerhardt, n'avaient pas le même caractère! Nousavons eu la bonne fortune de trouver, inédits uploads/S4/ opuscules-leibniz.pdf
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Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise- Détails
- Publié le Jan 03, 2021
- Catégorie Law / Droit
- Langue French
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