Plan détaillé Introduction I. Un souvenir très marquant a. Le déroulement des f
Plan détaillé Introduction I. Un souvenir très marquant a. Le déroulement des faits Manière dont laquelle il présent l’événement : Pronoms « je », « me », « mienne ». Gradations : « l’indignation, la rage, le désespoir. ». b. Exagérations Nombreuses hyperboles qui montrent la marque que ce souvenir a laissé en lui : « cent fois y périr », « cruautés d’un tyran », « châtiment effroyable ». c. Découverte de l’injustice « La fut le terme de la sérénité de ma vie enfantine. Dès ce moment je cessai de jouir d’un bonheur pur, et je sens aujourd’hui même que le souvenir des charmes de mon enfance s’arrête là. » Champs lexicaux : Bonheur, Arrêt. Une enfance que s’arrête. Injustice. II. Un Rousseau empathique a. Le passage du « Je » au « Il » et au « nous ». Début du premier paragraphe. Évolution de la narration : Il commence le paragraphe avec la première personne du singulier : « Je », « me », « mienne » … après il passe à la troisième personne du singulier avec « Mon cousin » et après il passe à la première personne du pluriel avec « nous », « nos » …. b. Entre Rousseau et les animaux il n’y a pas de différence. « Je me suis mis souvent mis en nage, à poursuivre à la course ou à coups de pierre un coq, une vache, un chien, un animal que je voyais en tourmenter un autre, uniquement parce qu’il se sentait le plus fort. ». Il se met à la place des animaux quand ils souffrent et il ne voit pas la différence entre la souffrance d’un animal et la sienne. c. La justice et l’empathie « Ce premier sentiment de la violence et de l’injustice…si l’effet en retombait sur moi. » L’empathie comme moteur de la justice. Justice plus qu’une manière de penser : un sentiment. Jean-Jacques Rousseau était un écrivain et philosophe suisse qui est né le 28 juin 1712 à Genève et il est mort le 2 juillet 1778 à Ermenonville. L’une des œuvres les plus reconnues de Rousseau ce sont « Les Confessions », qui est une autobiographie couvrant une grande partie de sa vie et elle est divisée en douze livres. L’extrait que nous allons traiter dans ce texte, sont les trois paragraphes qui se trouvent entre la page 68 et 69 du livre qui parlent des sentiments de Rousseau après qu’il a été accusé d’avoir cassé un peigne injustement. Dans ce texte nous allons voir ces forts sentiments que Rousseau ressent. Pour mener cette analyse nous allons parler tout d’abord de la marque laissée par ce souvenir en lui et après nous parlerons de l’empathie de Rousseau. Tout d’abord, nous parlerons de la marque laissée par ce souvenir en par Rousseau. Pour voir cette marque nous devons commencer par voir la manière dont laquelle il raconte ce qu’il sent. Nous voyons l’utilisation répétitive de la première personne du singulier comme « je », « me », « mienne », etc. Aussi nous voyons le champ lexical des sens comme « sentir », « sentais », « sensible » etc. et en plus on a une gradation qui dit : « …l’indignation, la rage, le désespoir. ». Avec ces éléments on voit que la manière dont laquelle il raconte ce qu’il ressent et avec ça nous voyons que ce sont des sentiments très forts et que ce souvenir a laissé une marque très grande. Nous pouvons voir aussi dans cet extrait des nombreuses hyperboles qui nous aident à comprendre ce qu’il sent et la grande marque comme « …ces moments me seront toujours présents quand je vivrais cent mille ans. », « Quand je lis les cruautés d’un tyran féroce, … », « …dussé-je cent fois y périr. » ou « … c’était la rigueur d’un châtiment effroyable pour un crime que je n’avais pas commis. ». Grâce a ces hyperboles on comprend le fort sentiment provoqué par cet épisode. Nous pouvons voir quand il dit que ce sentiment durera cent mille ans, que cet épisode représente quelque chose de très fort dans la vie de Rousseau et aussi quand il dit que c’est un châtiment effroyable et des cruautés d’un tyran, on comprend que même quand il n’a pas beaucoup souffert physiquement et même se ce n’a pas été un châtiment très fort, il a souffert la première injustice de sa vie et ça a laissé une marque. Ensuite nous pouvons voir que c’est avec c’est événement que Rousseau a découvert l’injustice grâce a quelques phrases et champs lexicaux. Par exemple quand il dit : « La fut le terme de la sérénité de ma vie enfantine. Dès ce moment je cessai de jouir d’un bonheur pur, et je sens aujourd’hui même que le souvenir des charmes de mon enfance s’arrête là. ». Ici on les champs lexicaux du bonheur (sérénité, bonheur pur, charmes) et de l’arrêt (cessai, s’arrête) et en trouvant ces deux champs lexicaux et les mettant ensemble on voit que c’es une enfance qui s’arrête. Rousseau se rend compte que dans la vie il y a des injustices et avec c’est événement il n’est plus si innocent qu’un enfant et c’est pour ca que ce souvenir est si marquant, c’est parce qu’il a découvert l’injustice pour la première fois. uploads/S4/ redaction-et-plan-detaille-peigne-les-confessions.pdf
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- Publié le Jui 20, 2022
- Catégorie Law / Droit
- Langue French
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