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BREST - QUIMPER 02 98 66 30 30 www.corser.fr La propreté de votre environnement professionnel BR850795 BR850875 OUEST. Les vingt-cinq dirigeants d’avenir Pages 16 à 19 Un dirigeant mal informé met son entreprise en danger Rendez-vous le 3 décembre... L’économie évolue le Journal des entreprises se réinvente RENTABILITÉ. Le top 20 en Finistère Page 26 Finistère 19, rue Jean-Macé - CS 91957 – 29219 Brest Cedex 1 – Tél. : 02.98.33.74.37 - Fax : 02.98.46.54.87 - jde.29@lejournaldesentreprises.com - www.lejournaldesentreprises.com Nº spécial Novembre-décembre 2010 4¤ AGRO, SERVICES… Les classements par secteurs Pages 27 à 30 Réalisation : Caroline Petit CLUBS ET RÉSEAUX. Plus de 50 contacts utiles en Finistère Pages 20 à 25 Ce top 500 dresse un pano- rama de l’économie dépar- tementale où s’entrecroi- sent PME-PMI, groupes régionaux, nationaux et multinationales. En voici la méthodologie. Pour réaliser ce classement exclu- sif, nous avons fait appel aux com- pétences de la société Éditorial & Régie, spécialisée notamment dans le classement des entreprises pour la presse économique, finan- cière et régionale. Basée à Paris, Éditorial & Régie est dirigée par Stéphane Demazure, journaliste professionnel fondateur de l’entre- prise. Éditorial & Régie est aujourd’hui un acteur reconnu de “l’externalisation” de contenu édi- torial pour la presse et compte par- mi ses clients des groupes de pres- se aussi prestigieux que Le Pro- grès, Le Télégramme, Challenges Les Échos ou Stratégies. Classements arrêtés au 31octobre 2010 Les entreprises présentes dans ce classement sont des sociétés dont le siège social est implanté en Ille- et-Vilaine. Leur recensement a été effectué grâce au concours de Coface Services (www.cofaceservi- ces.fr). Spécialisée depuis 30 ans dans la diffusion d’informations sur les entreprises (pour la prévention du risque et l’optimisation de bases de données marketing), Coface Ser- vices gère et diffuse une base de données exhaustive exploitant sys- tématiquement tous les gisements de la publicité légale. Nous avons ensuite sélectionné les 500 premiè- res entreprises d’après le critère du chiffre d’affaires réalisé en 2008 puis leur avons adressé un ques- tionnaire financier par courrier afin de récupérer les informations chif- frées relatives à l’exercice 2009. Pour les autres entreprises, les don- nées nous ont été fournies par la société Coface Services. Tous les classements ont été arrêtés au 31octobre 2010, ce qui signifie que ne sont retenues que les entre- prises dont les comptes ont été publiés avant cette date ou ayant répondu à notre enquête. Plusieurs Tops par secteur d’activité Pour une plus grande lisibilité, nous avons retenu plusieurs classe- ments : 1- Un classement tous secteurs confondus des 500 premières entreprises du département sur le critère du chiffre d’affaires HT réali- sé en 2009. 2- Des classements par secteurs d’activité (top 20 sur neuf sec- teurs) sur le critère du chiffre d’af- fairesHT réalisé en 2009. Les sec- teurs d’activités ayant été définis par la rédaction du Journal des Entreprises. 3- Un palmarès Rentabilité (top 20) sur le ratio résultat net 2009/chiffre d’affaires 2009 expri- mé en pourcentage. 4- Un top 20 Effectifs permettant de repérer les entreprises les plus pourvoyeuses d’emploi dans le département. NB : Une société et son groupe d’ap- partenance peuvent apparaître dans un même classement, même si les données du groupe sont consoli- dées. Nous avons en effet choisi de privilégier l’exhaustivité. Lej[fWh_dj[hd[j ekfWhYehh[ifedZWdY[ i[bedb[i99? 9j'*cdkZbWgZVj-Y‚XZbWgZ'%&% :aZXi^dch88>'%&% BR850181 LE TOP 500 DES ENTREPRISES DU FINISTÈRE Palmarès. Les 500 premières entreprises du département 2 le journal des ENTREPRISES Parler de sortie de crise serait exces- sif. Toutefois, c’est indéniable : l’an- née 2010 aura été moins difficile pour les entreprises du Finistère que l’an passé. « Fin 2009, les entreprises n’avaient pas grand-cho- se dans leur carnet de commandes. Là, il n’est pas encore garni mais l’amélioration est notable. En fait, les entreprises en difficulté en 2009, le sont aussi en 2010. Les entreprises saines repartent », ana- lyse Vincent Gorioux, du cabinet d’experts-comptable à Quimper. Un autre indicateur : en 2009, Oséo avait traité 612 dossiers dont la moitié au titre du plan de relance, notamment pour des garanties. « Un nombre colossal », se sou- vient Hervé Le Large, délégué Oséo pour le Finistère et le Morbihan. Aujourd’hui, c’est l’investissement qui redémarre. Pour 2010, l’activité d’Oséo continue à croître - 50 M¤ de risques pris à fin septem- bre2010 contre 42M¤ à la même période 2009 - « mais sur nos fonds traditionnels », remarque le délégué. C’est-à-dire l’aide à l’inno- vation, le développement à l’inter- national… « Nous avons eu beau- coup moins de demande de prêts de consolidation. » Le plus gros de la crise serait donc passé. Les entrepreneurs qui cher- chaient à créer ou reprendre une société ont cessé d’attendre. « Le marché s’est débloqué en 2010. Plus de transmissions ont abouti », détaille Hervé Le Large. Le Finistère connaît aussi une haus- se de demande de garantie. « Il y a deux interprétations à cette aug- mentation, indique le responsable d’Oséo. Soit il y a plus de projets de reprise et de création d’entreprise. Soit les banques font plus appel à notre garantie. Sans doute un mix des deux. » Oséo a en effet connu une augmentation de sa notoriété. Les banquiers ont acquis le réflexe Oséo. Petit à petit l’établissement public tend à perdre son image de banque de la crise pour retrouver celui de levier de développement. Autre signe plutôt positif : les factu- res aux clients. « Mon poste client avait progressé de 30 % en février2010 par rapport à l’année précédente. La situation s’est régu- larisée. Les clients payent aujourd’hui normalement », souli- gne Vincent Gorioux. Le secteur du bâtiment a souffert Il ne faudrait toutefois pas crier vic- toire trop vite. Les chiffres des tribu- naux de commerce ont à peine bais- sé par rapport à 2009. À Brest, entre janvier et août, 41 redresse- ments et 133 liquidations ont été prononcées contre respectivement 44 et 145 en 2009, sur la même période. C’est un peu mieux à Quim- per avec 53 redressements et 149 liquidations, entre janvier et octo- bre, contre 66 et 174, respective- ment. Et Oséo, continue son travail de consolidation. L’établissement compte 70 clients réguliers dans le Finistère. « Dont beaucoup dans le bâtiment, qui a fortement subi la crise », note Her- vé Le Large. « Nous n’en sommes pas sortis, Dans mon métier, les tré- soreries se tendent, ajoute Pierre Balland nouveau président de l’Union des Entreprises du Finistère et P-dg d’une société de bâtiment et de travaux publics à Pleuven. Beaucoup d’incidents de paiement sont constatés. D’ailleurs, les bilans ne sont pas bons. Si une grosse entreprise est en difficulté, elle en fragilise une autre. Et nous ne som- mes pas à l’abri des réactions en chaîne. » Le secteur du bâtiment reste donc fortement impacté par la crise, au moins pour les PME. Discours un peu plus nuancé du côté des artisans. Selon Patrick Leroux secrétaire général de la Capeb, l’année 2010 n’a pas été homogène. Le premier trimestre a été équivalent à celui de 2009. Au plan national et pour les entrepri- ses de moins de 20 salariés, on a enregistré - 6 % d’activité, - 11 % dans le neuf et - 2 % sur la rénova- tion. « Or, la rénovation est un mar- ché très important en Finistère. Cela représente une part non négli- geable du chiffre d’affaires des entreprises artisanales. Cela veut dire que les artisans ont résisté à la crise », juge le professionnel. Les carnets de commandes repren- nent un peu vie, même si le secteur avait perdu quelque 600 salariés en 2009. « On constate un ralentissement de la baisse », ajoute Patrick Leroux qui reste optimiste. La réglementa- tion thermique 2012 va débloquer des marchés pour le secteur de la rénovation. Pas d’effet de la crise sur DCNS en 2010. Grâce au cycle long, propre au sec- teur de la Défense, le grou- pe français devrait être en légère croissance à la fin de l’année. Entretien avec Chris- tian Laurent, directeur de DCNS Brest. Comment qualifier l’année 2010 pour vous et votre mar- ché? L’année n’est pas encore terminée, mais on peut déjà déterminer une tendance. Conformément à notre volonté de progresser, DCNS (NDLR. CA 2009 : 2,4 Md€; effec- tif : 13.0000 collaborateurs dont 2.800 à 3.000 personnes sur le site de Brest) fera mieux qu’en 2009. En 2010, le marché des navires militai- res est resté assez intense. Nous avons des prospects. Nous n’avons donc pas subi la crise. Notamment parce que les États font face à une problématique générale de sécurité des océans. Quels événements marquants pour DCNS en 2010? Il y a bien sûr le contrat décroché auprès de la Marine brésilienne. Il concerne quatre lots, dont deux intéressent plus particulièrement Brest avec la construction, à la fois d’un site industriel, d’une base navale et d’ateliers de maintenan- ce. Trente personnes à Brest sont déjà mobilisées. Il y a aussi eu la mise à l’eau de la 1re frégate Fremm à Lorient et l’in- cubateur des énergies marines renouvelables uploads/Finance/ 500-premieres-entrepr-29-jde 1 .pdf

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  • Publié le Nov 17, 2021
  • Catégorie Business / Finance
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