CHPITRE I INTRODUCTION AU CLIENT SERVEUR I. ORIGINE ET HISTORIQUE Dans un monde

CHPITRE I INTRODUCTION AU CLIENT SERVEUR I. ORIGINE ET HISTORIQUE Dans un monde ou la course à la productivité conduit les technologies à évoluer de plus en plus vite, le client serveur s’est taillé une part de choix depuis des années 1990. En effet, il faut pouvoir disposer de système d’information évolutif permettant une formation fructueuse entre les différentes entités de l’entreprise. Les systèmes des années 70 et 80 ne répondaient pas à cette exigence. 1. Avant 1980. Les architectures étaient centralisées autour des calculateurs centraux ; de type IBM et Bull. Les terminaux étaient passifs, les applications étaient souvent en Cobol, parfois en PL1 autour de fichiers ou de grande bases de données hiérarchique. La productivité des développeurs restait faible. La maintenance des applications étaient des plus difficiles. Il est difficile de migrer vers les technologies plus moderne. Beaucoup d’entreprise ou d’administration pense cependant au downsizing c’est-à-dire à remplacer leur citateur central par un ou plusieurs départementaux interconnectés à des stations de travail graphique de type PC par exemple. CLIENT/SERVEUR 2. Les années 90 Les réseaux occupent désormais une place centrale dans l’entreprise. Les vitesses de calcule des micros deviennent impressionnantes. Le graphique est partout au niveau des interfaces. Le besoin de partage des données est essentiel aussi bien pour l’accès transactionnel caractérisé par des mises à jours en temps réels que pour l’accès décisionnel marqué par des actions de requête complètes sur de gros volumes de données. Toutes ces raisons expliquent le développement autour des réseaux d’entreprise au serveur départementaux ouvert offrant des interfaces standard pour permettre la connectivité des outils micros. II. Caractéristiques de l’approche Qu’est-ce que le client serveur ? voilà une question difficile. C’est le fait d’un modèle d’architecture à la mode et assez large pour recouvrir les réalités distinctes. 1. Répartition hiérarchique des fonctions L’architecture client-serveur s’articule en général autour d’un réseau. Deux types d’ordinateurs sont interconnectés au réseau. Le serveur assure la gestion des données partagé entre les utilisateurs. Les deux communiquent par des protocoles plus ou moins standardisés. Les programmes applicatifs sont idéalement distribués sur le client et/ou le serveur afin de minimiser les coûts. 2. Définition Model d’architecture applicative où les programmes sont repartis entre processus client et serveur communiquant par des requêtes avec réponse. 3. Une grande diversité d’outils Le type de client-serveur que l’on étudie aujourd’hui est celui mise en œuvre pour réaliser les systèmes d’information des entreprises. Il comporte les composants suivants : Un système ouvert plus ou moins basé sur des standards publiés ou de fait pour réaliser les fonctions de base du serveur. Un SGBD s’exécutant sur le serveur, généralement basé sur le modèle relationnel de la base SQL. Des stations de travail personnel avec un interface graphique connecté au réseau par exemple : pc. Des outils et développement d’applications variés de plus en plus fréquemment construit autour d’une approche objet. Des logiciels de transports de requêtes associés aux SGBD indépendant. Des outils de conceptions, de déploiement et de maintenance pour permettre le suivi du cycle de vie des applications.  III. Pourquoi le client-serveur 1) Les contraintes de l’entreprise Les entreprises sont soumises à des contraintes de plus en fortes, aussi bien du monde extérieur que de l’intérieur de l’entreprise. Les contraintes externes sont imposées par les clients de plus en plus exigent, la compétition de plus en plus dure qui conduit à réduire le temps de passage d’un produit, de la conception à la vente. Plus précisément, il s’agit donc de :  Mieux satisfaire les clients, par exemple en leur présentant des informations consolidées et claires ;  Respecter les régulations en vigueur ;  Produire mieux et plus vite les nouveaux produits, de sorte à participer à la compétition active vers la nouveauté. Les contraintes internes se traduisent par les pressions sur les budgets, la difficulté à absorber les nouvelles technologies et un manque général de temps et de moyen. De ce fait, les ressources sont limitées, et les expérimentations avec les technologies modernes, souvent couteuses du fait du poids de plus en plus grand de l’historique, ils peuvent être mener à bien. Ainsi on observe dans la plupart des entreprises les problèmes suivants : Budget et ressources limité réduisant les capacités d’innovation et reprise de l’existant ; Capacité à absorber de nouvelles technologies limitées par les moyens humains et matériels, et par le poids de l’existant. Manque de temps des personnels les plus qualifiés. 2) Mieux maitriser le système d’information Une approche de solution au problème mentionné passe par une meilleure organisation du système d’information qui doit devenir plus intégrer, mais aussi plus évolutif. Ceux-ci nécessite tout d’abord, l’adoption de système ouvert, obéissant à des standards permettant le choix d’un grand nombre de produit sur le marché. Il faut donc à tout prix éviter les solutions s’enfermant sur un constructeur ou des développements ignorant les standards. 3) Prendre en compte l’évolution technologique Le client-serveur apporte une modularité des composants matériels et logiciels. Ceci permet d’intégrer facilement les évolutions technologiques. Par exemple l’usage des systèmes ouverts basé sur le standards, l’explosion de la puissance des micros (trafic, traitement, disc) permet de supporter efficacement le graphique au niveau de chaque station payant. 4) Réduire les coûts ? Le client-serveur permet une meilleure créativité de l’entreprise. Il améliore l’ouverture du système d’information et la productivité des développeurs. Il permet un déploiement plus rapide sur des architectures reparties hétérogènes. Les coûts du client-serveur sont discutés. Sont à prévoir :  Poste de travail locale à type pc ;  Réseau locale ;  Formation des développeurs ;  Technicien de maintenance réseau et pc ; En conséquence, le client-serveur apparait plus chère. CHPITRE 2 : L’architecture client-serveur I) Technique de dialogue c/s Le c/s est avant tout une technique de dialogue entre deux processus, l’un le client sous-traitant, et l’autre le serveur des fonctions à réaliser. 1) Notion de base Le modèle de communication c/s est orienté vers la fourniture des services par un processus serveur à un processus client. Un échange consiste donc à la transmission de la requête à un serveur, qui exécute l’opération demandée et envoi en retour la réponse. a) Notion de client(client) Processus demandant une exécution d’une opération à un autre processus par envoi d’un message contenant le descriptif de l’opération à exécuter en attendant la réponse par un message en retour. b) Notion de serveur(server) Processus accomplissant une opération sous demande du client et transmettant la réponse à ce client. c) Notion de requête (request) Message transmis par un client à un serveur décrivant l’opération à exécuter ou le compte du client. d) Notion de réponse (reply) Message transmis par un serveur à un client suite à l’exécution d’une opération contenant des paramètres de retour de l’opération. Client serveur Requête applicatio Réponse Senderquest receverquest Opération Applicatio n Receverreply senderply Dialogue c/s uploads/Finance/ client-amp-serveur.pdf

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  • Publié le Jan 07, 2022
  • Catégorie Business / Finance
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