Plan de travail Introduction Chapitre I : présentation de la BP RABAT KENITRA I

Plan de travail Introduction Chapitre I : présentation de la BP RABAT KENITRA I. Présentation de la succursale de SIDI KACEM II. Présentation de l’agence de SIDI KACEM Chapitre II : livret des taches effectuées Chapitre III : gestion du risque de crédit  INTRODUCTION Section 1 : l'analyse du risque de crédit I. les crédits accordés par la banque 1. Définition du crédit 2. Les différents types de crédits bancaires II. Le risque de crédit 1. Définition du risque de crédit 2. Typologies des risques de crédit 3. L'évaluation du risque de crédit Section 2 : La gestion du risque de crédit I. Généralités sur les moyens de se prémunir du risque de crédit 1. Les supports 2. Les garanties 3. Les clignotants II. La gestion externe du risque de crédit 1. Les institutions et les accords internationaux et Sous régionaux 2. Les fichiers III. La gestion interne 1. L'analyse traditionnelle 2. L'analyse portefeuille et les techniques modernes I. Introduction : Le secteur bancaire représente un pilier de l’économie nationale. En effet son évolution constatée est le fruit de la concurrence accrue entre les différents établissements, dont figure en leader la banque populaire riche de son savoir faire et son expérience de 50 ans et profitant de son image auprès des clients. C’est dans le but d’approfondir mes connaissances du domaine bancaire, et d’affiner mes acquis en finance que j’ai effectué un stage dans une agence de la banque populaire. Ce rapport établit une synthèse de toutes es taches effectuées durant ce stage et enseignements donnés par les employés de cette agence. Pour cela je vais tout d’abords donner en premier partie une présentation de la banque populaire en relatant son histoire et exposant son organisation administrative. Puis en deuxième partie, je vais tacher d’expliquer le fonctionnement de cette agence à travers ses opérations, ses produits et services. Présentation de la banque populaire Ce chapitre est un aperçu sur l’historique de la banque populaire et son organisation administrative La groupe banque populaire du Maroc est issu du principe coopératif basé sur la solidarité et la régionalisation il a connu une évolution continue qui est en corrélation avec celle de l’économie marocaine. Le GBP s’occupe non seulement des transferts des MDM, mais aussi de servir l’économie nationale , l’entreprise e le particulier local. D’ou vient la nomination de banque hybride qui assure un travail bancaire d’une part et joue un rôle social d’autre part. Historique du groupe banque populaire du Maroc: Trois phases essentielles caractérisent l’histoire de la BP d’abord la phase de complémentarité allant des années 60 jusqu’à mi 70.ensuite la phase de compétitivité qui se situe entre 1968 et 1978.enfin la dernière phase qui représente la banque populaire à l’heure actuelle c à d face à la mondialisation. La phase de complémentarité : Durant cette periode, la banque polaire ,alors semi publique ne concernait que l’artisanat,les petits commerces et les PME.les autres banques étaitent spécialisées dans d’autres activités ;la BMCE (les opérations d’import et d’export) ;le CIH(le secteur immobilier et hôtelier) ;la CNCA(le crédit agricole) ;ETC La naissance de lla banque populaire coîcide avec celle des OFS(organismes financiers spécialisés),et celle des banques privées telles que la BNP( à capitaux étrangers essentiellement). Parallèlement, la banque populaire bénéficiait de sa place monopolistique au sein du marché marocain. Ceci s »explique, d’une part par le fait d’être exonérée de tout impôt, ce qui n’est pas le cas pour les autres banques.et d’autre part,par la volonté d’attirer un maximum de capitaux étrangers. La phase de compétitivité Elle se caractérise par une ouverture massive des banques sur la marché .elle est marquée aussi par plusieurs événements à savoir la libéralisation du secteur bancaire, le désencadrement des crédits.etc. Les banques se sont donc inscrites, à partir, de là dans un contexte de libre concurrence qui les a incité à développer davantage leurs compétences et leurs savoir-faire. Elle se caractérise également par une décentralisation du système bancaire. Cette dernière avait pour but : - La disponibilité de l’information au niveau agence. - La réduction des circuits de traitement des adhérents. - La réponse immédiate aux réclamations de la clientèle. - L’allégement des services centraux de la banque centrale populaire et de la banque populaire régionale. La phase de la mondialisation : A l’heure actuelle on sait que les canaux d’information ne sont plus ce qu’ils étaient et que le réseau internet n’est plus un secret pour personne a ce propos on a pu voir que la banque populaire a mis en place des produits modernes lui permettant de s’inscrire dan la nouvelle ère. Parmi ces produits on trouve chaabi mobile et chaabi net permettant d’obtenir des informations relatives aux comptes des clients directement sur leurs boites électroniques ou sur eus GSM. Cependant l’ambition de la BP ne s’arrete pas là .elle compte atteindre l’objectif 2010 qui consiste au démantèlement des tarifs douaniers dans les meilleures conditions possibles. Introduction : Depuis de très nombreuses années, le risque de crédit est l'une des causes majeures de la volatilité des résultats des entreprises et des institutions financières. Comme toute entreprise, un établissement de crédit est exposé à une multitude de risques qui peuvent entraîner sa défaillance et sa faillite. Le risque de crédit est très important pour les banques, les émetteurs d'obligations et leurs investisseurs. Il est soumis à la fois aux cycles économiques, à la conjoncture du secteur d'activité, au risque pays et aux événements propres à la vie de l'entreprise. Il diminue en phase d'expansion économique, car les gains considérables engrangés par les entreprises durant cette période réduisent de fait la probabilité de défaillance ; il augmente en période de récession, car les gains diminuant, les entreprises se retrouvent plus souvent que d'habitude dans des difficultés pour rembourser leurs emprunts bancaires ou obligataires. Le crédit est une anticipation de recettes futures. Tout crédit comporte le risque que ces recettes ne se produisent pas et qu'aucun remboursement ou bien seulement un remboursement « particuliers » à l'échéance, Ce risque appelé risque d'insolvabilité est essentiel dans l'activité de la banque dont une des fonctions est la distribution de crédits. L'appréciation du risque d'insolvabilité est donc une première importance et on peut schématiser ainsi le comportement de la banque conférée à ce risque ; un crédit n'est accordé que si le banquier estime que la probabilité de remboursement excède celle de non remboursement. Comment apprécier la capacité d'un emprunteur à rembourser le crédit ? L'étude des documents financiers produits par l'emprunteur qui s'attache aux critères de liquidité ou de surface financière et envisage les perspectives de développement du demandeur est la méthode la plus utilisée. Cette méthode rencontre vite des limites. Comment apprécier le risque d'insolvabilité lorsque l'emprunteur est un simple particulier et qu'il ne peut fournir aucun bilan ou compte de résultat ? Avec le développement du marché des particuliers, cette question s'est posée de plus en plus fréquemment et l'insuffisance des renseignements concernant ces emprunteurs a conduit les banquiers à rechercher d'autres moyens d'appréciation du risque d'insolvabilité reposant sur des méthodes statistiques. Par la suite, le problème s'est naturellement pris d'étendre ces méthodes aux crédits à destination des entreprises. Enfin, la montée de l'endettement des pays en voie de développement ou de pays de l'Est au cour de la décennie soixante-dix a conduit les banques à étudier le risque-pays et à développer des instruments d'analyse de ce risque d'une nature tout à fait particulière. Ce présent mémoire constitue une recherche sur les méthodes de gestion de risque des crédits accordés par les établissements de crédit aux particuliers, aux entreprises. Dans ce cadre, ce mémoire se propose donc : Ø D'étudier dans une première partie l'analyse du risque de crédit en se basant d'abord en chapitre 1 les crédits accordés par la banque, puis en chapitre 2 énumérer brièvement le risque de crédit, en donnant la typologie des risques de manière générale et en fin en chapitre 3 nous essayerons de faire l'évaluation de ce risque de crédit selon les différents clients de la banque (particulier, entreprise) Ø De présenter dans une deuxième partie la gestion du risque de crédit. En chapitre 1 nous parlerons des généralités sur les moyens de se prémunir des risques de crédit, en chapitre 2 de la gestion externe du risque et en chapitre 3 de la gestion interne. Chapitre III : gestion du risque de crédit BP  INTRODUCTION Le risque est inhérent à toute activité humaine, notamment lorsqu'on fait des affaires. Dans les métiers de la banque, le risque est un élément que l'on vit au quotidien. En effet l'activité principale de la banque étant de distribuer du crédit, le risque de non remboursement est omniprésent. Le crédit est une opération récurrente surtout dans notre environnement où la liquidité est presque chose inexistante chez les clients (entreprise, particulier). En effet, ceux-ci ont toujours des besoins à satisfaire comme le financement de leur exploitation ; de leur consommation le paiement des salaires et impôts ; etc. Par conséquent la relation banque client s'exprime mieux dans les facilités c'est pourquoi la banque doit uploads/Finance/ rapport-de-stage 33 .pdf

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  • Publié le Nov 27, 2022
  • Catégorie Business / Finance
  • Langue French
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