La performance bancaire islamique : Alimshan Faizulayev (2011) a évalué la perf
La performance bancaire islamique : Alimshan Faizulayev (2011) a évalué la performance de la banque islamique empiriquement en utilisant différents ratios financiers. Selon leur résultat empirique, il a expliqué que les banques islamiques ont un avantage de l’imperfection du marché. En outre, il a constaté que les banques islamiques ont une faiblesse en termes de liquidité, des risques de concentration et d’efficacité opérationnelle. Rima Turk (2010) a analysé l’état concurrentionel dans les marchés bancaires islamiques et classiques en examinant la différence de la mesure de la rentabilité entre les deux banques. Notre modèle de travail est la CAMEL. Leurs résultats affirment que les banques islamiques allouent une grande quantité de leurs actifs pour financier des activités telles que, Mousharaka, Mudaraba et Ijara. En comparaison avec ses paires classique, le capital des banques islamiques est meilleur. Mona Esam Fayed (2013) a analysé et évalué la performance de la banque islamique et conventionnelle en Égypte. Il a utilisé 7 ratios financiers tels que la rentabilité, la liquidité, le risque de crédit et la solvabilité pour savoir qui des flux bancaire est plus performante que l’autre. Notre modèle d’étude est l’analyse du rapport pour calculer et interpréter les ratios financiers. Ainsi, le résultat indique la supériorité des banques conventionnelles par rapport aux banques islamiques en matière de la rentabilité. La banque islamique est relativement supérieure à la performance financière à celle des banques classiques fondées sur les intérêts. Hanif, Tariq, Tahir, et Momeneen (2012) ont analysé et comparé la performance de 22 banques classiques et 5 banques islamiques au Pakistan en utilisant des ratios financiers. Les indicateurs clés de la performance ont été exprimées en facteurs bancaires internes et externes. Le résultat de l’étude indique que les banques classiques fondées sur les intérêts sont meilleurs que les banques islamiques. Mais la rentabilité, la liquidité et la solvabilité des banques islamiques sans intérêt sont supérieures à celles des banques conventionnelles. Siraj et Pillai (2012) ont étudié la présence et la similitude de la croissance des indicateurs des performances des banques classiques et des banques islamiques dans la région du Conseil de coopération du Golfe (CCG). L’étude a sélectionné de six banques islamiques et de six banques classiques. Cette étude comparative a été réalisé sur la base des indicateurs de la performance tels que le ratio du bénéfice d’exploitation (REL), le taux de la marge nette (NPR), le retour sur actifs (ROA), le retour sur capital (ROCA) et le retour sur l’équité totale (ROE). Ainsi, ils ont conclu que les indicateurs de performance ont été influencés par les crises financières depuis 2007 pour deux banques. Alkassim (2005) a examiné la performance des banques islamiques par rapport aux banques conventionnelles dans la région du Conseil de coopération du Golfe (CCG). Il a étudié si les caractéristiques internes peuvent expliquer la différence de rentabilité entre les banques islamiques et les banques conventionnelles dans cette région au cours de la période 1997– 2004 selon la méthode du Moindre carré ordinaire (MCO). Les résultats indiquent que les banques classiques ont été moins rentables que les banques islamiques car les ratios du fond propre de celle-ci sont plus élevés. En outre, les résultats montrent que les dépôts des clients ont un impact plus négatif sur la rentabilité des banques islamiques que sur la rentabilité des banques classiques. Elsayed Elsiefy (2013) a essayé d’examiner la performance des deux groupes des banques en utilisant 18 ratios financiers classés à cinq ratios financiers pour mesurer la performance spécifique liée à la rentabilité, la qualité des actifs, l’efficacité, la liquidité et de la solvabilité. Nos résultats indiquent que les indicateurs d’efficience montrent que les banques conformes à la Charia étaient plus efficaces dans l’utilisation des actifs que les banques conventionnelles. En outre, les indicateurs de liquidité révèlent que les banques islamiques sont moins liquides que leurs homologues. Enfin, les indicateurs du risque montrent que les banques islamiques sont plus adéquatement capitalisées et moins endettés que les banques classiques sma et al. (2014) ont examiné la performance des banques islamiques par rapport aux banques classiques au cours de la récente crise financière dans 18 pays de l’organisation de la conférence islamique. C’est la première étude qui examine l’efficacité des banques islamiques par rapport aux banques conventionnelles en utilisant deux analyses d’efficacité : l’analyse d’enveloppement des données (DEA) et l’analyse stochastique exploratoire (SFA). Les résultats qui ont été basés sur DEA et SFA indiquent que les banques classiques sont plus efficaces que leurs homologues islamiques. Une autre étude de Hajer (2014) a examiné l’effet de la crise financière de la performance des 43 banques islamiques dans 10 pays de la région de Moyen Orient et Afrique du Nord durant la période (2005–2010). Les résultats montrent que les institutions financières islamiques ne sont pas immunisées contre les effets de la crise financière mondiale, mais elles indiquent également que la rentabilité et la liquidité des banques islamiques en Conseil de coopération du Golfe (CCG) ont diminué d’une manière drastique après la crise. Les banques islamiques dans les pays autres que les pays du Golfe étaient efficaces et plus rentables par rapport au pays du Conseil de coopération du Golfe. Ben Khediri, Charfeddine, et Ben Youssef (2015) ont examiné si les ratios financiers peuvent être utilisés pour mesurer et comparer la performance des banques islamiques par rapport aux banques conventionnelles. Selon cette étude, nous devrons avoir si les ratios financiers ont bien analysé et évalué des performances des banques islamique par les tests du panel, puis nous testerons la validité des hypothèses par l’analyse de la régression linéaire multiple des variables dépendantes et indépendantes à condition que la valeur de p ≤ 5 %. El Massah et Al-Sayed (2015) ont analysé et comparé les performances des banques islamiques par rapport aux banques conventionnelles aux États Arabes Unis en utilisant l’analyse des ratios financiers, pour savoir lequel des flux bancaires fonctionnent mieux que l’autre. Ils ont utilisé des données de panel pour les banques islamiques et conventionnelles au EAU au cours de la période (2008–2014), pour tester statistiquement la performance des 11 banques classiques et 5 banques islamiques. Les ratios financiers sont estimés à partir des rapports annuels et des états financiers, pour mesurer la performance est représentée par la rentabilité, la liquidité, la solvabilité et le risque de crédit. Les résultats de l’étude indiquent la supériorité des banques classiques par rapport aux banques islamiques concernant la rentabilité, la gestion du risque de crédit ainsi que la solvabilité. Selon cette étude, nous proposerons d’ajouter d’autres ratios financiers pour répondre à l’objectif de notre recherche. De plus, nous utilisons un autre échantillon et une autre période plus grande pour obtenir des résultats plus robuste. Hamidah et Mohd Sharrizat (2016) ont analysé la rentabilité des banques islamiques par rapport aux banques conventionnelles en Malaisie. Ils ont utilisé dans leur étude le modelé t-test, la régression et la corrélation. Ainsi, les données sont collectées à partir de la Bursa Malaisie et le site Web de la banque en Malaisie. Selon cette étude, nous devrons ajouter autres ratios financiers pour répondre à la problématique de notre étude. Dans cette étude, les chercheurs ont conclu que les banques islamiques sont plus rentables que les banques classiques alors que total prêt par rapport au total d’actifs pour la banque islamique est plus élevé que la banque conventionnelle. Selon le test de corrélation, le rendement sur les capitaux propres a une influence de la rentabilité des banques conventionnelles. Mais, la relation de rendement sur les actifs et sur les capitaux propres pour les banques islamiques, sont significatifs avec la variable indépendante qui est le total des capitaux propres par rapport au total des actifs. Muhammad et al. (2016) ont analysé empiriquement l’efficacité des banques islamiques, les branches islamiques appartiennent aux banques conventionnelles et les banques conventionnelles au Pakistan. Ils ont utilisé dans leur étude l’analyse d’enveloppement des données pour mesurer et comparer l’efficacité des banques. Ainsi, Trois mesures de l’efficacité, telles que l’efficacité technique totale, l’efficacité technique pure et l’efficacité de l’échelle sont calculés pour atteindre notre objectif. Les résultats montrent que les banques islamiques sont moins efficaces en matière d’efficacité technique totale et d’efficacité technique pure que les banques conventionnelles. Mais, les filiales islamiques qui appartiennent aux banques conventionnelles sont très efficaces que leurs homologues. Mohammad (2016) a analysé la performance financière des trois banques islamiques du Bangladesh sur une période de huit ans (2007–2014). Cette étude utilise une analyse de l’approche CAMEL. Il a constaté que les banques islamiques au Bangladesh sont satisfaisants à tous égards à savoir : la suffisance du capital, la qualité des actifs, la qualité de la gestion, aussi, ils ont gagné des conditions de capacité et de liquidités. Ameenullah, Saqib, et Imtiaz (2016) ont évalué et comparé les performances des banques conformes à la charia avec leurs homologues classiques au Pakistan. En outre, ils ont comparé les mesures d’efficacité du marché des banques islamiques avec celles des banques conventionnelles. Sur la base des ratios financiers de deux types de banques, ils ont montré que le modèle d’affaires des banques islamiques uploads/Finance/ revue-litterature.pdf
Documents similaires







-
20
-
0
-
0
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise- Détails
- Publié le Nov 04, 2022
- Catégorie Business / Finance
- Langue French
- Taille du fichier 0.3970MB