Placements à revenu fixe Présentation Placements à revenu fixe Présentation Oct
Placements à revenu fixe Présentation Placements à revenu fixe Présentation Octobre 2009 2 Mise en garde à l’égard des énoncés prospectifs Mise en garde à l’égard des énoncés prospectifs De temps à autre, la Banque fait des énoncés prospectifs, écrits et verbaux, y compris dans le présent document, d’autres documents déposés auprès des organismes de réglementation canadiens ou de la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis et d’autres communications. En outre, la haute direction de la Banque peut faire des énoncés prospectifs de vive voix aux analystes, aux investisseurs, aux représentants des médias et à d’autres personnes. Tous ces énoncés sont faits conformément aux dispositions d’exonération de la Private Securities Litigation Reform Act of 1995 des États-Unis et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables. Les énoncés prospectifs comprennent, entre autres, des énoncés concernant les objectifs et les cibles de la Banque pour 2009 et par la suite, et ses stratégies pour les atteindre, les perspectives pour les unités fonctionnelles de la Banque, ainsi que le rendement financier prévu de la Banque. Les renseignements prospectifs contenus dans le présent document visent à aider les actionnaires et les analystes à comprendre notre situation financière aux dates précisées et pour les périodes terminées à ces dates, ainsi que nos priorités et nos objectifs stratégiques, et pourraient ne pas convenir à d’autres fins. Les hypothèses économiques pour 2009 à l’égard de la Banque sont énoncées dans le rapport annuel 2008 à la rubrique « Sommaire et perspectives économiques » et pour chacun de nos secteurs d’exploitation aux rubriques « Perspectives et orientation pour 2009 » Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes et expressions comme « croire », « prévoir », « anticiper », « avoir l’intention de », « estimer », « planifier » et « pouvoir », et de verbes au conditionnel. De par leur nature, ces énoncés nous obligent à formuler des hypothèses et sont assujettis à des risques et incertitudes, généraux ou spécifiques. Particulièrement à la lumière du contexte financier et économique actuel sans précédent, de tels risques et incertitudes peuvent faire en sorte que les résultats réels diffèrent considérablement de ceux avancés dans les énoncés prospectifs. Certains des facteurs ‒ dont bon nombre sont hors de notre contrôle et dont les répercussions peuvent être difficiles à prévoir ‒ qui pourraient entraîner de tels écarts incluent les risques, notamment de crédit, de marché (y compris les marchés des actions et des marchandises), d’illiquidité, de taux d’intérêt, d’exploitation, de réputation, d’assurance, de stratégie, de change et de réglementation ainsi que les risques juridiques et les autres risques présentés dans le rapport annuel de 2008 de la Banque et d’autres documents déposés auprès des organismes de réglementation du Canada et auprès de la SEC; les conditions économiques générales au Canada, aux É.-U. et dans d’autres pays où la Banque exerce des activités, de même que l’incidence des modifications apportées aux politiques monétaires ou économiques dans ces territoires ou l’introduction de nouvelles politiques monétaires ou économiques et les variations des taux de change des monnaies ayant cours dans ces territoires; le degré de concurrence sur les marchés où la Banque exerce ses activités, de la part des concurrents établis et des nouveaux venus; les défaillances de la part d’autres institutions au Canada, aux É.-U. ou dans d’autres pays; la précision et l’intégralité des informations que la Banque recueille à l’égard des clients et des contreparties; la conception et le lancement de nouveaux produits et services sur le marché; la mise sur pied de nouveaux canaux de distribution et la réalisation de revenus accrus tirés de ces canaux; la capacité de la Banque de mener à bien ses stratégies, y compris ses stratégies d’intégration, de croissance et d’acquisition, ainsi que celles de ses filiales, particulièrement aux États Unis; les modifications des conventions (y compris les modifications comptables à venir) et méthodes comptables que la Banque utilise pour faire rapport sur sa situation financière, y compris les incertitudes associées aux hypothèses et aux estimations comptables critiques; les changements apportés à notre notation; l’activité sur les marchés financiers mondiaux; l’augmentation des coûts de financement de crédit causée par l’illiquidité des marchés et la concurrence accrue pour l’accès au financement; la capacité de la Banque de recruter des dirigeants clés et de les maintenir en poste; la dépendance à l’égard de tiers relativement à la fourniture de l’infrastructure nécessaire aux activités de la Banque; le défaut de tiers de se conformer à leurs obligations envers la Banque ou ses sociétés affiliées dans la mesure où ces obligations sont liées au traitement de renseignements personnels; l’évolution de la technologie; l’utilisation inédite de nouvelles technologies dans le but de frauder la Banque ou ses clients et les efforts concertés de tiers disposant de moyens de plus en plus pointus qui cherchent à frauder la Banque ou ses clients de diverses manières; l’évolution des lois et des règlements, les modifications des lois fiscales; les procédures judiciaires ou réglementaires imprévues; l’incidence néfaste continue des litiges dans le secteur des valeurs mobilières aux É.-U.; les changements imprévus dans les habitudes de consommation et d’épargne des consommateurs; l’adéquation du cadre de gestion des risques de la Banque, y compris le risque que les modèles de gestion des risques de la Banque ne tiennent pas compte de tous les facteurs pertinents; l’incidence possible sur les activités de la Banque des conflits internationaux, du terrorisme ou de catastrophes naturelles comme les séismes; les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou internationales; et les retombées des perturbations dans les infrastructures publiques comme le transport, les communications, l’électricité ou l’approvisionnement en eau. Une part importante des activités de la Banque consiste à faire des prêts ou à attribuer des ressources sous d’autres formes à des entreprises, des industries ou des pays. Des événements imprévus touchant ces emprunteurs, industries ou pays pourraient avoir une incidence défavorable importante sur les résultats financiers, les activités, la situation financière ou la liquidité de la Banque. La liste qui précède n’est pas une liste exhaustive de tous les facteurs de risque possibles et d’autres facteurs pourraient également avoir une incidence négative sur les résultats de la Banque. Pour de plus amples renseignements, se reporter à la section débutant à la page 64 du rapport annuel 2008 de la Banque. Le lecteur doit examiner ces facteurs attentivement avant de prendre des décisions à l’égard de la Banque et ne doit pas se fier indûment aux énoncés prospectifs. Tout renseignement ou énoncé prospectif contenu dans le présent document représente l’opinion de la direction uniquement à la date des présentes. La Banque n’effectuera pas de mise à jour des énoncés prospectifs, écrits ou verbaux, qui peuvent être faits de temps à autre par elle ou en son nom, à l’exception de ce qui est exigé en vertu des lois sur les valeurs mobilières applicables. 3 Contenu Contenu Système économique et financier au Canada Vue d’ensemble du Groupe Financier Banque TD Portefeuille de prêts Gestion de la trésorerie et du bilan Annexe 4 Pourquoi l’économie est en meilleure posture au Canada Pourquoi l’économie est en meilleure posture au Canada Une des dix économies les plus concurrentielles1 Le système bancaire le plus solide du monde1 L’économie canadienne s’est démarquée depuis dix ans. ̶ Croissance annuelle moyenne du PIB réel de 3,13 % de 1997 à 2008 ̶ L’économie canadienne commence à montrer des signes de reprise. La correction du marché de l’habitation n’a pas été très prononcée au Canada. ̶ Des pressions cycliques, et non structurelles, sont exercées sur l’immobilier au Canada. ̶ Le marché canadien se redresse depuis le début de l’année. Le taux de chômage restera sans doute en deçà des sommets précédents. Meilleure situation financière parmi les pays industrialisés du G-7 ̶ Déficits prévisionnels les plus bas ̶ Niveau d’endettement global le plus bas Source : Services économiques TD 1. Rapport sur la compétitivité mondiale de 2008-2009 du World Economic Forum. 5 Solidité du système financier au Canada Solidité du système financier au Canada Solides banques de services au détail et aux entreprises ̶ Pratiques prudentes en matière d’octroi de prêt ̶ Les principaux fournisseurs de services de gros appartenant à des banques canadiennes, leurs radiations peuvent être absorbées par les bénéfices provenant des activités de détail, qui sont stables. Interventions du gouvernement et de la banque centrale ̶ Politiques et programmes proactifs pour faire en sorte que le système conserve une liquidité adéquate. Système de réglementation judicieux ̶ Réglementation fondée sur des principes plutôt que sur des règles ̶ Un seul organisme de réglementation pour toutes les grandes banques ̶ Règles prudentes en matière de capital et des exigences plus strictes que les normes mondiales ̶ Exigences en matière de capital fondées sur l’actif pondéré en fonction des risques Le système bancaire le plus solide du monde1 1. D’après le Rapport sur la compétitivité mondiale de 2009-2010 du World Economic Forum. 6 Canada É.-U. Produit Gamme de produits traditionnelle : taux fixe ou variable Les prêts hypothécaires uploads/Finance/2009octfixed-inc-pres-fre.pdf
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- Publié le Oct 04, 2021
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