Economie Internationale Les entreprises ont un territoire qui est mis dans un p
Economie Internationale Les entreprises ont un territoire qui est mis dans un pied d’escale, l’entreprise n’est pas un acteur anodin, être une institution qui sculpte. C’est un système de l’Economie mondiale (30 glorieuses), les entreprises structurent l’économie mondiale pour être dans un système global. Les stratégies appellent une politique publique comme étant le produit, nous connaissons un changement. Introduction : le mythe de l’entreprise A quoi servent les économistes ? L’économique se justifie dans une économie de rareté, comme un postulat et va donner une légitimité. C’est une rareté de ressources : matériels, de B&S, mais aussi financières, monétaires, informations, de travail de territoire, espace, de demandes d’offres. Ce qui nous intéresse c’est la rareté d’entreprise. Les entreprises se structurent les restructurations qui sont depuis les années 80 qui dit restructuration dit contrainte. CQ : toutes les raretés peuvent engendrer des frustrations, et conflit d’usage de ces produits rares car on ne peut pas se subvenir comme on le souhaite. L’existence de rareté nous mène à la guerre. Les économistes vont répondre à cette question : comment passer d’une économie de rareté à une économie d’abondance. Quand on parle de rareté, cela signifie à une guerre et l’abondance se réfère) la paix. Pour répondre aux demandes : - Pour ce fait, il faut le recours à la croissance économique qui a pour mission à faire augmenter les ressources. La croissance économique c’est une source de richesse donc nous sommes dans une économie croissante, qui dit croissance économique, dit une croissance de productivité. - La répartition des ressources : il n’y a pas suffisamment de ressources car elles sont males gérées, mal organisée et il y a des inégalités, donc il faut savoir comment allouer ces différences et diminuer ces raretés. - Le progrès technique c’est un élément qui peut libérer de tout élément contraignant et va permettre d’accroitre la démographie. Les raretés d’entreprise s’accentuent depuis les années 80. Il y a donc des restructurations externes et internes (silencieuse = mobilité du facteur de travail). Les raretés risquent de créer des inégalités territoriales et de là, naissent des attractivités territoriales (délocalisations…). C’est un moyen est d’attirer les entreprises et de les séduire. Durant les années 70, elle est singulière car nait une organisation structurelle qui va altérer l’image de l’entreprise et de répondre aux préoccupations dont les politiques budgétaires, monétaires et sont devenus obsolètes, l’état, le politique perd une partie de légitimité, les outils sont de + en + obsolètes et ne permettent pas d’atténuer les raretés. Le entreprises vont se substituer à l’état. Les politiques d’attractivité se developpent de + en +dans un contexte car les politiques traditionnelles sont devenus obsolète. L’état va permettre de sa légitimité. C’est l’état central et les régions, les départements, les conseils générales, la commune. Attirer les entreprises est dangereux, la partie visible c’est l’activité en elle-même et donc va engendre la création d’emploi mais une entreprise n’est pas que visible. Il y a une partie invisible qui est négligée par les politiques et les économistes. Les CQ d’implantations peuvent être nuisible. On ne sait pas ce qui se passe réellement à l’intérieur de l’organisation et de l’entreprise. Il faut être au-delà de la partie visible. La partie invisible c’est les normes. L’entreprise produit des normes de consommations et productions : - Normes de productions : la production c’est la façon de produire des auto par exemple, l’entreprise donc a une organisation de travail. Donc elle introduit des mécanismes et les personnes qui y travaillent doivent adopte ces normes introduit. L’ensemble des facteurs va être touché. Une entrepris va diffuser une norme donc à normaliser ou à formater avec ceux qui souhaitent travailler dans l’entreprise. C’est donc cela va donner un impact sur la commune ou s’installe l’entreprise. - Normes de consommations : une entreprise fabrique un type de produit ou de biens, le marketing va aider et va contribuer à la consommation des individus. Le marketing va introduire les objectifs et va influencer les normes de consommation. Aujourd’hui la norme de consommation est multiple. La part des électroménagers tend à baisser donc une entreprise donc une entreprise contribue et affecte le territoire. Elles produisent les conventions notamment sociales : les jeux de pouvoir pour atteindre un objectif. Une production de croyance peut être dans une entreprise. Ex : Peugeot est rythmé à une certaine croyance du père en fils, il y a l’histoire qui diffère d’une entreprise à une autre. Les savoirs faires détenus par les salariés diffèrent. Si on est dans un territoire concurrentiel avec beaucoup d’entreprises, les compétences de l’entreprise doivent être complémentaires avec ceux du territoire. Les compétences s’agrègent les uns aux autres. Les parties locales font attention de + en + à cette partie invisible. Une entreprise laisse une empreinte sur le territoire mais elle est négligée. I. De la firme multinationale… 1- Le système de l’Economie Mondiale (SEM) Le SEM date du 1945, il est composé es EU, UE (CEE), le Japon. C’est la triade. Pour avoir un système, il y a des interactions entre ces pays : commerciale, productive, financière, technologique. - Commerciale : les M et X de marchandises - Productives : est révélée par d’important flux des investissements directs : l’existence des firmes multinationales - Financières : flux financiers enter les 3 pays à travers des prêts et de leur octroi - Technologique. CQ : il y a des effets de polarisation, 75% du commerce mondial se font entre ces 3 pays. Donc c’est la ou il y a les demandes. Les FMN s’implantent dans les pays dit développés (source LEREM : 83% des filiales des FMN sont implantés dans ces pays. Donc ce sont les pays d’accueil les + élevé, polarisation dans la triade, les banques suivent leurs clients donc s’implantent à la triade et elles empruntent à la riche essentiellement, même chose pour le domaine de technologie. Tout passe comme si nous étions dans un système de développement autocentré, on commerce entre nous (= pays développés). Le corollaire : la triade n’est pas dans sa globalité de toute. Il y a l’exclusion des pays sous-développés qui sont à la marge et même les pays de l’Est par rapport au système d’économie Mondial. C’est un bloc hétérogène. Certains pays sous-développés « fleurtent » avec les autre entreprises. Ce sont les NPI (=1ère génération avec Hong-Kong, Singapour, Taiwan) les NPI (=2ème génération avec la Malaisie, l’Indonésie, les Philippines, Thaïlande, Brésil, Mexique, Argentine), NPI (= 3ème génération composé essentiellement des pays intermédiaires = pays d’Afrique du nord avec l’Algérie, Nigeria, la Tunisie, Maroc, et les PMA (Pays Moins Avancés). On prend en considération le degré d’implantation dans les 4 domaines, dimensions. Les pays de l’Est sont la RDA, la Yougoslavie, Hongrie, URSS, Roumanie, Bulgarie, Albanie les plus proches au SEM. Les points forts : avoir une cartographie et les points faibles : les 4 points ne sont pas forcements pertinents mais elle est très et purement économique. S.LATOUCHE : « effectivement l’Afrique du chiffre, de l’économiste, se meurt » : il y a une autre Afrique qui n’est pas visible et lisible par les outils des économistes, dans les secteurs informels, qui ne sont pas comptabilisés, car il y a une production de richesses mais faut-il avoir le temps pour bien voir les pays de plus prêt. Pourquoi y a-t-il cette autocentré sur la triade ? => la nature est le mode de production dans le SEM. a. Mode de production et bien singulier et intensif Qu’est-ce que la croissance intensive ? ≠ à une croissance intensive. Croissance extensive : on constate une demande est double et pour répondre aux demandes, l’entreprise va doubler les matériels et les salariés X2. Il y a une absence de productivité de travail donc X2 les facteurs de travail et capital. Donc de gain de productivité. Cette croissance est très théorique à l’époque, à l’extérieur de la triade dans les pays sous-développés. A part cette catégorie, il y avait les pays de l’Est qui avaient une croissance fondée sur la croissance extensive. Les gains sont très faibles. La grande limite de cette croissance c’est la rareté. Il faut toujours + au niveau de la main d’œuvre et matériels. Leurs taux (dans ces pays de l’Est) de travail était bien élevé, il était beaucoup + progressif. Croissance intensive : c’est celle qui se traduit par la productivité, trouver une solution sans multiplier les matériels et les mains d’œuvre donc c’est avoie des produits de progrès technique dans ce sens c’est produire plus avec moins de moyens. Cette méthode est tirée du taylorisme. Ce système s’est diffusé à la triade (=parcellisation des tâches : division horizontale et la division verticale. Cet OST par son mécanisme, l’entrepreneur est avant c’est Ford en 1913 pour assembler la Ford T. L’objectif initial de Taylor et Ford et d’avoir des travailleurs pas qualifiés C’est un problème de rareté, pour fabriquer ils avaient besoin de salariés au début du 20ème siècle. Les individus sont toujours en corporation. Afin de retrouver une solution par rapport à cette rareté Ford uploads/Finance/cours-economie-internationale-cm.pdf
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- Publié le Fev 28, 2021
- Catégorie Business / Finance
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