Université de REIMS CHAMPAGNE-ARDENNE UFR Lettres et Sciences Humaines, Départe

Université de REIMS CHAMPAGNE-ARDENNE UFR Lettres et Sciences Humaines, Département de Psychologie École Doctorale Sciences de l’Homme et de la Société THÈSE Pour obtenir le grade de Docteur de l’Université de Reims Champagne-Ardenne Discipline : Psychologie Sociale par Camille Amoura Date de soutenance : le 5 décembre 2013 La place et le rôle du « Contrôle » dans la Théorie de l’Autodétermination Directrice de thèse Madame Sophie Berjot Jury Nicole DUBOIS, Professeur Emérite de Psychologie Sociale et Expérimentale, Université de Lorraine, rapporteur. Paul FONTAYNE, Professeur de Psychologie du Sport (STAPS), Université de Paris X, rapporteur. Patrick MOLLARET, Professeur de Psychologie Sociale, Université de Reims, Président du Jury. Sophie BERJOT, Maître de Conférences Habilitée à Diriger des Recherches, Université de Reims. 2 À Eloïse Delepine... 3 Remerciements Je souhaite adresser mes premiers remerciements aux membres du Jury qui ont accepté d’expertiser mon travail. Ainsi, Professeur Paul Fontayne, Professeur Nicole Dubois, Professeur Patrick Mollaret, et Docteur Julie Boiché – Maître de Conférence à l’Université de Montpelier –, merci beaucoup pour votre disponibilité. Cette thèse est une étape importante de ma vie. Statistiquement parlant, je n’étais pas destiné à devenir qui je suis aujourd’hui. Mais j’ai eu la chance (certain(e)s diront le mérite) de rencontrer les bonnes personnes aux bons moments, et j’y suis arrivé. Si j’aime la recherche scientifique aujourd’hui, c’est grâce à toi, Sophie Berjot, qui a joué le rôle de directrice de thèse, mais aussi d’amie dans les moments les plus difficiles. Que ces lignes ancrent à jamais l’infinie reconnaissance que j’ai à ton égard. Personne ne pourra jamais comprendre jusqu’où tu m’as emmené. Je suis ton Samouraï. Je pense aussi à Guillaume Dupin et à Coline Dupin-Berjot. Merci pour votre patience et vos sacrifices. Je n’ai pas les mots suffisants… Coline, fais-moi le plaisir d’aller « jouer sur l’autoroute avec une bouteille de gaz ! Pense à mettre des clous dedans… ». Bien sûr, en écrivant ces lignes je pense à mes parents. Si je suis un homme aujourd’hui, c’est grâce à toi, Jean-Paul Ramillon. Tu es tout pour moi. Tout le monde le sait et je parlerai de toi jusqu’à mon dernier souffle. Tu es un homme de l’ombre, discret, dont les qualités ne sont reconnues que par les spécialistes de la pédagogie ou du Judo. Que le monde entier sache ce que tu as fait de moi. J’ai appris auprès de toi la pédagogie, le dépassement de soi, le contrôle de moi-même, la curiosité scientifique, … Sans toi, tout le monde sait qui je serais devenu. Julien Ramillon, tu es un frère en or et je suis content voir la famille s’agrandir. Carole, il te faudra me supporter encore quelques soirées. Tu sais de qui nous tenons cet art du monologue… Farroudja Amoura, maman, tu ne finis pas ta vie comme tu l’as commencée et c’est ma plus grande satisfaction. Je me suis toujours senti en mission pour toi, jamais je n’ai baissé les bras et jamais je ne le ferai. Je me souviens de ce soir où tu m’as forcé à travailler sous la lumière du couloir de l’entrée. Grâce à cette expérience, j’ai appris à me concentrer et à apprendre, en prenant mon temps, avec humilité. Tu es ma motivation, ma raison de vivre. Jean-Paul et toi avez fait des sacrifices, aujourd’hui voyez par vous-même, soyez fiers. 4 Nadia, tu es ma plus grande complice. Je suis si heureux que Julien Schmitt ait rejoins ta vie, notre famille… Julien, tu m’es très cher. J’apprends beaucoup de vous (surtout de Julien parce que toi tu restes une « bonne femme »). Vous pouvez compter sur moi pour Callie. Je t’aime, je vous aime si fort que les mots me manquent. Je profite de ces quelques lignes pour saluer Philippe Schmitt dont je ne cesserai d’apprécier la gentillesse. Kahina, c’est aussi en te regardant que j’ai appris à travailler, à raisonner scientifiquement et je t’aime fort. Merci pour ton soutien, ta réactivité, ta gentillesse et ta patience. Armand Seguin, sache que peu de gens t’ont connu réellement. Chacun de tes enseignements résonne en moi. Si j’avais concrétisé mon choix de m’engager dans le GIGN, j’aurais aimé t’avoir comme capitaine. Sébastien Denis et Franck Dufour donneront ton nom au Dojo du Lycée Lyautey, mon premier salut dans la salle te sera consacré. Sébastien Daubenton, j’aurais pu te suivre dans ta carrière de musicien, mais j’ai choisi une autre voie. Comme tu le vois, je n’ai pas fini dans le sport non plus. Toujours est- il que je ne sais comment te remercier pour tout ce que tu as fait pour moi. Parmi les poètes inconnus, les musiciens ignorés injustement, tu es en tête de ma liste. Tu as fait de ta vie une œuvre d’art et la philosophie que j’ai tirée de notre amitié guide toujours mes pas. Tu es un frère. Aurélien Bastian, toi aussi tu es un frère. Sans toi, je n’aurais pas fini mes études. Sur le tapis, au tir, à la maison, partout où j’ai vécu avec toi, j’ai toujours été surpris par ton intelligence, tes capacités artistiques, tes talents de cuisinier, tes talents de pédagogue, ta patience et le contrôle que tu as de toi-même (même quand je piquais tes saucissons…). Je suis très heureux de voir Marie Leloup à tes côtés. Si une deuxième famille est mienne, c’est bien toi, Jacky, Éliane et Séverine qui en êtes les membres. Sans vous, je ne serais pas non plus devenu qui je suis aujourd’hui. J’ai appris la rigueur auprès de Jacky, l’infinie générosité auprès d’Éliane et l’humilité auprès de Séverine. Mon amour pour vous est indéfectible. Désirée Brossat, vous-êtes partis trop tôt de Chaumont. J’ai gardé contact avec Aurélien et mon plus grand souhait est de vous voir au plus vite. Dire tout ce que je vous dois à Jean-Yves, Aurélien et toi, mettrait mal à l’aise les lecteurs de ces présents remerciements. Jamais je ne cesserai de t’aimer. Jamais. Car avant que j’aie la chance de rencontrer Jean- Paul, c’était vous… 5 Dr. Prosper Kadiyogo, tu m’as sauvé la vie. J’espère être le même homme que toi dans une dizaine d’année. En plus d’être un médecin humain, tes talents de psychologues sont tels que beaucoup d’étudiants progresseraient cent fois plus vite en te consultant. Si j’ai appris le métier de psychologue auprès de Sophie et de Christophe Dias-Soares, tu es pour moi un modèle à suivre en matière d’écoute et d’intelligence. Chez toi c’est calme, objectif, plein d’espoir, de réussites, de progrès… Merci pour tout. Christophe Dias-Soares, comme je viens de le dire, tu m’as appris le métier. Tu as aussi été un tremplin spectaculaire dans ma vie. Auprès de toi, j’ai appris à travailler avec déontologie et sérieux. Je suis devenu Psychologue après ma formation avec toi, et je me perfectionne grâce à nos interactions. Autour de moi, tout le monde t’aime, mais beaucoup moins que moi… Je profite de l’occasion pour remercier Didier Eple pour ton ouverture d’esprit et ta gentillesse. Merci également à toi Christelle, tu m’as fait confiance, et je t’en remercie. Sylvain Caruana, tu es mon ami. Que dire… Clarence Garcia, tu es aussi une amie. Ceux qui vous connaissent comprendront ma difficulté à trouver les bons mots. Merci pour tout. Tom Barrer et Dr. Julia Simon, merci également pour les riches discussions que nous partageons. Tom, tu es le garçon le plus intelligent, le plus sportif, le plus artiste, le plus pédagogue et le plus marrant que je connaisse. Porter autant de qualités est rare. Julia, tu portes le titre de Docteur en Médecine et je rêve de te voir devenir aussi grande que Prosper. Les filles comme toi sont rares et sache que tu comptes beaucoup pour moi. Stéphane Valcroze et Vanessa Bouziges, je pense à mon filleul Raoul. Depuis mon départ du Maroc, pas un jour ne passe sans que je pense à vous. Mon titre de Docteur vous est aussi dédié. Sébastien et Basmaa Denis, Franck Dufour, Emmanuel DeBuchère, Frédérique Sorange, je pense aussi à vous chaque jour. Franck et Sébastien, vous m’êtes si chers que je ne sais comment l’exprimer. Vous aviez raison, je devais partir de Casablanca. Mais j’y reviendrai, le cœur joyeux à l’idée de vous y retrouver. Alain Fourot, jamais je n’oublierai tout ce que tu as fait pour moi. Tu es comme un oncle pour moi. 6 Dr. François-Xavier Lesage, tu es aussi un modèle. J’ai eu la chance de te côtoyer en tant que chercheur, puis en tant qu’ami, et je me sens fier quand je suis avec toi. J’espère que je pourrais encore progresser à tes côtés en tant que chercheur. Lorsque j’ai besoin de sagesse, c’est aussi vers toi que je peux me retourner et je t’en remercie. Je profite de ces lignes pour saluer ta Femme, le Dr. Candice Lesage, et ton fils Édouard. Thierry Marcoux, je t’aime beaucoup et je n’oublierai jamais ce que tu as fait pour moi. Dans les moments les plus difficiles, voire les pires, tu m’as soutenu, tu m’as écouté, uploads/Geographie/ amoura-2013-archivage-pdf.pdf

  • 40
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager