ANATOMIE GENERALE Capsule innerve et vascularisé. Hémarthrose : du sang dans l’

ANATOMIE GENERALE Capsule innerve et vascularisé. Hémarthrose : du sang dans l’articulation. Hydarthrose : trop de synovie. L’articulation gonfle. Pathologies : Le capitale de cartilage est fixe après l’adolescence, le cartilage s’épuise, on réduit la mobilité, donc on atrophie les muscles. L’arthrose : épuisement des cartilages. Pour remplacer cela on a des protestes ou on prend une canne. L’usure des cartilages. Lésion des cartilages : arthrites, peuvent être suppurés mais pas obligé. Dans la maladie de Bouillaud : rhumatisme articulaire aigue (RAA), pas de bactérie dans l’épanchement, les bactéries se trouvent dans les amidales => angine. Les bactéries émettent des toxines qui attaquent l’articulation. Pas de séquelles, le cœur en prend un coup par contre. Les artérites aïgues suppurés attaquent les cartilages. Des germes peuvent s’installer dans l’articulation. Les tuberculoses articulaires frappent essentiellement la hanche et le genou, maladie ancienne, c’est d’origine bactérienne. Le 1er signe est le pincement articulaire, atteinte du genou : la tumeur blanche. Production de pue. Pathologie traumatique :  Fracture articulaire : fracture des extrémités osseuses et coupe le cartilage, il restera toujours le trait de casse dans le cartilage, dans 20 ans on aura surement une arthrose.  Entorses : lésion de la capsule et des ligaments, douloureuses et hémorragique, 2 types d’entorse. - les entorses bénigne distension de la capsule et des ligaments étirés, pas d’immobilisation trop prolongé. - Les entorses graves : déchirures, les bords de la plaie s’écartent l’une de l’autre, on a une instabilité articulaire. Intervention chirurgicale nécessaire. muscle capsule Bourse céruse ligament nerf Artères et veines ménisque Cartilage articulaire  Luxation : perte de contact prolongé des surfaces articulaire, articulation déboitée (ce qui implique une entorse), très facile { remettre en place, au bout de 24h l’articulation est plus difficile { remettre en place, et au bout de quelques jours c’est foutu… L’articulation est invétéré (devient vieux). Lésion désagréable. Le plus fréquent : luxation de l’épaule et paradoxalement luxation de la hanche (a cause de l’automobile, si on n’intervient pas vite, le haut du fémur se nécrose). Classification géométrique des diarthroses : C’est la géométrie de l’articulation qui délimite le mouvement.  Les arthrodies : surface plane. Mouvement dans un seul plan, mouvement de glissement ou de rotation. Les surfaces ne sont pas emboitées. En cas d’efforts excessifs les surfaces s’écartent, mais la nature { prévue de gros ligaments. Ex : articulation de la partie distale de la clavicule avec l’omoplate : articulation acromio-claviculaire, réparation de cette articulation difficile.  Articulation en dièdre : Un dièdre saillant vient pénétrer un dièdre rentrant (un coin dans l’espace), on la retrouve entre la clavicule et le sternum. Mobilité en glissement, généralement articulation en disque. Capsule et ligaments extra-capsulaires forts.  Les énarthroses : les articulations sphériques. Emboitement d’une sphère pleine dans une sphère creuse. Grand mouvements possible. Ex : articulation de la hanche.  Les condyliennes : une partie saillante dans une partie rentrante, articulation ovoïde. Avec un grand axe et un petit axe. Permet (en générale) que deux types de mouvements croisés en angle droit. Un grand mouvement avec le petit axe, et un petit mouvement avec le grand axe. Ex : articulation entre l’avant bras et la 1ère rangé os du carpe inclinaisons et flexion du poignet  Articulation trochléenne : articulation en forme de poulie. Réparation difficile, car si c’est pas bien fait on perd la mobilité. Ex : le coude  Les trochoïdes : Emboitement de cylindre. Permet deux types de mouvements : rotation sur place et mouvement de piston. Ex : les 2 os de l’avant bras permet la prono- supination. Les arcs postérieurs des lombaires M. trapèze Processus coracoïde Cavité glénoïde (avec labrum pour laisser la être de l’humérus renter) Disque (articulation en dièdre)  Les toroïdes : articulation en selle, deux segments courbes emboités à angle droit qui glissent l’un sur l’autre, permettant une infinité de positions. Limité par des pommeaux. Ex : à la base du pouce, os trapèze et la base du 1er métacarpien. Les rhizarthroses du pouce. Fracture trans-articulaire qui casse le 1et métacarpien (fracture de Bennett), ou fracture du trapèze.  Les gomphoses : les jonctions qui unissent les dents aux os maxillaires, ressemble aux amphiarthroses, permet un certain déplacement (monté sur amortisseurs). Articulation exposé au milieu buccal.  Articulation en rainure : schyndilèse, comme un signet dans un livre. On en a une seule : entre l’os sphénoïde et le vomer, vers les fosses nasales. Trapèze  Une syssarcose : syssarcose scapulo-thoracique, c’est un dispositif musculaire disposé entre deux systèmes osseux qui leurs permettent de glisser l’un par rapport { l’autre (2 planches avec un bifteck au milieu) LES MUSCLES Tissu conjonctif extrêmement différentié qui produit de l’énergie mécanique par raccourcissements, de l’énergie électrique, et de la chaleur. Les tumeurs : myosarcomes. Tout les tissus musculaires dérivent des cellules souches : les myoblastes, ces cellules se différencies en 3 types de cellules. Une cellule = la fibre musculaire. - Fibre musculaire lisse : type élémentaire et simple, répandus dans les appareils viscéraux. Il est automatique. - fibre musculaire striée fibre squelettique : elle mobilise les pièces du squelette, inséparable de son aire de commande, musculature volontaire. - Muscle strié de type très particulier, le myocarde, muscle cardiaque, il est automatique. Ne s’incère pas sur le squelette. - Tissus strié de type strié embryonnaire, le tissu cardionecteur : unis les différentes parties du cœur, il est noyé dans le myocarde, pas d’activité mécanique importante mais commande les mouvements du cœur. Produit un courent électrique. Appelé aussi tissu nodale (fait des nœuds) CHAPITRE I : LES MUSCLES  Les muscles lisses Formé de petites cellules, une 10ène de millième de millimètre, cellules renflés en leurs centre et allongé. Disposés en banc de poisson. Unis entre elles par du collagène, Les cellules musculaires lisses ont 1 noyau, sarcoplasme est clair (le cytoplasme) pour les muscles lisses. Les myosarcomes permettent une contraction lente, progressive, soutenue. Le système musculaire lisse fait partit du système végétatif. Il freine ou augmente les contractions mais ne la dirige pas. Le système musculaire lisse ne forme pas de muscles anatomiques à proprement dit. Il assure la fonction de très nombreux système. Il n’y a pas de muscles lisses en particulier. Le tube digestif pousse le bol digestif. Les vaisseaux sanguin et particulièrement les artères, la circulation sélective : la vaso-motricité. Dans la trachée et les bronches on a ces muscles, dilatement ou contraction (crise d’asthme). Le remplissage de la vessie est assuré par les muscles lisses. La vessie est constituée des muscles lisses et striés. Appareil génital : le canal déférent (testicule => prostate) est un canal très musclé, c’est ces muscles qui poussent les spermatozoïdes vers la prostate. Chez la femme les muscles lissent forment les trompes utérines. L’utérus est principalement constitué de myomètre. Possibilité de se former très rapidement (de 80g à 2 kg après accouchement), puis se rétracte. Il existe des muscles lisses dans l’œil, permet de régler la luminosité et la courbure du cristallin. La rate (200g, principal pour les défenses immunitaires) bouge tout le temps, détruit les globules rouges vieux et filtre le sang, envois des globules rouges dans le sang (forme le point de coté chez les sportif) Cancer du muscle lisse : meyosarcomes Le muscle strié La destruction du nerf détruit le muscle, cellule géante (jusqu'à plusieurs cm), elle peut perdre la moitié de sa taille. On a une grande amplitude, cellule multi nucléé. Le sarcoplasme est riche en inclusions, des pigments de la nature de l’hémoglobine (=la myoglobine) donne la capacité au muscle de fixer l’oxygène. Muscle coloré peuvent stocker de l’oxygène, ils sont des muscles de soutient, sinon c’est des muscles de démarrage. Présence de sucre, moteur de la contraction et des sels minéraux (sels de calcium et sels de potassium). En cas de souffrance musculaire, les membranes cellulaires s’altèrent, les pigments (la myoglobine provoque des troubles de la fonction rénal) partent dans le sang ainsi que le potassium (provoque arrêt cardiaque). Muscle composé de myofibrilles en bandes, ce sont le support de contraction (formé d’actine et de myosine qui s’emboitent). Les noyaux sont en périphérie, les fibres aux centres. La plaque motrice, c’est le contact entre la terminaison nerveux et le muscle. La contraction volontaire n’est pas forcément très volontaire (ex : la marche, on donne juste l’ordre de marcher et pas de bouger tel ou tel muscles), la supression de l’influx nerveux entraine la suppression du muscle. Le muscle SANS oxygène tient 6H (GRAND MAX), circulation intense dans les muscles strié. Ischémie : arrêt de la circulation. Les muscles prêtent une partie du sang { l’os par le périoste. - Myoglobine - K+ (=>killer) - Ca Production d’électricité : observé grâce à une électromyographie (produit un électromyogramme), chaque muscle à un profile de contraction. Il existe des muscles dont les muscles doivent produire de l’électricité (chez les poissons), des radars ou des organes agressifs (pour paralyser ou tuer). Production de chaleur : grâce aux mouvements fibrillaires, les muscles maintiennent une bonne température. Mais ce n’est pas obligé. uploads/Geographie/ anatomie-generale.pdf

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