Fiche bilan réalisée par : Raquel ESPINOZA Eduardo COLINA N° DU TP :5 TITRE DU

Fiche bilan réalisée par : Raquel ESPINOZA Eduardo COLINA N° DU TP :5 TITRE DU TP : Evolution de la biodiversité, exemple des populations d’éléphants d’Afrique THEME : 1 CHAPITRE : Recherche à mener Grace { l’étude des populations des éléphants d’Afrique (Ouganda et Zambie) on cherche a déterminer comment se déroule la diversification au sein d’une espèce sans la modifier complètement. Or les différences visibles chez une espèce sont dues à l’expression de certains gènes. Mais tous les membres d’une même espèce possèdent les mêmes gènes. C’est pour cela qu’on va s’intéresser aux allèles. On va donc analyser l’évolution des allèles chez les éléphants au cours du temps. On propose alors la problématique suivante : Comment la diversité des populations évolue telle au cours du temps ? Etape 1 : Stratégie mise en œuvre pour résoudre le problème : Pour répondre { notre problématique on étudiera l’évolution des allèles chez les éléphants d’Afrique. Plus précisément, on va se concentrer dans les allèles du gène qui permet { l’éléphant d’avoir des défenses ou non. Et grâce au logiciel « Evolution Allélique » et des études de documents on va mettre en évidence le mécanisme de diversification chez les éléphants. Dans un premier temps on étudiera l’évolution en relation avec le milieu puis l’évolution allélique et le hasard. Etape 2 : Protocole de résolution mis en œuvre Ressources disponibles :-Dossier : Evolution des populations d’éléphants en Afrique :-A :Les populations naturelles -B : L’histoire d’une population d’éléphants en Zambie -C :L’histoire d’une population d’éléphants en Afrique du Sud -Logiciel « Evolution Allélique » Capacités à maitriser : - Savoir utiliser le logiciel « Évolution Allélique » Etape 3 : Communication des résultats A travers le document A on remarque que dans les populations d’éléphants de savane il existe certains éléphants qui n’ont pas de défenses cela représente 2 % de la population. Nous observons que la plupart ce sont des femelles. Ceci se doit à la présence d’un allèle ;du gène qui exprime les défense qui permet l’expression de celles-ci . En effet nous observons que le pourcentage les éléphants sans défenses est très bas, car ses éléphants avaient un désavantage par rapport aux autres, dans leur milieu naturel. De plus on remarque que dans les années 90 , la population d’éléphants à diminuer de manier radical, et seulement les éléphants sans défenses sont-ce qui ont pu survivre . Ceci s’explique dû à la présence des chasseurs qui tuer tous les éléphants avec défenses, ce qui a altérer la sélection naturelle des éléphants. Nous pouvons dire alors que si la sélection naturelle des éléphants n’est pas altérer soit par des phénomènes naturels ou produit de l’homme, le mécanisme d’évolution va rester stable. Pour la deuxième partie nous observons qu’au niveau cellulaire, ils existe aussi un changement, c’est-à-dire que la fréquence des allèles va aussi être modifier . Apres grâce au document C on à déterminé la relation entre la taille d’une population et l’évolution de la fréquence allélique. On voit que lorsque la population diminue notre 1900 et 1930 la fréquence de l’allèle LA4 est diminué aussi drastiquement (de 50% a %5) dans le spécimens de musée et ceux du parc de Kruger ,qui dans un début était relativement élevée(50%).De plus si la population est petite le phénomène de la dérive génétique est important, c’est donc pour cela que la fréquence allélique diminue autant. Or en 1931 avec la fondation du parc d’Addo on observe que la fréquence allélique de LA4 augmente drastiquement (de 5% a 90%).On peut donc dire que c’est un phénomène fondateur important. Car sait que la population fondatrice de Addo était composée de quelques femelle sans défenses et dans l’actualité dans le parc ¼ de la population sont des femelles sans défenses .On voit donc que la fréquence allélique est fortement liée à la taille de la population Etape 4 : Exploitation des résultats pour répondre au problème D’après les résultats observés on peut donc conclure que la diversification au sein d’une même espèce est due à la cause d’une pression de la sélection naturelle. Et cette pression va aboutir à des changements de taille dans la population .Et si la population varie la fréquence allélique va se voire altérée .On pourra donc observer un effet fondateur qui donnera lieu à une nouvelle génération qui a son tour contribuera à la diversification de l’espèce selon la sélection naturelle, mais aussi le hasard du brassage génétique. uploads/Geographie/ bilan-du-tp.pdf

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