Mercredi 27 septembre 2017 Ouest-France Pays de la Loire / Maine-et-Loire 8 Sit
Mercredi 27 septembre 2017 Ouest-France Pays de la Loire / Maine-et-Loire 8 Située à 49440 CANDÉ - Zl La Ramée (rond point du Super U) www.burov.com www.jacquesleleu.fr Groupe BUROV LELEU : Déclaration préalable déposée en mairie de Candé (49) F a b r i q u é e n F r a n c e samedi 30 septembre 2017 Du mercredi 27 au de 9h à 19h (18h le samedi) DE VENTE À L’USINE 4 JOURS EXCEPTIONNELS Vous aussi, faites votre rentrée ! Hausse du chômage, en août, dans le département 40 010. C’est le nombre de deman- deurs d’emploi, tenus de chercher un emploi et sans activité, recensés en Maine-et-Loire à la fin du mois d’août. Comparée à juillet 2017, la donnée fait apparaître une augmentation de 1 %, et 1,5 % sur trois mois. Soit plus 580 personnes. Par contre, sur un an, le chômage affiche une baisse de 1,1 %. Dans les Pays de la Loire, ce nombre augmente de 2,1 % sur trois mois (plus 0,8 % sur un mois et moins 1,1 % sur un an). Si l’on s’intéresse aux demandeurs d’emploi, tenus de chercher un em- ploi et ayant, ou non, exercé une acti- vité dans le moins (catégories A, B et C), leur nombre s’établit à 75 400, en augmentation de 2,8 % sur trois mois (soit plus 2 040 personnes), de 1,3 % sur un mois et 2,4 % sur un an. Dans les Pays de la Loire, ce nombre augmente de 2,3 % sur trois mois (plus 0,8 % sur un mois et plus 2,3 % sur un an). Le Maine-et-Loire en bref Sacha prêt à voir Le Petit Spirou sur grand écran Le Petit Spirou, film de Nicolas Bary, sort sur les écrans, ce mercredi. Avec dans la peau du héros, Sacha Pinault, 12 ans, qui vit à Vihiers, commune déléguée de Lys-Haut-Layon. Entretien Sacha Pinault, 12 ans, de Vihiers, commune déléguée de Lys-Haut- Layon, héros du film Le Petit Spirou, réalisé par Nicolas Bary. Avais-tu déjà entendu parler de la bande dessinée créée par Tome et Janry, Le Petit Spirou ? Oui, je connaissais. J’aimais bien le lire… On regardait les BD chez mes grand-parents. Comment a débuté cette aventure ? En avril 2016, j’étais dans le parc de la Tête d’Or, à Lyon (Rhône). Un monsieur faisait un casting sauvage, il est venu voir ma maman. Il a donné son contact. Après, on a regardé sur le site… On a fait des photos, on a participé au casting vidéo. Puis j’ai été pris. Comment s’est déroulé ce tournage ? Il a eu lieu en août et en septembre 2016. Le deuxième mois, quelqu’un venait pour donner des cours à tous les enfants, comédiens et figurants. J’ai rencontré Pierre Richard, Na- tacha Régnier, François Damiens, Gwendolyn Gourvenec, Philippe Katerine – un dingue, dans le sens sympa ! –, Armelle. Et d’autres. Je ne les connaissais pas, mais comme je savais que mes parents et toute ma famille étaient fans de Pierre Richard et de François Da- miens, j’étais un peu impressionné. J’ai créé une complicité avec Pierre. Dès qu’on se voit, on rigole bien. On a passé de bons moments en- semble. Il est très à l’aise avec les en- fants. Il est comme ça ! Tourner, c’est facile ? Non… Même si j’ai une facilité à refaire les scènes plusieurs fois. Jusqu’à quinze fois. Il y a des moments, sur- tout en fin de journée, on est un peu fatigué. C’est dur de continuer à tour- ner, on voudrait être tranquille à l’hô- tel ou jouer avec ses copains. Le matin, j’arrivais à 8 h-9 h sur le plateau. Je passais direct dans le camion pour le maquillage et le cos- tume. On a tourné dans Paris et au Raincy (NDLR, Seine-Saint-Denis). Ça a toujours été un plaisir pour moi, cela reste une super-expérience. Le texte, je l’ai répété pendant deux mois avant le tournage. Puis chaque soir du tournage, au téléphone, avec ma coach Amour. Je pense que le plus dur est d’être une doublure : pour certains plans, quand je suis de dos, c’est un autre garçon qui joue, pour que je me re- pose. Il s’appelle Niels. Il y avait une doublure pour les cascades et deux pour les dos. Avais-tu déjà imaginé un jour devenir acteur ? Non, jamais de ma vie. Je pensais que c’était impossible, que mes parents ne voudraient pas que je participe à des castings, que ce se- rait une idée trop folle et que je n’au- rais aucune chance. Maintenant, j’es- père, avec toute la promotion du film, que ça va faire parler les gens, que certains producteurs ou réalisateurs vont penser à moi. J’ai déjà fait un plateau télé, C à vous, un mercredi soir. J’ai fait beau- coup d’interviews, tout le mois de septembre. Et ce n’est pas terminé. Des projets ? Je compte bien continuer. Pierre (NDLR, Pierre Richard) m’a dit que je pouvais avoir une bonne carrière. J’ai envie d’attendre que des gens viennent vers moi, et me fassent des propositions. Sinon, j’irai chercher une agence pour m’aider à trouver des films. Je vais essayer de participer à des cas- tings. Mais avant tout ça, il faut finir la promotion du Petit Spirou ! Un Petit Spirou 2 est-il déjà envisagé ? Il va falloir attendre la sortie. D’après des calculs, ça devrait faire un million d’entrées. Je crois qu’il faudrait plus pour envisager une suite. Dans ce cas, je signe direct. Car s’il y a un 2, ce sera avec les mêmes per- sonnes, acteurs et techniciens. En tout cas Pierre Richard ! Aujourd’hui, sortie nationale du film Le Petit Spirou. Ce soir, entre 18 h 45 et 20 h 30, au Ciné’fil, à Vihiers, Sa- cha Pinault dédicacera la BD du film entre les deux séances (17 h et 20 h 30). Sacha Pinault, alias le Petit Spirou, avec son complice Pierre Richard, dans le film de Nicolas Bary. A Cholet, les policiers veulent souffler Des policiers du commissariat de Cholet ont manifesté, hier, pour demander la réorganisation de leur temps de travail. Il est midi et demi lorsque la veuze (cornemuse bretonne) commence sa complainte. A cette heure-là, les policiers en service peuvent re- joindre le rassemblement de leurs collègues en repos. La profession n’a pas le droit de grève, manifester est donc une véritable organisation. Ils sont une cinquantaine à discuter sous les banderoles, « alors qu’il n’y a que 80 policiers dans ce commis- sariat », se réjouit Jérôme Hanarte, le secrétaire départemental du syndicat Alliance. En mars dernier dans l’éventualité d’un renfort, ils s’étaient mis d’ac- cord avec l’ancienne préfète Béa- trice Abollivier sur une nouvelle orga- nisation du temps de travail, moins contraignante pour la vie privée. « Jusqu’à maintenant, on travaille six week-ends sur sept. Alors, en juin, quand on a appris l’arrivée de dix nouveaux policiers, on pen- sait que la rentrée serait moins fati- gante. » A les écouter, ce rythme à marche forcée les coupe de leurs familles, voire de la vie sociale. Mais, en sep- tembre, la direction générale de la Police nationale appose son veto. « Paris s’oppose tout bonnement à l’ancienne représentante de l’État dans le département », fustige An- toine Girouet, policier choletais. Logique comptable ? Cette réorganisation serait trop coû- teuse : si les nouveaux cycles ap- portent un meilleur roulement en termes de repos, ils ne permettent pas un nombre plus important de policiers sur le terrain. « Ça n’a aucun sens », déplore un policier d’Angers, qui vient de pas- ser au nouveau cycle de vacation. « Dans les villes où le changement a été effectué, les collègues sont en bien meilleure forme sur leur temps de service, et les arrêts maladies sont en baisse de 70 %. Cela repré- sente aussi un gain de productivité rentable. » Ni la préfecture, ni la direction dé- partementale de la police nationale n’ont souhaité réagir. Les policiers de Cholet devraient obtenir gain de cause dans les jours à venir. Adrien de VOLONTAT Au son de la veuze, les policiers de Cholet demandent le respect de l’accord passé en mars avec l’ancienne préfète Béatrice Abollivier. Ouest-France Éleveurs et défenseurs des animaux face à face Pour contrer la « Nuit debout devant les abattoirs », organisée, hier, devant l’abattoir Elivia par l’association 269Life Libération animale, des éleveurs ont organisé un contre-rassemblement. Le face-à-face était annoncé depuis plusieurs jours. Il s’est finalement dé- roulé dans une sorte d’indifférence mutuelle. Dès 18 h 30, une vingtaine de militants de l’association 269Life Libération animale se sont regroupés devant l’abattoir Elivia, au Lion-d’An- gers, pour y veiller jusqu’à l’aube. Un autel a été dressé, orné de bougies, de fleurs en tissu et de clichés d’ani- maux. Cette « Nuit debout devant les abattoirs » a réuni des centaines d’antispécistes (1) en France et dans le monde, militant pour la fin de « toutes les formes d’exploita- tion animale ». Au programme, des lectures de texte uploads/Geographie/ book-ouest-france.pdf
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- Publié le Aoû 09, 2022
- Catégorie Geography / Geogra...
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