Corrigé exercices : Les fonctions 1/ Mettez dans une 1re colonne les verbes ; -

Corrigé exercices : Les fonctions 1/ Mettez dans une 1re colonne les verbes ; - et, dans une 2e colonne, en les faisant correspondre sur chaque ligne, les sujets et les groupes sujets. L’aviateur monte vers les étoiles Et voici qu’il montait vers des champs de lumière. Il s’élevait peu à peu, en spirale, dans le puits qui s’était ouvert, et se refermait au-dessous de lui. Et les nuages perdaient, à mesure qu’il montait, leur boue d’ombre, ils passaient contre lui, comme des vagues de plus en plus pures et blanches. Fabien émergea. Sa surprise fut extrême : la clarté était telle qu’elle l’éblouissait. Il dut, quelques secondes, fermer les yeux. Il n’aurait jamais cru que les nuages, la nuit, pussent éblouir. Mais la pleine lune et toutes les constellations les changeaient en vagues rayonnantes. 2/ Même exercice pour les phrases suivantes : a) 1. L’oisiveté est funeste. 2. Les passions tyrannisent l’homme. 3. Le temps fuit : le sage ne le gaspille pas. 4. Déjà le ciel blanchit ; bientôt le soleil paraîtra et les oiseaux commenceront leurs concerts. 5. Par la persévérance vous parviendrez au succès. 6. Chacun récoltera ce qu’il aura semé. 7. Trop parler nuit. 3/ Soulignez les sujets ou groupes sujets. a) 1. Quand vint l’hiver, la cigale se trouva fort dépourvue. 2. Quiconque ne sait pas souffrir n’a pas un grand cœur. 3. Pouvez-vous me dire où mène ce chemin ? 4. Nos bonheurs ne durent guère. 5. Que sert de dissimuler ? 6. « Vivent les vacances ! » crient les écoliers. 7. Nobles forêts qu’émeuvent les vents, puissent les tempêtes ne pas ravager vos ramures ! b) 1. Tout autour de la plage montaient de hautes roches escarpées. 2. Parurent alors entre les piliers de longues files d’enfants des écoles. 3. Ainsi dit le renard, et flatteurs d’applaudir. 4. Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement. 5. L’eau courait le long du trottoir, boueuse, avec cette ondulation particulière que lui imprimait la forme des pierres. 6. Les poutrelles du plafond étaient vermoulues, les murailles noires de fumée, les carreaux gris de poussière. 7. Mais bien plus que le monde m’intéressent les passants du monde. 8. Mais jouer avec Odile ne m’amusait plus comme autrefois. 9. Le long d’un clair ruisseau buvait une colombe. 10. Personne n’osait plus sortir dès que tombait le soir. 4/ Soulignez les sujets ou groupes sujets. Au collège : les visites Sur le conseil même du curé d’Abrecave, avec son aide aussi, l’enfant fut mis au collège d’une petite ville des environs. Sa mère et son protecteur l’y allaient visiter parfois, aux jours de marchés, grimpés sur une charrette surchargée d’agneaux et de fromages. Et le décor glissait doucement avec ses chaumières, ses arbres, ses pâtres, ses bêtes, ses œillets. On dételait dans une auberge. On allait acheter des gâteaux pour renforcer le petit paquet de saucisson. Et l’on causait à trois dans le parloir du collège, et l’on était bien content, car les professeurs faisaient l’éloge de leur élève, qui, presque à son insu, dans une habitation médiocre et sublime, s’engageait dans cette voie éternelle que son premier maître lui avait tracée. 5/Même exercice. Calme et silence Le ciel était blanc, sans nuages, mais sans soleil. Sa courbe pâle s’étendait au large, couvrait la campagne d’une monotonie froide et dolente. On n’entendait aucun bruit, les oiseaux ne chantaient pas. L’horizon même n’avait point de murmure, et des sillons vides ne nous envoyaient ni les glapissements des corneilles qui s’envolent ni le bruit doux du fer des charrues. 6/ Formez de courtes phrases en prenant comme sujets les mots ou groupes de mots suivants : a) Mer – bonté – champs – instruction – les exploits des cosmonautes b) Chanter – lire – nous – chacun – pourquoi – quiconque s’élève – qu’on nous reprenne de nos fautes. 7/ Remplacez les trois points par un sujet. 1. La beauté… plaît. 2. La critique… est aisée, mais l’art… est difficile 3. Chacun… récoltera ce qu’ il… aura semé 4. Le vrai… peut parfois n’être pas vraisemblable. 5. Combattre… pour la patrie est un noble sort 6. Que vaut la richesse… sans la sante ? 7. Rien ne sert …de courir 8. Qui veut voyager loin… ménage sa monture 8 / Vocabulaire : 1. Cherchez dans le dictionnaire le sens de : à son insu, sublime, épars, aristoloche, parasite, jadis. 2. Exprimez de deux autres manières : ‘ beaucoup d’années ’. (maintes années, de nombreuses années, moult années) 9/ Trouvez les sujets convenables. Les travailleurs Pendant que le cultivateur… sème le blé, le boulanger… cuit le pain, le tisserand… tisse le drap, le tailleur… confectionne les habits, l’architecte… trace des plans, le maçon… construit des murs , le forgeron… forge des outils, l’ébéniste… fabrique des meubles, le cordonnier… fait des chaussures, le mineur… extrait la houille, le facteur… distribue les lettres, le paveur… pave la rue, l’instituteur… instruit les enfants. Tous ces travailleurs accomplissent une besogne utile à leurs semblables ; chacun… travaille pour tous, et tous… travaillent pour chacun. Ainsi …les hommes ont besoin les uns des autres. 10/ Inventez trois phrases où le sujet sera repris par un pronom personnel. Et le voisin ? Viendra-t-il demain ? J’aime le football, mais, Paul, lui, préfère le rugby. A peine mon amie est-elle levée, qu’elle prend son petit déjeuner. 11/ Distinguez les sujets apparents et les sujets réels des verbes impersonnels. 1. Le ciel est gris ; il pleut. 2. Dans nos âmes, il flotte une vague tristesse. 3. L’hiver sévit : il neige, il vente ; il faudrait des secours aux malheureux. 4. Il importe que chacun fasse son devoir. 5. N’est-il pas juste que tout dommage soit réparé par celui qui l’a causé ? 6. Il ne suffit pas d’avoir du talent, il faut encore du caractère. 12/ Tournez les phrases suivantes par la forme impersonnelle, avec sujet apparent et sujet réel : 1. Mourir pour son pays est héroïque. Il est héroïque… 2. Chercher un abri sous un arbre pendant un orage est imprudent. Il est imprudent… 3. Louer quelqu’un comme il veut être loué est difficile. Il est difficile… 4. Se tirer d’un tel embarras eût été impossible. Il eût été impossible… 5. On aurait dit que de la neige était tombée. Il semblait que… 6. Quelque chose de mystérieux se passe dans ce château. Il se passe… 13/ Tournez par la forme personnelle les phrases suivantes : 1. Il me vint une idée. Une idée me vint. 2. Il surviendra des difficultés. Des difficultés surviendront. 3. Il ne suffit pas toujours de quelques efforts pour réussir. Quelques efforts ne suffisent… 4. Il sera mis fin à ces extravagances. Ces extravagances cesseront. 5. Il se trouvera toujours des ânes pour braire contre la science. Des ânes pour braire contre la science se trouveront toujours. 14/ Soulignez les sujets ou groupes sujets des infinitifs ou des participes en gros. a) 1. J’entends siffler le train. 2. Dieu aidant, nous vaincrons bien des difficultés. 3. Je vois la première hirondelle tourner autour du clocher. 4. Nous allons, toutes précautions prises, nous engager dans cette affaire. b) 1. Laissez dire les sots : le savoir a son prix. 2. La prière finie, nous revînmes tristement vers le coin de l’île où la baraque était amarrée. 3. On voyant entre les arbres courir les esclaves des cuisines. 4. Je regardais au loin toutes les petites clartés des maisons s’éteindre une à une dans le bourg. 5. Moi je suis resté seul, toute joie ayant fui, Seul avec ce pédant qu’on appelle l’ennui. 15/ Vocabulaire 1. Par quel nom général désigne-t-on : celui qui creuse des puits ? – qui apprend un métier ? – qui cultive la vigne ? – qui s’occupe de la culture des jardins ? – qui fait des statues ? Le puisatier, l’apprenti, le vigneron, le jardinier ou horticulteur , le statuaire 2. Donnez 2 homonymes de sol ; - 2 de chat. Sole, saule ; chas, shah 16/ Ecrivez dans une 1re colonne les verbes en gros du texte d’Henri Bosco, - dans une 2e colonne, en les faisant correspondre à chacun d’eux, les compléments d’objet directs. La Péguinotte, qui devait bien friser la soixantaine, rouge, râblée, le poil gris, raide comme crin, avait accaparé les gros travaux domestiques. Elle lavait les carreaux, coupait le bois, allumait le feu, coulait la lessive, cassait les olives, salait le jambon, fumait le lard, repassait le linge, cuisait les confitures, servait la pâtée aux chiens, étrillait la mule, bêchait le potager et ne refusait jamais de donner un coup de main, quand on battait le blé en juillet, sur l’aire brûlante. Moyennant quoi elle s’était arrogé le droit de tout dire, et particulièrement ce qui lui semblait désagréable à entendre. Le plus souvent elle se plaignait. Rien ne pouvait la satisfaire. Elle avait un haut sentiment de la perfection. C’est pourquoi elle grondait le cochon, gourmandait la chèvre, morigénait la volaille et couvrait le chien de reproches. Parfois uploads/Geographie/ corrige-exercice-les-fonctions-pdf.pdf

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