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Information Iles de Paix Equateur Equateur = ?? Cf Justine : - questions : sur

Information Iles de Paix Equateur Equateur = ?? Cf Justine : - questions : sur quel continent? Près de quel océan? Pourquoi ce nom? (peut-être pas utile pour les 4 ème car ils savent surement tout cela !!) - zoom sur l'équateur (explication sur les 3 parties + explication sur les 3 villes) Poser le contexte, sa géographie (3 zones, capitale + Guayaquil). On a découvert les trois zones et IDP est implanté dans la Sierra (+ Riobamba)  Parler de la route panaméricaine qui relie Quito, Riobamba, Guayaquil,… + quand on quitte cette route, petits chemins de montagnes dangereux.  Vie ville ≠ vie montagne ↙ ↘ Modernité, autre monde ! Gsm, Vie plutôt à l’ancienne. Wifi…  IDP s’est intéressé aux autochtones, ils ont subi l’invasion espagnole, langue espagnole/quechua, on les dépossède de leurs terres, les puissances économiques jouent beaucoup pour avoir les bonnes terres et laisse les terrains raides. Rend les gens pauvres & isolés.  IDP veut garantir la sécurité alimentaire. Txt sur les difficultés les autochtones et les démarches d’Iles de Paix pour les aider : Entraine insécurité alimentaire, conditions difficiles, danger sanitaire Quels sont les problèmes des populations visées par les actions d’Idp en Equateur ? Assez facilement on peut dire que le problème central, c’est la pauvreté. Comme ce sont des communautés agricoles qui vivent dans les montagnes, leur économie et donc leur pauvreté dépend d’une chose : ce qu’ils vont produire. Donc si ils ont de mauvaises récoltes, ils auront plus de mal à s’en sortir. Maintenant, comment avoir une bonne récolte ? Pour que la plante pousse bien, elle a besoin d’eau, d’une terre dans laquelle elle puisse puiser tous les éléments qui lui sont nécessaires et de soins adéquats. On va commencer par la problématique de l’eau. Un premier problème c’est que comme on est à la montagne, les terrains sont très escarpés et donc, plutôt que de rentrer dans le sol comme chez nous, l’eau ruisselle sur la terre. (Montrer avec la table comme le suggérait Claire) Donc, notre plante, elle a peu d’eau et donc elle ne va pas très bien. Du coup, le paysan doit arroser. Le problème, c’est qu’il faut de l’eau pour arroser. Et de l’eau à la montagne, il n’y en a pas partout. Chez nous, il suffit d’ouvrir un robinet, chez eux, il faut aller à la source qui est à x km de là, tout là-haut dans la montagne. Les problèmes liés à la terre et aux soins maintenant. Pour qu’elle pousse bien, notre plante a besoin de nourriture qu’elle prend dans la terre. Il lui faut donc une terre riche qui contienne les éléments nécessaires à sa croissance. Le problème est que le paysan andin va cultiver par exemple des haricots et que des haricots. Mais au bout de quelques années, le haricots a pris dans la terre toute la nourriture qui lui convenait et laisse tout le reste. Du coup, les haricots qui n’ont plus leur nourriture ne poussent plus correctement donc, le paysan utilise un engrais chimique qu’il paye bien cher à une grosse firme pour que ses haricots repoussent bien. Seulement, le paysan devient dépendant des engrais chimiques et la terre sature de certains éléments qu’on ne cesse de lui ajouter, la déséquilibrant. Le paysan dépend aussi des semences car il n’a pas les installations ni le savoir-faire pour pouvoir les produire lui-même et donc il utilise généralement des semences qui ne sont pas adaptées à son terrain. Comme les terrains sont très pentus et que les agriculteurs ont peu de moyens, ils doivent tout faire à la main, du coup, ils savent moins produire et leurs conditions de vies sont plus rudes encore. Et comme il ne cultive qu’une seule chose, s’il a un problème avec cette culture (maladies…) c’est déterminant. Une fois que notre fermier a sa récolte, il doit encore la vendre. Comme il ne cultive que des haricots, et que comme lui beaucoup de fermiers cultivent des haricots, il y a beaucoup de haricots sur le marché, donc ils ne valent pas grand-chose. En plus il faut les transporter, ça a un prix. Et en général, il ne vend pas directement au consommateur, donc chaque intermédiaire doit faire un bénéfice, donc on lui achète sa récolte pour un prix dérisoire afin de faire du profit et de la vendre à un prix raisonnable au consommateur. Donc, Ricardo qui est déjà pauvre, a une terre de qualité moyenne et fait tout le travail à la main doit payer les semences, l’engrais et le transport d’une récolte qui lui sera achetée à un prix ridicule. Voilà ce qui entraine la pauvreté. Qu’entraine la pauvreté maintenant ? Comme tout est fait à la main, on a besoin de beaucoup de bras, donc les enfants vont aux champs plutôt qu’à l’école. Les soins de santé étant chers et éloignés, on a de mauvaises conditions sanitaires. Et, comme on a peu d’argent, on ne mange pratiquement que ce qu’on produit, ce qui entraine une certaine insécurité alimentaire. Maintenant, que fait IdP pour aider ces gens ? Pour la problématique de l’irrigation, Idp va débloquer des fonds pour créer des systèmes d’irrigation, de potabilisation et de distributions des eaux afin que ni les cultures ni les gens n’aient soif. L’ONG va également amener des techniques telles que la culture en terrasse pour améliorer l’absorption et la conservation de l’eau par le sol. Pour les terres et les techniques culturales, Idp va apprendre aux gens à utiliser correctement les engrais et à en produire à base de déchets et de plantes, ainsi, le paysan n’est plus dépendant des firmes et donc doit moins payer. Il va également apprendre à faire ses semences et à les sélectionner afin d’avoir une plante la mieux adaptées que possible au climat et au sol de l’endroit où elle sera cultivée. L’ONG va également amener la rotation et la diversification des cultures. Ainsi, la terre est plus saine car tous les éléments qu’elle contient sont absorbés à un moment ou à un autre et elle peut ainsi se régénérer au fur et à mesure, sans avoir un excès de ceci ou une carence en cela. En plus, comme il cultive différents produits, l’agriculteur est moins sensible aux dégâts subis par une certaine culture et il vend certaines denrées (des mûres par exemple) plus rare et qui donc sont achetées à un meilleur prix. IdP soutient également la mise en place de structure paysanne qui a pour but de mettre en commun les récoltes afin de limiter le nombre d’intermédiaires. Iles de Paix forme également des paysans aux soins vétérinaires, ainsi qu’à l’usage des plantes pour se soigner, ce qui leur évite d’avoir trop recours aux couteux services de vétérinaires et médecins et améliore les conditions sanitaires. Finalement, IdP participe également à l’élaboration de manuels de sensibilisations utilisés dans les écoles. CONCLUSION : • On n’est pas revenu indemne: 1. Enorme changement culturel. 2. La pauvreté (économique et matérielle). 3. L'accueil chaleureux. 4. On se rend compte à quel point on a de la chance de vivre dans le confort. • On a envie de se battre : 1. Les gens motivés et courageux. 2. Un petit effort chez nous fait vraiment la différence. 3. L'association est très efficace. 4. Parce que ces personnes ont les mêmes droits que nous. uploads/Geographie/ info-sur-equateur.pdf