La Conférence de Berlin et le Partage de l’Afrique Le lutte pour l’Afrique a co

La Conférence de Berlin et le Partage de l’Afrique Le lutte pour l’Afrique a commencé avec la Conférence de Berlin (1884-1885) et il a terminée au début du XXe siècle. Au cours de cette période, les colonisateurs Européens ont divisé l’Afrique en sphères d’influence, en colonies et en divers segments avec une connaissance limitée de la géographie, et de l’histoire et la composition ethnique de l’Afrique. La Conférence de Berlin (ou Conférence du Congo) a réglementé la colonisation et le commerce <européens en Afrique pendant La Période du Nouvelle Impérialisme et coïncide avec l'émergence soudaine de l’Allemagne, et son résultat: L’Acte Général de la Conférence de Berlin a contribué à inaugurer une période d'activité coloniale accrue des puissance Européens, qui a éliminé la plupart des formes existantes d'autonomie et d'auto gouvernance Africaines. Au moment de la conférence, 80% de l’Afrique restait sous contrôle traditionnel et local. En fin de compte, ce fut les frontières géométriques qui divisait l’Afrique en 50 pays irréguliers. Cette nouvelle carte du continent a été superposée à plus de 1000 cultures et régions indigènes d’Afrique. Les nouveaux pays manquaient de raison et divisaient des groupes cohérent de personnes et fusionnaient des groupes disparates qui ne s’entendaient vraiment pas. Les Africains n’ont pas ete invites a la reunion, ce qui a alimenté la disparité. La France, L’Allemagne, la Grande-Bretagne et la Portugal étaient les principaux acteurs de la conférence. Ayant été témoin de rivalités politiques et économiques entre les empires européens au cours du dernier quart du XIXe siècle, la partition formelle de l’Afrique a empêché les pays européens de se battre entre eux sur le territoire. Le lutte pour Afrique peut être retracée jusqu'au Roi Léopold II de Belgique qui a engagé des explorateurs pour naviguer et “civiliser” Congo. En privé, il voulait exploiter et profiter aux dépens des Africains. D'autres pays Européens comme la Grande-Bretagne, France et Portugal sont devenus alarmes et alors que le conflit semblait eminent, Otto Von Bismarck a appelé à une conférence de “paix” pour discuter de la partition de l’Afrique et de la traite des esclaves Africains à Berlin. Sur le plan économique, c'était le moment ou la révolution industrielle en Europe avait atteint son apogée. Les Européens ont donc vu la nécessité d'acquérir des territoires hors d’Europe. Pour servir de marché à leurs produits manufactures pour dynamiser leur économie. L’Afrique était leur réponse car c'était un continent nouvellement trouvé par les Européens. Les matières premières telles que l’or, l’ivoire, le bois et le coton ont été obtenues à des prix relativement bas à des fins de fabrication. En outre,pendant la révolution industrielle, les machines ont remplacé l'énergie humaine et cela a conduit au chômage. Les puissance Européens ont donc commencé à chercher des territoires pour implanter des industries afin de freiner le taux de chômage élevé en Europe. Suite à la conception de frontières artificielles, les communautés africaines ne pouvaient pas se déplacer librement dans leurs activités quotidiennes et leurs pratiques nomades, ce qui leur infligeait des difficultés économiques et des inconvénients sociaux. Cela a privé les communautés frontalières Africaines d'opportunités économiques en entravant leurs déplacements et en forçant à vivre différemment de leur vie traditionnelle. Par exemple, de nombreux Africains sont des pasteurs qui ont besoin de vastes terres pour le pâturage et l’eau. Cependant, les frontières artificielles limitent les populations frontalières a elavage sur des terres limitées et forcent à la compétition et à la confrontation des ressources en raison de la mobilité limitée avec d’autres peuples frontaliers. Une conception inadéquate des frontières et la division des groupes ethniques ont contribué au sous-développement et à l'instabilité dans les etats africains. De nombreux historiens, comme Olayemi Akinwumi de l'Université d’Etat de Nasarawa au Nigeria, considèrent la Conférence comme les fondements de la crise actuelle en Afrique. “La partition a été effectuée sans aucune considération pour l’histoire de la société,” a déclaré Akinwumi a DW magazine. La Conférence de Berlin a lassé des conséquences durables qui continuent d’influencer l'avenir de l’Afrique, même aujourd’hui. D’une part, la manière téméraire dont les impérialistes ont quitté l’Afrique a entraîné de graves problèmes tels que l'instabilité politique et la dégradation des terres. Cependant, d’un autre côté, la présence Européenne en Afrique a fait progresser le magnifique continent en encourageant l'éducation, en mettant en place des infrastructures modernes et en ouvrant l’Afrique au monde du commerce. uploads/Geographie/ la-conference-de-berlin-et-le-partage-de-l-x27-afrique.pdf

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