La Question Raciale. xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx le carcan anti-raciste. Tant que l’
La Question Raciale. xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx le carcan anti-raciste. Tant que l’on refusera de tenir compte de la réalité raciale en tant que facteur essentiel du destin de l’humanité, socle de son développement, clef de voûte de son évolution biologique, on ne fera que s’enfoncer dans une crise de civilisation de plus en plus grave. On continue, à toutes forces, de nier la répartition géographique naturelle des races, et à vouloir faire vivre le mythe du « melting- pot », du « métissage généralisé », etc. … Mais, derrière ces fantasmes, il n’y a qu’une seule réalité : la disparition programmée de la race blanche, et le nivellement par la médiocrité de l’Espèce Humaine. A l’horizon de cette utopie il n’y a qu’un seul avenir : un affaissement général, une culture radoteuse « homogénéisée et stérilisée »… Une contagion de la situation africaine, une « africanisation » de la planète (… arriération, désordre… inaptitude congénitale au progrès et à la modernité, etc. ...)… Il n’est plus possible de continuer à considérer le fait racial comme un tabou protégé par une sorte de terreur sacrée. Il est plus que temps de « franchir le Rubicon » et de ressaisir ce problème à bras le corps. Il est devenu vital d’aborder le fait racial avec courage et de trancher, radicalement, avec l’obscurantisme inquisitorial, l’arriération et les aberrations scientifiques dans lesquelles on le tient aujourd’hui. C’est vital. xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx L’Origine des Espèces. Dans « Campbell Biology », (Pearson éditeur, 2011) 9ème édition, on peut lire, page 494 : - « Within a given species, rearrangements of chromosomes are thought to contribute to the emergence of new species… » Mais, pour cela, il faut qu’au sein de la population concernée les nouveaux arrangements de chromosomes puissent être perpétués, sauvegardés, au sein d’un groupe particulier, qui se reproduit à l’écart, en évitant l’interfécondité avec les représentants des autres arrangements chromosomiques, préexistants… Sinon il ne peut pas y avoir de nouvelles espèces, au pluriel… il ne peut pas y avoir de biodiversité « spécifiante »… Il ne peut y avoir qu’une seule et unique espèce, qui évolue peu, et ne développe qu’une biodiversité à minima, « en interne »… … Ne permettant l’émergence de nouveaux caractères que si ils se généralisent à la totalité de l’unique espèce vivante ; ou sinon ils disparaissent, n’assurant qu’une biodiversité chronologique : une seule et unique espèce, qui se transforme, éventuellement, en une nouvelle espèce, mais : en disparaissant elle-même, par étapes générationnelles successives… à l’exclusion de toute nouvelle espèce contemporaine, parallèle, vivant ensemble, se multipliant, de plus en plus nombreuses en même temps… … A cause de l’interfécondité, à cause du caractère diploïde, de la récessivité, etc. etc. … Car, si il y a un constant brassage génétique, il y aura, en conséquence, une constante ré- homogénéisation des arrangements chromosomiques, tendant à l’uniformité ; supprimant, ou, généralisant les caractères minoritaires ; cela entraînera, par un phénomène statistique évident, lié à la réduction inévitable du nombre d’allèles au sein d’une même et unique population, la disparition de toute possibilité de diversité spécifiante. Par exemple : c’est bien pour ça qu’en Afrique sub-saharienne tout le monde a la peau noire ; et qu’en Europe tout le monde avait, encore récemment, la peau blanche, etc. etc. : au sein d’une population où se produit un constant brassage génétique par l’interfécondité, la variété des arrangements disparaît et il ne demeure qu’un seul caractère majoritaire, et une ou deux variantes, en voie de disparition ou de généralisation. Les mutations spécifiantes ne peuvent se perpétuer et aller à leur terme qu’en se généralisant à l’ensemble d’une population donnée, ou, au contraire, si elles sont préservées par une sous-espèce, qui maintient ses processus reproductifs à l’écart de la population d’origine. xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx La seule idée révolutionnaire aujourd’hui c’est le racisme. C’est la seule forme de pensée qui soit susceptible de déchaîner la violence politique. La seule qui puisse jeter dans la rue des foules vengeresse et conquérantes, revendicatives et furieuses. La seule qui déclenche systématiquement dans la population, et plus encore au cœur du pouvoir, une sorte de terreur sacrée, une réaction brutale totalement dénuée de compréhension, intolérante, répressive, inquisitoriale, policière… Il faut remonter au temps de nos arrière-grand-mères, ou se remémorer l’URSS pour trouver un époque, un pays où d’autres idées politiques pouvaient vous envoyer au tribunal, en prison… une époque où les idées marxistes étaient plus ou moins réprimées ici, ou au contraire, réciproquement, dans le pays communistes, etc. … Depuis plus de 50 ans on peut penser et proclamer librement ce qu’on veut de la « socialisation des moyens de production », de la lutte des classes, du libéralisme ou du socialisme… : tout le monde s’en fiche, et ça n’a strictement aucune importance… Il y a partout, dans le monde, des capitalistes, des partis d’extrême gauche, etc. etc., et tout le monde s’en fiche… ils ne sont interdits nulle part, au contraire : ils ont pignon sur rue et sont favorisés, valorisés par les pouvoirs et les médias de tous bords... Ca ne dérange plus rien ni personne… Sauf en Corée du Nord, coincée actuellement dans une faille du continuum spatio-temporel… Petite exception qui confirme la règle… Il y a, en apparence seulement, une autre exception : dans les régimes islamistes et les « royaumes théocratiques » orientaux… Là, les opposants sont durement réprimés et la vie politique est régulièrement traversée de violences révolutionnaires. Mais on sait bien qu’en réalité il s’agit, là-bas, beaucoup plus d’appartenances tribales et d’intérêts claniques, que de véritable confrontations idéologiques… Libye, Tunisie, Egypte, Emirats : les idées sont interchangeables et superficielles, ce ne sont que des marqueurs d’appartenances ethniques, des prétextes à des querelles de marchands de tapis, un décorum enjoliveur pour ce qui n’est, en fin de compte, qu’une éternelle chicane meurtrière pour des intérêts égoïstes et bassement matérialistes, pour les gros bakchichs, les grandes villas et les grosses voitures, les comptes en banques bien garnis dans les coffres genevois, etc. etc. … C’est comme en Afrique Noire : il n’y a aucune idéologie. C’est juste la course effrénée vers le trône, l’énorme garde-manger et la plus belle collection de femelles, etc. Etc. … … Non, en vérité, il est parfaitement évident que la seule pensée vraiment révolutionnaire, vraiment subversive, vraiment réprimée , celle qui fait trembler les chefs d’états et les magnats de la finance, ce qui fait hurler les maître à penser et vitupérer les inquisiteurs, ce qui est susceptible de bouleverser l’ordre établi, de faire trembler les murs de la cité, ce qui pourrait détruire le bel équilibre politique et social de la société actuelle : c’est la pensée raciste. Le reste… tout le monde s’en fiche. Toutes les idées économiques, ou de structures politiques, sont admises et peuvent être avancées, défendues, débattues librement, sans que ça n’entraîne autre chose que du blablabla. Tout le monde s’en fiche, et après tout c’est bien normal… Regardez la Chine par exemple : est-elle communiste ? Est-elle capitaliste ? on n’en sait plus rien, et, aux jours d’aujourd’hui, ça ne fait plus de véritable différence… puisque, les pays qu’on appelait « libres » du temps de l’URSS sont devenues des dictatures totalitaires, et que, dans les pays soi-disant communistes, les tyrans ne font qu’appliquer un capitalisme d’état d’une voracité implacable, pour leurs profits personnels… Non, la Chine n’est pas révolutionnaire parce qu’elle serait maoïste : si elle est encore révolutionnaire au début du 21ème Siècle, c’est uniquement parce qu’elle est le pays des Races Chinoises, parce qu’elle bénéficie encore d’une grande homogénéité raciale et que sa population est composée presque exclusivement des peuples et des races qui s’y sont implantés et développés depuis des dizaines de milliers d’années. Le jour où la Chine sera, comme nous, colonisée par les noirs et les arabes, les indous, etc. … elle aura cessé d’être révolutionnaire, et elle aura sombré dans le conformisme, la soumission à l’ordre antiraciste mondial. Heureusement il semble que nous pouvons avoir bon espoir que ça ne se produira pas de sitôt… Quoi que… qui peut prévoir l’avenir ? Quand on voit la vitesse avec laquelle les choses se sont passées en Europe… On ne peut être sûr de rien. Oui, ici, la seule idéologie révolutionnaire qui vous amène au tribunal et fait descendre les foules dans la rue, ce n’est pas le Communisme : c’est le racisme. Le véritable principe fondateur sur lequel repose la société actuelle, au niveau planétaire, c’est le multiracialisme, l’Antiracisme, l’idéologie totalitaire du métissage forcé et généralisé, l’obsession doctrinaire qu’il faut, coûte que coûte, faire disparaître la division et aller vers l’homogénéité raciale du genre Humain, faire disparaître toutes les races au profit d’une seule, etc. etc. … C’est cela le véritable « Manifeste du Parti Communiste » génétique, le véritable « Mein Kampf » anthropologique et biologique du Nouvel Ordre Mondial. Oui, pour être vraiment révolutionnaire aujourd’hui il n’y a pas d’alternative : il faut être raciste. Alors, on peut le dire : « Français ! Encore un effort pour être vraiment révolutionnaires ! uploads/Geographie/ la-question-raciale.pdf
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- Publié le Apv 02, 2021
- Catégorie Geography / Geogra...
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