TEF/ ******** / SECTION B Modèle / Meriem Touati 67 rue des fleurs 44000 Nantes

TEF/ ******** / SECTION B Modèle / Meriem Touati 67 rue des fleurs 44000 Nantes Madame la rédactrice en chef Journal Le Matin 80 boulevard Arnaud Blanchet 75011 Paris À Nantes, le 24 mai 2018, Objet : Le lieu d'exposition des oeuvres d'art. Madame la rédactrice en chef, Je me présente, je m’appelle Adil Touati et je suis un fidèle lecteur de votre journal. En effet, celui-ci qui me permet de m’enrichir quotidiennement, notamment grâce à la rubrique de culture générale. Aujourd’hui, je vous écris cette lettre pour vous faire part de mon point de vue concernant l’article publié par Alain Paul dans votre édition du 23 Mai 2018 au sujet des œuvres d’art. L’affirmation suivante a attiré mon attention : « ……… les œuvres d’art doivent rester dans leurs pays d’origine……… ». Effectivement, je suis partagé sur la question : d’une part j’adhère au sujet mais d’autre part, je m’y oppose. Je vous explique pourquoi. Tout d’abord, il y a deux raisons principales qui me font adhérer à cette affirmation. D’une part, cela permet ………………………………… …………………………………. Pour conclure, je comprends que d’autres lecteurs ou lectrices ne soient pas du même avis que moi, cependant, j’aimerais voir ma lettre publiée dans votre journal dans le but de développer une réflexion sur le sujet, qui sera certainement riche d’enseignements. Veuillez agréer, madame la rédactrice en chef, l’expression de mes sentiments les plus distingués. Meriem Touati Avant/ A l’intention du rédacteur en chef Quotidien « Le Continental » 10, rue des bois Van Rich, Luxembourg. Monsieur le rédacteur en chef du quotidien « Le Continental » J’ai lu dans votre journal, un article qui explique que les oeuvres d’art doivent rester dans leurs pays d’origine. Je suis tout à fait d’accord pour cet avis. Tout d’abord, pour moi une œuvre d’art représente quelque part l’identité du pays, par exemple, le buste de la reine Nefertiti, représente un emblème national de toute une nation mais aussi de toute une époque de ce beau pays qui est l’Egypte. Par conséquent, le fait de se retrouver dans un musé étranger, quel quelle soit son importance et son prestige est en quelque sorte dépaysant et étrange pour les visiteurs qui viennent voir l’histoire de ce pays et non pas celle des pharaons. En deuxième lieu, c’est en quelque sorte un dépouillement des trésors et richesses d’un pays. Un pillage qui ne dit pas son nom, je site comme exemple les quelques tableaux de Picaso, peintre bien qu’espagnole mais qu’on retrouve ses tableaux en France ou bien en Italie. Et enfin, et surtout, tous déplacement d’un objet d’art, vieux, ancestrale, fragilisé par le temps, est une manœuvre risquée, qui pourrait endommager la pièce ou l’objet déplacé. A l’ombre de tous ces arguments, je pense définitivement que les œuvres d’arts doivent rester protéger et valoriser dans leurs pays d’origine et contribuer non seulement au développement du tourisme de leur pays mais aussi de conserver leur identité culturelle. Et donc je vous salut vivement pour cet article. Après/ Alif Meriam 10, rue des fleurs, Nantes A Madame la rédactrice en chef Journal Le Matin 80, boulevard Arnaud Blanchet 75011, Paris Nantes, 28 Juillet 2020-07- Objet : « les oeuvres d’art doivent rester dans leurs pays d’origine. » Monsieur le rédacteur en chef du quotidien « Le Matin » Je me présente, je m’appelle Alif Meriam, je suis une fidèle lectrice de votre journal, notamment la rubrique culturelle, qui aborde toujours des sujets très pertinent, passionnant. Et aujourd’hui je vous écris cette lettre pour vous faire part de mon point de vue concernant l’article publié par Bern David dans votre édition du 26 juillet 2020, concernant les œuvres d’art: l’affirmation que les oeuvres d’art doivent rester dans leurs pays d’origine a particulièrement attiré mon attention. Je suis tout à fait d’accord pour cet avis. Tout d’abord, pour moi une œuvre d’art représente quelque part l’identité du pays, par exemple, le buste de la reine Nefertiti, représente un emblème national de toute une nation mais aussi de toute une époque de ce beau pays qui est l’Egypte. Par conséquent, le fait de se retrouver dans un musé étranger, quel quelle soit son importance et son prestige est en quelque sorte particulièrement dépaysant et étrange pour les visiteurs qui viennent voir l’histoire de ce pays et non pas celle des pharaons. En deuxième lieu, c’est en quelque sorte un dépouillement des trésors et richesses d’un pays. Un pillage qui ne dit pas son nom, je site comme exemple les quelques tableaux de Picaso, peintre bien qu’espagnole mais qu’on retrouve ses tableaux en France ou bien en Italie. De plus, et surtout, tous déplacement d’un objet d’art, vieux, ancestrale, fragilisé par le temps, est une manœuvre réellement risquée, qui pourrait endommager la pièce ou l’objet déplacé. En suite, je pense définitivement que les œuvres d’arts doivent rester protéger et valoriser dans leurs pays d’origine et contribuer non seulement au développement du tourisme de leur pays mais aussi de conserver leur identité culturelle. Et donc je vous salut vivement pour cet article. Pour conclure à l’ombre de tous ces arguments, j’aurai le plaisir que vous acceptiez de publier ma lettre, afin de développer une réflexion sur le sujet de la part des lecteurs et lectrices qui sera certainement riche en enseignements. Veuillez agréer, Madame la rédactrice en chef, l’expression de mes sentiments les plus distingués. Alif Meriam Exemple de copie Les fautes ainsi que les problèmes de cette copie sont indiqués en gras Adil TOUATI adil.touati@gmail.com 24 Mai 2018 A Madame la rédactrice chef du journal LE MATIN Objet : Point de vue sur le sujet Madame la rédactrice en chef, Je me présente, je m’appelle Adil Touati et je suis un fidèle lecteur de votre journal Ø qui me permet de m’enrichir quotidiennement, notamment Ø la rubrique de culture générale qui pour moi est très riche. Aujourd’hui, je vous écris cette lettre pour exprimer mon point de vue par rapport à l’article publié par Alain Paul sur votre journal en date du 23 Mai 2018 au sujet des œuvres d’art. L’affirmation suivante a attiré mon attention : les œuvres d’art doivent rester dans leurs pays d’origine. En effet, je suis partagé sur la question, car j’adhère au sujet mais en revanche, je suis contre quelques aspects. Tout d’abord, je suis pour cette affirmation pour deux raisons principales. La première raison c’est que cela permet de préserver l’identité d’un pays. Autrement dit Ø conserver son héritage historique et culturel. A titre d’exemple, quand nous voyons les sculptures, le pays auquel nous pensons c’est l’Italie, un pays qui a connu dans son histoire un nombre élevé de sculpteurs et il compte aujourd’hui à travers ses différents musées la majorité des œuvres d’art en sculpture : Un voyage culturel à travers des œuvres d’art exposées et représentant des thèmes associées à des époques vécues dans l’histoire du Pays. La deuxième raison c’est aussi le fait de meubler les musées du pays, Ø développer son tourisme culturel à travers une exposition variée d’œuvres d’art qui regroupent l’art antique ou celui contemporain, et jouant un rôle important dans la promotion du tourisme dans ce pays et au rayonnement culturel du pays, en d’autres termes augmenter les recettes budgétaires grâce à l’offre diversifiée en ouvrages d’art qui séduiront les touristes pour venir découvrir le patrimoine culturel de ce pays. C’est le cas de nombreuses capitales Européennes comme Paris, Rome ou encore Vienne. Ensuite, je suis contre la question de ne pas exposer les œuvres d’art en dehors de leur pays d’origine pour la raison principale qui est que l’art n’a pas de frontières. Pour mieux expliquer, c’est un moyen de véhiculer l’histoire et la culture d’un pays donné en les faisant connaître à une large population d’autres pays qui voyageront à ce pays à travers quelques œuvres d’art exposées lors d’une manifestation culturelle, une façon de s’ouvrir à d’autres cultures ou civilisations en passant quelques heures à contempler ces chefs d’œuvres riches et témoignant d’un passé glorieux. Enfin, je comprends que d’autres lecteurs ou lectrices ne soient pas du même avis que moi, cependant, j’aimerais voir ma lettre publiée dans votre journal dans le but de développer une réflexion sur le sujet, qui sera certainement riche d’enseignements. Veuillez agréer monsieur le rédacteur chef l’expression de mes sentiments les plus distingués. Ø Réponse améliorée Adil Touati 67 rue des fleurs 44000 Nantes Madame la rédactrice en chef Journal Le Matin 80 boulevard Arnaud Blanchet 75011 Paris À Nantes, le 24 mai 2018, Objet : Le lieu d'exposition des oeuvres d'art. Madame la rédactrice en chef, Je me présente, je m’appelle Adil Touati et je suis un fidèle lecteur de votre journal. En effet, celui-ci qui me permet de m’enrichir quotidiennement, notamment grâce à la rubrique de culture générale. Aujourd’hui, je vous écris cette lettre pour vous faire part de mon point de vue concernant l’article publié par Alain Paul dans votre édition du 23 Mai 2018 au sujet des œuvres d’art. L’affirmation suivante a attiré mon attention : les œuvres uploads/Geographie/ les-oeuvres-d-x27-art-doivent-rester-dans-leurs-pays-d-x27-origine.pdf

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